«Datant du Jurassique moyen, il y a environ 165 millions d’années, ce spécimen émerge des annales de l'histoire ancienne avec des restes postcrâniens comprenant principalement des vertèbres dorsales, des côtes désarticulées et des éléments d’armures dermiques énigmatiques. Des analyses histologiques approfondies suggèrent qu’il s’agissait d’un dinosaure adulte, mesurant environ 6 mètres de longueur et 2 mètres de largeur, si l'on se base sur l'extrapolation issue des os de sa cage thoracique», indique l’équipe de recherche dans un communiqué.
Et d’ajouter que «ce spécimen distinctif se caractérise par une armure dermique remarquable, constituée d’ostéodermes épais (jusqu'à 4 cm) de forme subovale à sub-rectangulaire. La texture asymétrique de ces ostéodermes, ornée de petits foramens et de faisceaux de fibres d’un côté, et d’un motif hachuré bien marqué de l’autre, est nettement différente de celle observée jusqu’à présent chez les espèces du groupe de dinosaures des Thyreophores. Une disposition couchée des ostéodermes sur le corps de l'animal, au lieu d’une position dressée, constitue une observation inédite dans ce groupe de dinosaures».
Les chercheurs précisent également que le Thyreosaurus Atlasicus présente des différences anatomiques notables avec Adratiklit Boulahfa, une autre espèce de stégosaure découverte dans la même région, ce qui justifie sa classification en tant qu'espèce distincte. «Cette découverte enrichit ainsi notre compréhension de l’évolution et la diversité des dinosaures ayant peuplé le Gondwana, un supercontinent comprenant les régions correspondant aujourd’hui à l’Amérique du Sud, à l’Afrique, à l’Inde, à l’Antarctique et à l’Australie, il y a des millions d’années», souligne l’équipe de recherche qui est composée de Omar Zafaty et Pr Mostafa Oukassou de la Faculté des sciences de Ben M’Sick, ainsi que des chercheurs des Universités de Maimonides (Argentine), de Valence et du Pays basque (Espagne), de Moulay Ismaïl (Maroc) et de Montpellier et de Toulouse (France).
On note aussi que la région du Moyen Atlas continue de révéler un assemblage diversifié de dinosaures du Jurassique moyen, témoignant de la coexistence de plusieurs espèces, telles que des sauropodes (Cetiosaurus) et des thyréophores, notamment des ankylosaures (Spicomellus) et des stégosaures (Adratiklit et Thyreosaurus), formant ainsi une faune unique et diversifiée.
Et d’ajouter que «ce spécimen distinctif se caractérise par une armure dermique remarquable, constituée d’ostéodermes épais (jusqu'à 4 cm) de forme subovale à sub-rectangulaire. La texture asymétrique de ces ostéodermes, ornée de petits foramens et de faisceaux de fibres d’un côté, et d’un motif hachuré bien marqué de l’autre, est nettement différente de celle observée jusqu’à présent chez les espèces du groupe de dinosaures des Thyreophores. Une disposition couchée des ostéodermes sur le corps de l'animal, au lieu d’une position dressée, constitue une observation inédite dans ce groupe de dinosaures».
Les chercheurs précisent également que le Thyreosaurus Atlasicus présente des différences anatomiques notables avec Adratiklit Boulahfa, une autre espèce de stégosaure découverte dans la même région, ce qui justifie sa classification en tant qu'espèce distincte. «Cette découverte enrichit ainsi notre compréhension de l’évolution et la diversité des dinosaures ayant peuplé le Gondwana, un supercontinent comprenant les régions correspondant aujourd’hui à l’Amérique du Sud, à l’Afrique, à l’Inde, à l’Antarctique et à l’Australie, il y a des millions d’années», souligne l’équipe de recherche qui est composée de Omar Zafaty et Pr Mostafa Oukassou de la Faculté des sciences de Ben M’Sick, ainsi que des chercheurs des Universités de Maimonides (Argentine), de Valence et du Pays basque (Espagne), de Moulay Ismaïl (Maroc) et de Montpellier et de Toulouse (France).
On note aussi que la région du Moyen Atlas continue de révéler un assemblage diversifié de dinosaures du Jurassique moyen, témoignant de la coexistence de plusieurs espèces, telles que des sauropodes (Cetiosaurus) et des thyréophores, notamment des ankylosaures (Spicomellus) et des stégosaures (Adratiklit et Thyreosaurus), formant ainsi une faune unique et diversifiée.