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Le Parc naturel de Chekhar, situé dans la province de Jerada, fait un pas de plus vers la préservation de sa biodiversité. L’Agence nationale des eaux et forêts (ANEF) a lancé, mardi 15 octobre, une opération ambitieuse de réintroduction d’espèces fauniques menacées, marquant une étape cruciale dans la création et la valorisation de cette aire protégée. Cette initiative, qui s’inscrit dans le cadre du programme d’aménagement et de valorisation du Parc, témoigne de l’engagement de l’ANEF pour la restauration de la biodiversité et la gestion durable des ressources naturelles.
Lors de la cérémonie officielle, présidée par Abderrahim Houmy, directeur général de l’ANEF, et Mabrouk Tabet, gouverneur de la province de Jerada, plusieurs espèces emblématiques ont été réintroduites dans leur milieu naturel. «Ce projet symbolise notre engagement à restaurer les écosystèmes locaux et à renforcer la biodiversité du Parc de Chekhar», indique l’ANEF dans un communiqué. Et d’ajouter que «le lâcher de 20 mouflons à manchettes, 15 gazelles de Cuvier et 8 porcs-épics a marqué cette première étape, visant à redonner vie à ces espèces menacées dans la région».
En parallèle, un mémorandum d’entente a été signé entre l’ANEF et la province de Jerada, établissant un cadre de coopération pour l’aménagement du Parc naturel de Chekhar. «Ce partenariat vise à valoriser le patrimoine naturel au bénéfice des populations locales et assurer une gestion durable des ressources», ajoute la même source.
Le programme de développement du Parc se déroulera en deux phases. La première, déjà entérinée par les enquêtes publiques, concerne la création officielle du Parc, une décision prise en accord avec l’Arrêté du ministre de l’Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts. La deuxième phase, qui s’étendra de 2025 à 2030, portera sur l’aménagement et la réhabilitation des écosystèmes du Parc. Ce projet, financé à hauteur de 80 millions de dirhams, vise également à promouvoir l’écotourisme à travers une approche inclusive, impliquant les populations locales dans une dynamique de développement durable.
«Ce programme d’aménagement fait de Chekhar un projet pilote, une première aire protégée à bénéficier de cette initiative», a indiqué l’ANEF dans un communiqué. D’autres aires protégées suivront en fonction des résultats des enquêtes publiques en cours, poursuivant l’objectif de restaurer les écosystèmes marocains et de créer de nouvelles opportunités pour les communautés locales à travers l’écotourisme et la mise en valeur des produits locaux.
Le Parc naturel de Chekhar est appelé à devenir une marque territoriale forte, intégrant les différentes chaînes de valeur et s’imposant comme un modèle de préservation environnementale et de développement durable dans la région de l’Oriental.
Lors de la cérémonie officielle, présidée par Abderrahim Houmy, directeur général de l’ANEF, et Mabrouk Tabet, gouverneur de la province de Jerada, plusieurs espèces emblématiques ont été réintroduites dans leur milieu naturel. «Ce projet symbolise notre engagement à restaurer les écosystèmes locaux et à renforcer la biodiversité du Parc de Chekhar», indique l’ANEF dans un communiqué. Et d’ajouter que «le lâcher de 20 mouflons à manchettes, 15 gazelles de Cuvier et 8 porcs-épics a marqué cette première étape, visant à redonner vie à ces espèces menacées dans la région».
En parallèle, un mémorandum d’entente a été signé entre l’ANEF et la province de Jerada, établissant un cadre de coopération pour l’aménagement du Parc naturel de Chekhar. «Ce partenariat vise à valoriser le patrimoine naturel au bénéfice des populations locales et assurer une gestion durable des ressources», ajoute la même source.
Le programme de développement du Parc se déroulera en deux phases. La première, déjà entérinée par les enquêtes publiques, concerne la création officielle du Parc, une décision prise en accord avec l’Arrêté du ministre de l’Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts. La deuxième phase, qui s’étendra de 2025 à 2030, portera sur l’aménagement et la réhabilitation des écosystèmes du Parc. Ce projet, financé à hauteur de 80 millions de dirhams, vise également à promouvoir l’écotourisme à travers une approche inclusive, impliquant les populations locales dans une dynamique de développement durable.
«Ce programme d’aménagement fait de Chekhar un projet pilote, une première aire protégée à bénéficier de cette initiative», a indiqué l’ANEF dans un communiqué. D’autres aires protégées suivront en fonction des résultats des enquêtes publiques en cours, poursuivant l’objectif de restaurer les écosystèmes marocains et de créer de nouvelles opportunités pour les communautés locales à travers l’écotourisme et la mise en valeur des produits locaux.
Le Parc naturel de Chekhar est appelé à devenir une marque territoriale forte, intégrant les différentes chaînes de valeur et s’imposant comme un modèle de préservation environnementale et de développement durable dans la région de l’Oriental.
