Connexion
Considérant que ses compétences et ses qualités pourront contribuer à la promotion de la stabilité financière internationale, ainsi qu'à l'amélioration du potentiel de croissance des pays en développement, le Royaume du Maroc avait apporté son ferme soutien à M. Strauss-Kahn, au poste de directeur général du FMI.
En tant que ministre de l'Economie et des Finances, M. Strauss-Kahn, qui avait passé ses 10 premières années à Agadir, a toujours œuvré au renforcement des relations entre Rabat et Paris avec notamment l'initiation de nouvelles opérations de conversion de dette en investissements privés. M. Strauss-Kahn a toujours milité pour le renforcement du partenariat euro-méditerranéen avec une sensibilité particulière pour le développement de la rive sud de la Méditerranée, notamment de la région du Maghreb.
Ancien ministre français de l'Economie, Dominique Strauss-Kahn, s'est dit, dès sa nomination à la tête du FMI, déterminé à engager des réformes au sein du FMI, pour mettre la stabilité financière au service de la communauté internationale, tout en favorisant la croissance et l'emploi. Depuis son arrivée à la tête de cette institution, M. Strauss-Kahn a engagé une réforme interne pour agir sur “le double front de la pertinence et la légitimité du FMI, et de sa solidarité financière”.
On se rappelle que lors de ses premiers entretiens avec les organisations de la société civile, M. Strauss-Kahn s'est dit persuadé de l'importance de leur rôle, notamment dans les pays à faibles revenus, et s'est réjoui à la perspective de travailler avec les divers représentants de la société civile.
M. Strauss-Kahn est docteur en sciences économiques de l'université de Paris. Il a mené des études brillantes, (HEC, Sciences Po, licence en droit public, doctorat et agrégation de sciences économiques) et devient d'abord professeur d'économie à l'université de Nancy II, puis de Paris à partir de 1977.
Il a été membre de l'Assemblée nationale française et professeur d'économie à l'Institut d'études politiques de Paris. Il a occupé les fonctions de ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, ainsi que celles de ministre de l'Industrie et du Commerce international. Il a, en outre, travaillé comme avocat d'affaires dans un cabinet privé.
En tant que ministre de l'Economie et des Finances, M. Strauss-Kahn, qui avait passé ses 10 premières années à Agadir, a toujours œuvré au renforcement des relations entre Rabat et Paris avec notamment l'initiation de nouvelles opérations de conversion de dette en investissements privés. M. Strauss-Kahn a toujours milité pour le renforcement du partenariat euro-méditerranéen avec une sensibilité particulière pour le développement de la rive sud de la Méditerranée, notamment de la région du Maghreb.
Ancien ministre français de l'Economie, Dominique Strauss-Kahn, s'est dit, dès sa nomination à la tête du FMI, déterminé à engager des réformes au sein du FMI, pour mettre la stabilité financière au service de la communauté internationale, tout en favorisant la croissance et l'emploi. Depuis son arrivée à la tête de cette institution, M. Strauss-Kahn a engagé une réforme interne pour agir sur “le double front de la pertinence et la légitimité du FMI, et de sa solidarité financière”.
On se rappelle que lors de ses premiers entretiens avec les organisations de la société civile, M. Strauss-Kahn s'est dit persuadé de l'importance de leur rôle, notamment dans les pays à faibles revenus, et s'est réjoui à la perspective de travailler avec les divers représentants de la société civile.
M. Strauss-Kahn est docteur en sciences économiques de l'université de Paris. Il a mené des études brillantes, (HEC, Sciences Po, licence en droit public, doctorat et agrégation de sciences économiques) et devient d'abord professeur d'économie à l'université de Nancy II, puis de Paris à partir de 1977.
Il a été membre de l'Assemblée nationale française et professeur d'économie à l'Institut d'études politiques de Paris. Il a occupé les fonctions de ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, ainsi que celles de ministre de l'Industrie et du Commerce international. Il a, en outre, travaillé comme avocat d'affaires dans un cabinet privé.
