L'Observatoire Copernicus, spécialisé dans la surveillance du changement climatique, a annoncé que janvier 2025 a été le mois le plus chaud jamais enregistré depuis le début des relevés de température. La température mondiale au cours de ce mois a atteint 1,75°C au-dessus de la moyenne enregistrée durant la période préindustrielle (1850-1900). Les données indiquent que 18 des 19 derniers mois ont connu une hausse des températures dépassant 1,5°C par rapport aux moyennes climatiques habituelles, confirmant ainsi la poursuite du phénomène de réchauffement climatique.
Malgré cette hausse record des températures à l’échelle mondiale, la situation a été différente au Maroc, où janvier 2025 s’est classé au huitième rang des mois les plus froids depuis 1981. Les statistiques de la direction générale de la météorologie indiquent que la température durant ce mois a été inférieure de 1,18°C à la moyenne habituelle.
En comparant janvier 2025 aux années précédentes, on constate une situation totalement opposée en janvier 2024, lorsque le Maroc avait enregistré son mois de janvier le plus chaud depuis 1981, avec une augmentation de 3,35°C par rapport à la normale. Cette variation importante des températures illustre l’influence des facteurs météorologiques régionaux, tels que les dépressions atmosphériques et les courants d'air froids, qui peuvent affecter le climat local, en dépit de la tendance générale à la hausse des températures au niveau mondial.
Malgré cette hausse record des températures à l’échelle mondiale, la situation a été différente au Maroc, où janvier 2025 s’est classé au huitième rang des mois les plus froids depuis 1981. Les statistiques de la direction générale de la météorologie indiquent que la température durant ce mois a été inférieure de 1,18°C à la moyenne habituelle.
En comparant janvier 2025 aux années précédentes, on constate une situation totalement opposée en janvier 2024, lorsque le Maroc avait enregistré son mois de janvier le plus chaud depuis 1981, avec une augmentation de 3,35°C par rapport à la normale. Cette variation importante des températures illustre l’influence des facteurs météorologiques régionaux, tels que les dépressions atmosphériques et les courants d'air froids, qui peuvent affecter le climat local, en dépit de la tendance générale à la hausse des températures au niveau mondial.
