Selon l'étude publiée dans la revue scientifique "Environmental Science & Technology Letters", l'un des composants phares utilisé par les marques dans la confection des montres connectées est susceptible d'émettre des PFAS, les substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées, qualifiées de polluants éternels.
Les scientifiques américains pointent particulièrement du doigt, le fluoroélastomère, un matériau présentant des propriétés « élastiques » utilisé dans la confection des bracelets des montres connectées. L'étude précise que ce composant a été détecté dans les modèles Apple Watch, Huawei Watch Fit 3 et Pixel Watch 3.
Le polymères synthétiques fluoré incriminé peut se décomposer en acide perfluorohexanoïque (PFHxA), un PFAS présent alors dans les bracelets au contact de la peau. Un phénomène qui pourrait impacter la santé des consommateurs, d’après l’agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Augmentation du taux de cholestérol, cancers, effets sur la fertilité et le développement du fœtus, sur le foie, sur les reins, sont autant de risques auxquels s’exposent les adeptes de ce type de montres.
Le PFHxA possède une structure chimique proche de celle d'autres acides perfluoroalcanoïques bien connus, comme le PFOA (acide perfluorooctanoïque), que le Centre international de recherche sur le cancer a identifié comme « cancérogène pour l’Homme ».
Les scientifiques américains pointent particulièrement du doigt, le fluoroélastomère, un matériau présentant des propriétés « élastiques » utilisé dans la confection des bracelets des montres connectées. L'étude précise que ce composant a été détecté dans les modèles Apple Watch, Huawei Watch Fit 3 et Pixel Watch 3.
Le polymères synthétiques fluoré incriminé peut se décomposer en acide perfluorohexanoïque (PFHxA), un PFAS présent alors dans les bracelets au contact de la peau. Un phénomène qui pourrait impacter la santé des consommateurs, d’après l’agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Augmentation du taux de cholestérol, cancers, effets sur la fertilité et le développement du fœtus, sur le foie, sur les reins, sont autant de risques auxquels s’exposent les adeptes de ce type de montres.
Le PFHxA possède une structure chimique proche de celle d'autres acides perfluoroalcanoïques bien connus, comme le PFOA (acide perfluorooctanoïque), que le Centre international de recherche sur le cancer a identifié comme « cancérogène pour l’Homme ».