Les images de l'effondrement d'un immeuble sis Derb Loubila, au quartier Bourgogne à Casablanca font le tour de la toile depuis hier. Cet incident a rappelé aux casablancais le drame de 2014 qui avait fait des dizaines de morts et de blessés dans le même quartier.
Tout de suite après cet incident, les autorités locales de la préfecture d’arrondissements de Casablanca-Anfa ont indiqué avoir entamé les investigations et recherches, sous la supervision du parquet compétent, pour élucider les circonstances et les raisons qui ont provoqué cet effondrement.
Des sources attribuent l'effondrement de l'immeuble à des travaux de réparation qui ont touché les piliers et les supports d'un restaurant situé au rez-de-chaussée, indiquant qu'un individu originaire d'Afrique subsaharienne avait retiré l'un des supports, ce qui a précipité l'effondrement.
Selon les mêmes sources, une femme nommée H.L avait déjà déposé une plainte en 2017 auprès des autorités compétentes, signalant que l'immeuble présentait des fissures pouvant menacer sa stabilité, "mais sa plainte n'avait pas été traitée", soulignent des témoins.
Les mêmes sources confirment que les autorités locales de la préfecture d’arrondissements de Casablanca-Anfa avaient ordonné plus tôt dans la journée, l’évacuation de l’immeuble et des commerces et bâtiments avoisinants, et la sécurisation de la zone, après avoir constaté des fissures inquiétantes dans l'édifice en question, dont l'effondrement a engendré l’écroulement partiel d’un bâtiment mitoyen. Et de poursuivre que l'intervention des autorités une heure avant l'effondrement a sauvé environ 100 personnes d'une mort certaine.
L'incident a mobilisé tous les responsables, les autorités locales et les forces de sécurité de divers services, y compris les éléments de la police judiciaire et scientifique et les pompiers, en plus de la présence de représentants du Laboratoire public d'études et d'essais (LPEE).
Mohamed Mhidia, wali de la région Casablanca-Settat, s'est également rendu d'urgence sur les lieux et a donné des instructions pour enlever les débris et les pierres et superviser leur enlèvement, insistant sur la nécessité de reloger les résidents de l'immeuble sinistré.
Selon nos sources, la plupart des habitants des appartements ont choisi de passer la nuit chez des voisins et des membres de leur famille dans le même quartier ou dans des quartiers voisins.
Dans une déclaration à "Assahra Al Maghribia", Jouad Rassam, vice-président du Conseil de l'arrondissement de Sidi Belyout, a indiqué que l'effondrement de l'immeuble a surpris tout le monde, sachant qu'il se trouve dans une zone très peuplée et très fréquentée par les touristes étrangers et les visiteurs.
Il a également expliqué que cet incident n'est pas lié aux habitats menaçant ruine. "Dieu merci, l'incident n'a causé que des pertes matérielles sans faire de victimes, et les autorités ont ouvert une enquête pour déterminer les responsabilités", a-t-il noté.
Il a également souligné que le gouverneur de la préfecture d'Anfa a donné des instructions aux autorités locales pour permettre aux résidents de récupérer leurs documents personnels, tels que les titres de propriété, les certificats d'examen, les documents scolaires et les registres et contrats de mariage. Il a également incité les autorités à se montrer conciliantes vis-à-vis des victimes en raison des dommages psychologiques subis.
Le drame a également relancé le débat sur le rôle de la police administrative et sa responsabilité dans l'application de la loi en surveillant et en contrôlant les violations dans le domaine de la construction.
Tout de suite après cet incident, les autorités locales de la préfecture d’arrondissements de Casablanca-Anfa ont indiqué avoir entamé les investigations et recherches, sous la supervision du parquet compétent, pour élucider les circonstances et les raisons qui ont provoqué cet effondrement.
Des sources attribuent l'effondrement de l'immeuble à des travaux de réparation qui ont touché les piliers et les supports d'un restaurant situé au rez-de-chaussée, indiquant qu'un individu originaire d'Afrique subsaharienne avait retiré l'un des supports, ce qui a précipité l'effondrement.
Selon les mêmes sources, une femme nommée H.L avait déjà déposé une plainte en 2017 auprès des autorités compétentes, signalant que l'immeuble présentait des fissures pouvant menacer sa stabilité, "mais sa plainte n'avait pas été traitée", soulignent des témoins.
Les mêmes sources confirment que les autorités locales de la préfecture d’arrondissements de Casablanca-Anfa avaient ordonné plus tôt dans la journée, l’évacuation de l’immeuble et des commerces et bâtiments avoisinants, et la sécurisation de la zone, après avoir constaté des fissures inquiétantes dans l'édifice en question, dont l'effondrement a engendré l’écroulement partiel d’un bâtiment mitoyen. Et de poursuivre que l'intervention des autorités une heure avant l'effondrement a sauvé environ 100 personnes d'une mort certaine.
L'incident a mobilisé tous les responsables, les autorités locales et les forces de sécurité de divers services, y compris les éléments de la police judiciaire et scientifique et les pompiers, en plus de la présence de représentants du Laboratoire public d'études et d'essais (LPEE).
Mohamed Mhidia, wali de la région Casablanca-Settat, s'est également rendu d'urgence sur les lieux et a donné des instructions pour enlever les débris et les pierres et superviser leur enlèvement, insistant sur la nécessité de reloger les résidents de l'immeuble sinistré.
Selon nos sources, la plupart des habitants des appartements ont choisi de passer la nuit chez des voisins et des membres de leur famille dans le même quartier ou dans des quartiers voisins.
Dans une déclaration à "Assahra Al Maghribia", Jouad Rassam, vice-président du Conseil de l'arrondissement de Sidi Belyout, a indiqué que l'effondrement de l'immeuble a surpris tout le monde, sachant qu'il se trouve dans une zone très peuplée et très fréquentée par les touristes étrangers et les visiteurs.
Il a également expliqué que cet incident n'est pas lié aux habitats menaçant ruine. "Dieu merci, l'incident n'a causé que des pertes matérielles sans faire de victimes, et les autorités ont ouvert une enquête pour déterminer les responsabilités", a-t-il noté.
Il a également souligné que le gouverneur de la préfecture d'Anfa a donné des instructions aux autorités locales pour permettre aux résidents de récupérer leurs documents personnels, tels que les titres de propriété, les certificats d'examen, les documents scolaires et les registres et contrats de mariage. Il a également incité les autorités à se montrer conciliantes vis-à-vis des victimes en raison des dommages psychologiques subis.
Le drame a également relancé le débat sur le rôle de la police administrative et sa responsabilité dans l'application de la loi en surveillant et en contrôlant les violations dans le domaine de la construction.