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Cette recommandation a été formulée à l’issue d’une réunion de concertation tenue mardi 23 décembre courant au siège de l’AMMPS à Rabat. La rencontre a réuni les principales organisations professionnelles du secteur, dont la Fédération marocaine de l’industrie et de l’innovation pharmaceutiques (FMIIP), l’Association marocaine du médicament générique (AMMG), Les Entreprises du Médicament au Maroc (LEMM), ainsi que le Conseil de l’Ordre des pharmaciens fabricants et répartiteurs (COPFR).
Les échanges ont porté sur l’état de disponibilité des médicaments jugés essentiels et sur les leviers permettant de prévenir les ruptures de stock, dans un contexte international marqué par des perturbations persistantes des chaînes de production et de distribution. Les participants ont souligné la nécessité d’un cadre de coordination régulier et structuré pour améliorer la réactivité du système et renforcer l’anticipation.
Au-delà de la gestion conjoncturelle, cette initiative s’inscrit dans une vision stratégique nationale visant le renforcement de la souveraineté médicamenteuse, la sécurisation de l’arsenal thérapeutique et la consolidation du tissu industriel pharmaceutique marocain. En misant sur un dialogue institutionnalisé entre régulateur, tutelle et industriels, les autorités entendent doter le pays d’un dispositif durable à même de protéger l’accès des patients aux traitements essentiels.
Les échanges ont porté sur l’état de disponibilité des médicaments jugés essentiels et sur les leviers permettant de prévenir les ruptures de stock, dans un contexte international marqué par des perturbations persistantes des chaînes de production et de distribution. Les participants ont souligné la nécessité d’un cadre de coordination régulier et structuré pour améliorer la réactivité du système et renforcer l’anticipation.
Au-delà de la gestion conjoncturelle, cette initiative s’inscrit dans une vision stratégique nationale visant le renforcement de la souveraineté médicamenteuse, la sécurisation de l’arsenal thérapeutique et la consolidation du tissu industriel pharmaceutique marocain. En misant sur un dialogue institutionnalisé entre régulateur, tutelle et industriels, les autorités entendent doter le pays d’un dispositif durable à même de protéger l’accès des patients aux traitements essentiels.
