La prison locale de Tanger est la plus touchée, avec 25 cas enregistrés, dont 24 détenus placés en isolement et un transféré à l’hôpital public pour des soins. La prison locale de Ain Borja a enregistré, pour sa part, six cas, dont cinq en isolement et un hospitalisé. D’autres établissements, comme les prisons locales de Mohammedia et El Arjat 1, ont signalé respectivement cinq et trois cas. Par ailleurs, des cas isolés ont été recensés dans les prisons de Kénitra, Fès (Bourkayz), Benslimane, Souk El Arbaâ, ainsi que dans les établissements de Bouarfa, Kelaat Sraghna, Tétouan, Berkane et Tan-Tan.
La même source a également rappelé que 7 cas ont été enregistrés parmi le personnel des établissements pénitentiaires, dont un médecin, notant qu'ils ont été soumis au protocole sanitaire en vigueur.
Pour endiguer la propagation de la rougeole, la DGAPR, en partenariat avec le ministère de la Santé et de la Protection sociale, avait lancé une campagne de vaccination dans les établissements pénitentiaires. À ce jour, 11.620 détenus et 332 membres du personnel pénitentiaire ont été vaccinés sous la supervision des équipes des délégations régionales de santé.
La DGAPR affirme maintenir une vigilance constante pour limiter la propagation de l’épidémie. Les établissements pénitentiaires continuent de mettre en œuvre les directives détaillées dans une circulaire dédiée et de collaborer étroitement avec les autorités sanitaires compétentes.
La même source a également rappelé que 7 cas ont été enregistrés parmi le personnel des établissements pénitentiaires, dont un médecin, notant qu'ils ont été soumis au protocole sanitaire en vigueur.
Pour endiguer la propagation de la rougeole, la DGAPR, en partenariat avec le ministère de la Santé et de la Protection sociale, avait lancé une campagne de vaccination dans les établissements pénitentiaires. À ce jour, 11.620 détenus et 332 membres du personnel pénitentiaire ont été vaccinés sous la supervision des équipes des délégations régionales de santé.
La DGAPR affirme maintenir une vigilance constante pour limiter la propagation de l’épidémie. Les établissements pénitentiaires continuent de mettre en œuvre les directives détaillées dans une circulaire dédiée et de collaborer étroitement avec les autorités sanitaires compétentes.