La secousse, enregistrée à 23h48 et ressentie à Ksar El Kébir, Larache, Chefchaouen, Kénitra, Rabat, Casablanca, Safi et même Marrakech, a provoqué une vague d’inquiétude parmi la population. Selon l’Institut National de Géophysique, l'épicentre du séisme a été localisé à la latitude 34.954 Nord et la longitude 5.635 Ouest, plus précisément dans la commune de Brikcha, relevant de la province de Ouezzane. La profondeur du tremblement de terre a été estimée à 20 km.
Dans une déclaration à "Le Matin", Nasser Jabour a expliqué que "ce séisme reste un choc isolé, survenu dans une région connue pour son activité sismique épisodique". Il a rappelé que la zone touchée se situe au niveau du contact entre la plaine du Gharb et la chaîne rifaine, une zone marquée par la présence de systèmes de failles qui sont réactivés périodiquement.
"Cette fois-ci, la magnitude a dépassé le niveau 5 sur l’échelle de Richter, ce qui rappelle l’aléa sismique existant dans la région et l’importance de sensibiliser en permanence sur le risque sismique", a-t-il indiqué.
Il a également précisé que, pour le moment, il n’est pas possible de prédire la survenue de chocs similaires dans cette région. Toutefois, l'absence de répliques après la secousse de cette nuit s’explique par une "faible fuite de stress tectonique, qui n'entraîne pas de chaîne de rebond".
Ce séisme remet en avant la nécessité d’une vigilance accrue face aux risques sismiques au Maroc, notamment dans les zones de failles actives.
Dans une déclaration à "Le Matin", Nasser Jabour a expliqué que "ce séisme reste un choc isolé, survenu dans une région connue pour son activité sismique épisodique". Il a rappelé que la zone touchée se situe au niveau du contact entre la plaine du Gharb et la chaîne rifaine, une zone marquée par la présence de systèmes de failles qui sont réactivés périodiquement.
"Cette fois-ci, la magnitude a dépassé le niveau 5 sur l’échelle de Richter, ce qui rappelle l’aléa sismique existant dans la région et l’importance de sensibiliser en permanence sur le risque sismique", a-t-il indiqué.
Il a également précisé que, pour le moment, il n’est pas possible de prédire la survenue de chocs similaires dans cette région. Toutefois, l'absence de répliques après la secousse de cette nuit s’explique par une "faible fuite de stress tectonique, qui n'entraîne pas de chaîne de rebond".
Ce séisme remet en avant la nécessité d’une vigilance accrue face aux risques sismiques au Maroc, notamment dans les zones de failles actives.