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La ville de Tafraoute a renoué avec l’effervescence du Festival de l’Amandier, vitrine culturelle et économique d’un terroir en pleine reconquête. Placée sous le thème « Terre d’amandier, terroir d’avenir », cette 12e édition s’inscrit dans la continuité de la stratégie « Génération Green 2020-2030 », avec pour ambition de faire de l’agriculture locale un moteur de développement durable.
Le coup d’envoi officiel a été donné vendredi 11 avril par le ministre de l’Agriculture, Ahmed El Bouari, en présence du gouverneur de la province de Tiznit, du président de la Chambre d’agriculture de Souss-Massa, d’élus et d’une importante délégation institutionnelle.
Avec plus de 110 exposants venus des quatre coins du Royaume et une affluence attendue de quelque 80.000 visiteurs, le Festival de l’Amandier se veut bien plus qu’un simple rendez-vous festif. Installée sur une superficie de 2.000 m², cette manifestation célèbre les produits du terroir, dynamise l’économie locale et met en lumière la richesse patrimoniale de la région.
La culture de l’amandier, pilier de l’agriculture dans l’Anti-Atlas, y tient une place centrale. La région Souss-Massa en compte à elle seule plus de 23 400 hectares, soit près de 10 % de la superficie nationale, pour une production annuelle estimée à 27 600 tonnes. Un potentiel qui fait de l’amandier un levier stratégique pour les zones de montagne.
En marge des festivités, le ministre s’est rendu dans la province de Tiznit pour lancer un projet structurant : la plantation de cactus résistants à la cochenille. Ce programme, doté d’un budget de 55 millions de dirhams, vise la réhabilitation de 5.000 hectares de cultures d’ici 2027 dans cinq communes territoriales.
La première tranche, dont les travaux ont été officiellement lancés à Aglou et Tnin Bounaamane, concerne 500 hectares sur une superficie totale programmée de 1000 hectares. Cette opération mobilise un investissement de 11 millions de dirhams et bénéficiera directement à 420 agriculteurs.
À travers le Festival de l’Amandier et les projets qui l’accompagnent, Tafraoute illustre l’articulation réussie entre culture, économie solidaire et transition agricole. Loin de se limiter à la seule valorisation du patrimoine, l’événement s’impose comme une plateforme de convergence des politiques publiques en faveur du monde rural.
Le coup d’envoi officiel a été donné vendredi 11 avril par le ministre de l’Agriculture, Ahmed El Bouari, en présence du gouverneur de la province de Tiznit, du président de la Chambre d’agriculture de Souss-Massa, d’élus et d’une importante délégation institutionnelle.
Avec plus de 110 exposants venus des quatre coins du Royaume et une affluence attendue de quelque 80.000 visiteurs, le Festival de l’Amandier se veut bien plus qu’un simple rendez-vous festif. Installée sur une superficie de 2.000 m², cette manifestation célèbre les produits du terroir, dynamise l’économie locale et met en lumière la richesse patrimoniale de la région.
La culture de l’amandier, pilier de l’agriculture dans l’Anti-Atlas, y tient une place centrale. La région Souss-Massa en compte à elle seule plus de 23 400 hectares, soit près de 10 % de la superficie nationale, pour une production annuelle estimée à 27 600 tonnes. Un potentiel qui fait de l’amandier un levier stratégique pour les zones de montagne.
En marge des festivités, le ministre s’est rendu dans la province de Tiznit pour lancer un projet structurant : la plantation de cactus résistants à la cochenille. Ce programme, doté d’un budget de 55 millions de dirhams, vise la réhabilitation de 5.000 hectares de cultures d’ici 2027 dans cinq communes territoriales.
La première tranche, dont les travaux ont été officiellement lancés à Aglou et Tnin Bounaamane, concerne 500 hectares sur une superficie totale programmée de 1000 hectares. Cette opération mobilise un investissement de 11 millions de dirhams et bénéficiera directement à 420 agriculteurs.
À travers le Festival de l’Amandier et les projets qui l’accompagnent, Tafraoute illustre l’articulation réussie entre culture, économie solidaire et transition agricole. Loin de se limiter à la seule valorisation du patrimoine, l’événement s’impose comme une plateforme de convergence des politiques publiques en faveur du monde rural.
