"Ce lionceau de l'Atlas, né en août 2024, est sous l'observation des équipes zootechniques, conformément aux mesures de suivi vétérinaire et aux soins spécifiques dédiés à cette espèce emblématique, éteinte à l'état sauvage depuis le début du siècle dernier", a affirmé Dr Saad Azizi dans une déclaration à la MAP.
"Cette naissance couronne les efforts déployés en matière de reproduction et de conservation de cette espèce", a relevé le chef du service de zoologie et vétérinaire au Jardin Zoologique National de Rabat, précisant que la particularité de cette naissance est que c'est la première au sein d'un groupe nouvellement formé.
"Nous tenons à former de nouveaux groupes de manière continue pour diminuer la consanguinité au sein des individus et augmenter la diversité génétique de cette sous-espèce", a expliqué le vétérinaire, ajoutant que, depuis sa naissance en août, le lionceau a été soumis à une procédure spécifique incluant un examen vétérinaire rapide, la détermination de son sexe et une évaluation de la prise en charge maternelle.
Durant son premier mois, il a été observé par les soignants, puis à partir du deuxième mois, des interventions telles que l'identification électronique, les vaccinations et les traitements antiparasitaires ont été effectués, a-t-il fait savoir.
Enfin, Azaghar et sa maman Massa ont été réintroduits progressivement au sein du groupe, d'abord avec les femelles et bientôt avec le mâle dominant, a-t-il déclaré.
Concernant le prénom du lionceau, la communauté numérique qui suit le JZN a choisi "Azaghar", un nom berbère signifiant les plaines, a révélé Dr Azizi.
Le Maroc, réputé pour sa biodiversité singulière et pour la richesse de sa faune et de sa flore, est actuellement le seul pays à préserver des lions de l'Atlas et à abriter la plus grande collection au monde de cette espèce dont les effectifs varient entre 30 et 40 individus selon les années.
À travers son programme de conservation, le zoo vise à maintenir un noyau fondateur de cette espèce, en favorisant d'une part une reproduction régulière et contrôlée et une gestion équilibrée garantissant les conditions de bien-être animal, d'autre part, avec pour finalité d'assurer la diversité génétique indispensable à la survie de cette population sur le long terme.
Des ateliers de sensibilisation à la nécessité de protéger les espèces menacées et les écosystèmes fragiles sont prévus durant les prochaines vacances scolaires, dans l'objectif de rappeler l'histoire des lions de l'Atlas et l'importance de cet héritage pour les générations actuelles et futures.
"Cette naissance couronne les efforts déployés en matière de reproduction et de conservation de cette espèce", a relevé le chef du service de zoologie et vétérinaire au Jardin Zoologique National de Rabat, précisant que la particularité de cette naissance est que c'est la première au sein d'un groupe nouvellement formé.
"Nous tenons à former de nouveaux groupes de manière continue pour diminuer la consanguinité au sein des individus et augmenter la diversité génétique de cette sous-espèce", a expliqué le vétérinaire, ajoutant que, depuis sa naissance en août, le lionceau a été soumis à une procédure spécifique incluant un examen vétérinaire rapide, la détermination de son sexe et une évaluation de la prise en charge maternelle.
Durant son premier mois, il a été observé par les soignants, puis à partir du deuxième mois, des interventions telles que l'identification électronique, les vaccinations et les traitements antiparasitaires ont été effectués, a-t-il fait savoir.
Enfin, Azaghar et sa maman Massa ont été réintroduits progressivement au sein du groupe, d'abord avec les femelles et bientôt avec le mâle dominant, a-t-il déclaré.
Concernant le prénom du lionceau, la communauté numérique qui suit le JZN a choisi "Azaghar", un nom berbère signifiant les plaines, a révélé Dr Azizi.
Le Maroc, réputé pour sa biodiversité singulière et pour la richesse de sa faune et de sa flore, est actuellement le seul pays à préserver des lions de l'Atlas et à abriter la plus grande collection au monde de cette espèce dont les effectifs varient entre 30 et 40 individus selon les années.
À travers son programme de conservation, le zoo vise à maintenir un noyau fondateur de cette espèce, en favorisant d'une part une reproduction régulière et contrôlée et une gestion équilibrée garantissant les conditions de bien-être animal, d'autre part, avec pour finalité d'assurer la diversité génétique indispensable à la survie de cette population sur le long terme.
Des ateliers de sensibilisation à la nécessité de protéger les espèces menacées et les écosystèmes fragiles sont prévus durant les prochaines vacances scolaires, dans l'objectif de rappeler l'histoire des lions de l'Atlas et l'importance de cet héritage pour les générations actuelles et futures.