"Nous nous dirigeons vers la sécurisation de près d'un million de doses" de vaccin contre le mpox, a déclaré le docteur Jean Kaseya, directeur général du Africa CDC, lors d'une réunion du comité régional de l'OMS (Organisation mondiale de la Santé) pour l'Afrique, organisée au Congo-Brazzaville.
Le docteur Kaseya a indiqué que 215.000 doses de vaccins ont déjà été "sécurisées" auprès du fabricant danois Bavarian Nordic. Plusieurs pays, dont l'Espagne (500.000 doses), la France et l'Allemagne (100.000 doses) ont déjà promis d'envoyer des vaccins pour les pays africains, en première ligne de l'épidémie.
"Nous disons à Bavarian Nordic que nous avons besoin d'un transfert de technologie vers les fabricants africains" et "nous croyons que très bientôt, le vaccin contre le mpox sera fabriqué en Afrique", a ajouté le docteur Kaseya. Selon lui, "au 27 août, nous avons 22.863 cas suspects et 622 décès" liés aux divers clades du mpox sur le continent. Au sujet des cas confirmés, "nous n'en parlons pas beaucoup, car nous avons encore des pays avec un taux de test inférieur à 30% et nous avons encore des pays confrontés à un certain nombre de défis en termes de qualité et de transport", a-t-il précisé.
Selon l'OMS, 5.281 cas de mpox ont été confirmés au 25 août sur le continent pour l'année 2024, et 60% des cas suspects se sont révélés positifs après avoir été testés. L'OMS évalue à 135 millions de dollars les fonds requis pour financer la riposte internationale au mpox au cours des six prochains mois. Elle a lancé mardi un appel de 87,4 millions de dollars pour soutenir ses propres activités de lutte contre le virus.
La recrudescence du mpox en Afrique, qui touche la République démocratique du Congo (RDC) et douze autres pays du continent, notamment le Burundi, le Kenya, le Rwanda et l'Ouganda, et l'apparition d'un nouveau variant (1b) ont poussé l'OMS à déclencher le 14 août son plus haut degré d'alerte mondiale.
Le mpox, appelé auparavant variole du singe, est une maladie virale qui se propage de l'animal à l'homme mais se transmet aussi entre humains, provoquant fièvre, douleurs musculaires et lésions cutanées.
Le docteur Kaseya a indiqué que 215.000 doses de vaccins ont déjà été "sécurisées" auprès du fabricant danois Bavarian Nordic. Plusieurs pays, dont l'Espagne (500.000 doses), la France et l'Allemagne (100.000 doses) ont déjà promis d'envoyer des vaccins pour les pays africains, en première ligne de l'épidémie.
"Nous disons à Bavarian Nordic que nous avons besoin d'un transfert de technologie vers les fabricants africains" et "nous croyons que très bientôt, le vaccin contre le mpox sera fabriqué en Afrique", a ajouté le docteur Kaseya. Selon lui, "au 27 août, nous avons 22.863 cas suspects et 622 décès" liés aux divers clades du mpox sur le continent. Au sujet des cas confirmés, "nous n'en parlons pas beaucoup, car nous avons encore des pays avec un taux de test inférieur à 30% et nous avons encore des pays confrontés à un certain nombre de défis en termes de qualité et de transport", a-t-il précisé.
Selon l'OMS, 5.281 cas de mpox ont été confirmés au 25 août sur le continent pour l'année 2024, et 60% des cas suspects se sont révélés positifs après avoir été testés. L'OMS évalue à 135 millions de dollars les fonds requis pour financer la riposte internationale au mpox au cours des six prochains mois. Elle a lancé mardi un appel de 87,4 millions de dollars pour soutenir ses propres activités de lutte contre le virus.
La recrudescence du mpox en Afrique, qui touche la République démocratique du Congo (RDC) et douze autres pays du continent, notamment le Burundi, le Kenya, le Rwanda et l'Ouganda, et l'apparition d'un nouveau variant (1b) ont poussé l'OMS à déclencher le 14 août son plus haut degré d'alerte mondiale.
Le mpox, appelé auparavant variole du singe, est une maladie virale qui se propage de l'animal à l'homme mais se transmet aussi entre humains, provoquant fièvre, douleurs musculaires et lésions cutanées.