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Mohcine Jazouli a été l'un des intervenants clés de l'événement, mettant en lumière le développement des investissements au Maroc au cours des 25 dernières années, grâce à la vision éclairée de Sa Majesté le Roi. Il a expliqué comment cette vision a permis de renverser la tendance entre l'investissement public et privé, avec l'ambition d'atteindre d'ici 2030 une répartition de deux tiers d'investissements privés contre un tiers d'investissements publics.
Des investissements stratégiques pour désenclaver la région
Lorsqu'il s'agit de la ville d'Essaouira, Jazouli a souligné que son département suit l'évolution des investissements de près, « comme le lait sur le feu », en déclarant : « Nous allons dépasser 10 milliards de dirhams d'investissements dans la ville », dans le cadre des projets de l'OCP, dépassant les 130 milliards de dirhams dans le Royaume, dont une bonne partie sera réalisée entre Essaouira et Marrakech, à Meskala.
Pour sa part, Nizar Baraka a présenté sa stratégie nationale pour les infrastructures routières, expliquant qu'un changement d'approche a été nécessaire pour aligner les plans régionaux avec les besoins de développement territorial. Il a fait savoir, dans ce sens, qu’un constat a été fait, dans le cadre de la première expérience des plans d’investissement régionaux, qui dit que « le taux de réalisation de ces plans ne dépassait pas 15%, et cela qui créé une véritable défiance par rapport aux politiques ».
Dans cette optique, une collaboration est nécessaire entre les ministères et les régions pour préparer des plans communs pour faire en sorte que le schéma d’infrastructures soit en phase avec les besoins de développement, nécessaires pour le développement territorial. Cette collaboration a permis de régler, selon le ministre, trois problèmes : La priorisation, la temporalité et la synchronisation, tout en insistant sur l'importance d'une vision intégrée pour assurer la cohérence et l'efficacité des politiques publiques.
Khalid Aït Taleb a, de son côté, évoqué la révolution dans le secteur de la santé au cours des 25 ans de règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, avec une nouvelle gouvernance axée sur la gestion territoriale. Il a noté une tendance récente à l'augmentation des investissements privés dans la santé, notamment après la pandémie de Covid-19.
Interpellée sur la question de la connectivité, Ghita Mezzour a mis en avant les avancées du Maroc en matière de digitalisation des services et a souligné la nécessité d'améliorer la connectivité à Essaouira. Elle a appelé, dans ce sens, les patrons d’entreprises et de projets touristiques comme les hôteliers à investir dans la fibre et la connectivité pour soutenir le développement local.
Enfin, Abdou Diop a souligné le rôle crucial du secteur privé dans le développement régional, recommandant l'amélioration de la connectivité des régions et la mise en place de stratégies de marketing territorial pour renforcer l'attractivité des territoires.
L'Essaouira Investor Day a montré l'engagement des autorités marocaines à transformer Essaouira en un pôle de développement économique et d'innovation, avec des investissements record et une vision stratégique pour l'avenir. Les initiatives présentées par les ministres et les experts lors de cet événement promettent de créer de nouvelles opportunités d'emploi et de développement pour la région de Marrakech-Safi.
Pour sa part, Nizar Baraka a présenté sa stratégie nationale pour les infrastructures routières, expliquant qu'un changement d'approche a été nécessaire pour aligner les plans régionaux avec les besoins de développement territorial. Il a fait savoir, dans ce sens, qu’un constat a été fait, dans le cadre de la première expérience des plans d’investissement régionaux, qui dit que « le taux de réalisation de ces plans ne dépassait pas 15%, et cela qui créé une véritable défiance par rapport aux politiques ».
Dans cette optique, une collaboration est nécessaire entre les ministères et les régions pour préparer des plans communs pour faire en sorte que le schéma d’infrastructures soit en phase avec les besoins de développement, nécessaires pour le développement territorial. Cette collaboration a permis de régler, selon le ministre, trois problèmes : La priorisation, la temporalité et la synchronisation, tout en insistant sur l'importance d'une vision intégrée pour assurer la cohérence et l'efficacité des politiques publiques.
Khalid Aït Taleb a, de son côté, évoqué la révolution dans le secteur de la santé au cours des 25 ans de règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, avec une nouvelle gouvernance axée sur la gestion territoriale. Il a noté une tendance récente à l'augmentation des investissements privés dans la santé, notamment après la pandémie de Covid-19.
Interpellée sur la question de la connectivité, Ghita Mezzour a mis en avant les avancées du Maroc en matière de digitalisation des services et a souligné la nécessité d'améliorer la connectivité à Essaouira. Elle a appelé, dans ce sens, les patrons d’entreprises et de projets touristiques comme les hôteliers à investir dans la fibre et la connectivité pour soutenir le développement local.
Enfin, Abdou Diop a souligné le rôle crucial du secteur privé dans le développement régional, recommandant l'amélioration de la connectivité des régions et la mise en place de stratégies de marketing territorial pour renforcer l'attractivité des territoires.
L'Essaouira Investor Day a montré l'engagement des autorités marocaines à transformer Essaouira en un pôle de développement économique et d'innovation, avec des investissements record et une vision stratégique pour l'avenir. Les initiatives présentées par les ministres et les experts lors de cet événement promettent de créer de nouvelles opportunités d'emploi et de développement pour la région de Marrakech-Safi.
