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Selon les premiers éléments recueillis, le policier, brigadier relevant de la brigade des motards, aurait tiré sur une femme qu’il accompagnait à bord d’une voiture particulière. Les raisons de cet acte tragique restent à déterminer, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
D’après la même source, une patrouille de police est intervenue immédiatement pour interpeller le mis en cause.
Ce dernier aurait tenté de prendre la fuite, tirant deux balles en direction des agents sans faire de blessés, avant de retourner son arme contre lui et de se tirer une balle à la tête. Grièvement blessé, il a été transporté d’urgence en soins intensifs, où son état reste jugé critique.
Le corps de la victime a été déposé à la morgue pour autopsie, tandis qu’une cellule d’enquête spécialisée a été mobilisée pour recueillir les témoignages et examiner les preuves techniques.
Selon les premiers constats des enquêteurs, la piste d’un crime à caractère passionnel est actuellement privilégiée, bien que toutes les hypothèses restent ouvertes. Les expertises balistiques et médico-légales se poursuivent pour déterminer les circonstances exactes de cet acte dramatique et le mobile précis du meurtre.
La DGSN a précisé que ses services veillent à établir la vérité sur cette affaire « avec la rigueur nécessaire », conformément aux procédures judiciaires en vigueur, tout en soulignant la gravité des faits impliquant un membre des forces de l’ordre.
D’après la même source, une patrouille de police est intervenue immédiatement pour interpeller le mis en cause.
Ce dernier aurait tenté de prendre la fuite, tirant deux balles en direction des agents sans faire de blessés, avant de retourner son arme contre lui et de se tirer une balle à la tête. Grièvement blessé, il a été transporté d’urgence en soins intensifs, où son état reste jugé critique.
Le corps de la victime a été déposé à la morgue pour autopsie, tandis qu’une cellule d’enquête spécialisée a été mobilisée pour recueillir les témoignages et examiner les preuves techniques.
Selon les premiers constats des enquêteurs, la piste d’un crime à caractère passionnel est actuellement privilégiée, bien que toutes les hypothèses restent ouvertes. Les expertises balistiques et médico-légales se poursuivent pour déterminer les circonstances exactes de cet acte dramatique et le mobile précis du meurtre.
La DGSN a précisé que ses services veillent à établir la vérité sur cette affaire « avec la rigueur nécessaire », conformément aux procédures judiciaires en vigueur, tout en soulignant la gravité des faits impliquant un membre des forces de l’ordre.
