L’Association pour la promotion de la culture de l’égalité (APCE) organise, le 17 mai prochain à Rabat, la deuxième édition des Assises du féminisme. Cet événement, devenu une plateforme incontournable pour la réflexion et le débat autour de la condition féminine au Maroc, ambitionne de rassembler des acteurs engagés et diversifiés du féminisme contemporain, incluant des associations progressistes, des personnalités influentes, des juristes, des médecins, des islamologues, des économistes, ainsi que des artistes et des analystes.
Les Assises se veulent un espace où se confrontent les idées et se formulent des recommandations pour promouvoir l’égalité hommes-femmes. Selon les organisateurs, cet événement permet de «rassembler une mosaïque d’acteurs du féminisme marocain contemporain toutes générations confondues» et d’ouvrir un dialogue constructif sur la question de l’égalité économique.
Le thème central de cette édition, «Les inégalités économiques et leur impact sur le statut et la condition des femmes au Maroc», est d’autant plus pertinent que la situation actuelle révèle de profondes disparités. Le Maroc occupe la 137e place sur 146 pays dans le «Global Gender Gap Report 2024», en recul par rapport à l’année précédente. De plus, la participation des femmes au marché du travail reste faible, avec un taux d’activité de seulement 19,9% en 2023, contre 70,4% pour les hommes.
Les organisateurs soulignent que «malgré les progrès en matière d’éducation et certaines initiatives, l’inclusion économique des femmes demeure limitée». En effet, même parmi les diplômées de l’enseignement supérieur, le taux de chômage féminin reste élevé à 13,5%, contre 7,8% pour les hommes.
Pour cette deuxième édition, l’APCE entend «identifier et analyser les multiples barrières à l’autonomie économique des femmes», en s’intéressant particulièrement aux barrières socio-culturelles, économiques et institutionnelles. Les participants seront invités à réfléchir aux moyens de favoriser l’entrepreneuriat féminin et à proposer des mesures concrètes pour garantir une meilleure inclusion des femmes sur le marché du travail.
Les conclusions et recommandations de ces assises seront mises à la disposition des décideurs politiques pour impulser de réels changements en faveur de l’égalité économique au Maroc.
Les Assises se veulent un espace où se confrontent les idées et se formulent des recommandations pour promouvoir l’égalité hommes-femmes. Selon les organisateurs, cet événement permet de «rassembler une mosaïque d’acteurs du féminisme marocain contemporain toutes générations confondues» et d’ouvrir un dialogue constructif sur la question de l’égalité économique.
Le thème central de cette édition, «Les inégalités économiques et leur impact sur le statut et la condition des femmes au Maroc», est d’autant plus pertinent que la situation actuelle révèle de profondes disparités. Le Maroc occupe la 137e place sur 146 pays dans le «Global Gender Gap Report 2024», en recul par rapport à l’année précédente. De plus, la participation des femmes au marché du travail reste faible, avec un taux d’activité de seulement 19,9% en 2023, contre 70,4% pour les hommes.
Les organisateurs soulignent que «malgré les progrès en matière d’éducation et certaines initiatives, l’inclusion économique des femmes demeure limitée». En effet, même parmi les diplômées de l’enseignement supérieur, le taux de chômage féminin reste élevé à 13,5%, contre 7,8% pour les hommes.
Pour cette deuxième édition, l’APCE entend «identifier et analyser les multiples barrières à l’autonomie économique des femmes», en s’intéressant particulièrement aux barrières socio-culturelles, économiques et institutionnelles. Les participants seront invités à réfléchir aux moyens de favoriser l’entrepreneuriat féminin et à proposer des mesures concrètes pour garantir une meilleure inclusion des femmes sur le marché du travail.
Les conclusions et recommandations de ces assises seront mises à la disposition des décideurs politiques pour impulser de réels changements en faveur de l’égalité économique au Maroc.