Après 14 heures d'intenses opérations de sauvetage, les corps de cinq victimes ont été retirés des décombres à la suite du tragique accident survenu dimanche après-midi au barrage Mokhtar Soussi, situé au nord de Taroudant.
Vers 11 heures du matin dimanche, un fort bruit d'explosion a retenti, signalant le début du sinistre. Selon les premières investigations, les ouvriers utilisaient des équipements de soudage, incluant des bouteilles de gaz et d'oxygène. Cependant, une fuite de gaz toxique a piégé les travailleurs dans le tunnel.
Les équipes de la protection civile ont rapidement accouru, mais la présence de gaz mortel et de débris a entravé les opérations de sauvetage. Il a fallu utiliser des systèmes d’extraction de gaz avant de reprendre les recherches.
Face à la gravité de la situation, un groupe spécialisé dans l’exploration de tunnels a été dépêché depuis une mine voisine. Arrivés aux alentours d’une heure du matin, ces experts ont entrepris une intervention méthodique. Après des heures d’efforts, ils ont localisé les corps, permettant ainsi à la protection civile de les extraire. La première dépouille a été retrouvée à 5 heures du matin, mais l’accès au dernier corps a nécessité davantage de temps en raison des conditions difficiles dans le tunnel.
L’ampleur de l'incident a conduit le gouverneur de Taroudant à se rendre sur les lieux avant minuit, accompagné de responsables locaux et militaires. Tous les moyens disponibles ont été déployés pour accélérer l’opération, qui s’est poursuivie jusqu’au petit matin.
Un représentant des autorités locales a confirmé qu’une enquête approfondie serait menée pour déterminer les causes exactes de l'explosion et tirer des leçons afin d’éviter de telles tragédies à l'avenir.
Ce drame soulève des interrogations sur les normes de sécurité dans les grands chantiers d'infrastructure. L'absence de dispositifs adéquats, tels que des systèmes de ventilation performants et des équipements modernes de prévention, met en lumière des lacunes graves.
Vers 11 heures du matin dimanche, un fort bruit d'explosion a retenti, signalant le début du sinistre. Selon les premières investigations, les ouvriers utilisaient des équipements de soudage, incluant des bouteilles de gaz et d'oxygène. Cependant, une fuite de gaz toxique a piégé les travailleurs dans le tunnel.
Les équipes de la protection civile ont rapidement accouru, mais la présence de gaz mortel et de débris a entravé les opérations de sauvetage. Il a fallu utiliser des systèmes d’extraction de gaz avant de reprendre les recherches.
Face à la gravité de la situation, un groupe spécialisé dans l’exploration de tunnels a été dépêché depuis une mine voisine. Arrivés aux alentours d’une heure du matin, ces experts ont entrepris une intervention méthodique. Après des heures d’efforts, ils ont localisé les corps, permettant ainsi à la protection civile de les extraire. La première dépouille a été retrouvée à 5 heures du matin, mais l’accès au dernier corps a nécessité davantage de temps en raison des conditions difficiles dans le tunnel.
L’ampleur de l'incident a conduit le gouverneur de Taroudant à se rendre sur les lieux avant minuit, accompagné de responsables locaux et militaires. Tous les moyens disponibles ont été déployés pour accélérer l’opération, qui s’est poursuivie jusqu’au petit matin.
Un représentant des autorités locales a confirmé qu’une enquête approfondie serait menée pour déterminer les causes exactes de l'explosion et tirer des leçons afin d’éviter de telles tragédies à l'avenir.
Ce drame soulève des interrogations sur les normes de sécurité dans les grands chantiers d'infrastructure. L'absence de dispositifs adéquats, tels que des systèmes de ventilation performants et des équipements modernes de prévention, met en lumière des lacunes graves.