La toute première édition de l’African Football League sera marquée par la présence d’un club marocain en finale. En effet, le Wydad de Casablanca a composté son billet pour le tour ultime de l’édition inaugurale, mercredi, grâce à son efficacité lors de la séance des tirs au but. Dans le temps réglementaire, Rodrigo Rodrigues Silva a permis à l’Espérance de Tunis de rattraper son retard du match aller, avec un but de la tête à la 66e minute. Finalement, le même Brésilien allait rater son tir au but lors des penaltys, face à Youssef El Motie, offrant ainsi le billet qualificatif aux Rouges.
Les coéquipiers de Yahya Jabrane ont donc réussi à faire d’une pierre deux coups : rendre la claque à l’EST après la finale controversée de la Ligue des champions CAF 2019 et composter leur ticket pour la finale de la prestigieuse nouvelle compétition de la Confédération africaine. Pour Adil Ramzi, la qualification s’est jouée sur des détails, comme il l’a expliqué en point de presse mercredi : «Le match retour était tactique, au jeu fermé, comme c’était d’ailleurs le cas au match aller à Casablanca. Ce match retour a été difficile à négocier et les penaltys ont fait la différence... Nous n’avons pas voulu prendre de risques et nous avons préféré ménager nos joueurs qui manquaient de fraîcheur physique».
Adil Ramzi n’a pas non plus omis de rendre honneur à son adversaire, estimant que l’Espérance était plus entreprenante mercredi : «Je veux aussi complimenter l’Espérance de Tunis pour le volume de jeu qu’elle a développé lors de cette demi-finale retour. Si nous étions plus entreprenants à l’aller, les Espérantistes l’ont été au retour et se sont créé plus d’occasions que nous. Je souhaite bonne chance à l’Espérance de Tunis pour la suite de son parcours cette saison». Le Wydad a donc rejoint en finale les Sud-Africains de Mamelodi Sundowns, tombeur d’Al Ahly d’Égypte, suite à un nul blanc en demi-finale retour. Un adversaire que le Wydad connaît fort bien, pour l’avoir affronté plus d’une dizaine de fois lors de la dernière décennie.
Les coéquipiers de Yahya Jabrane ont donc réussi à faire d’une pierre deux coups : rendre la claque à l’EST après la finale controversée de la Ligue des champions CAF 2019 et composter leur ticket pour la finale de la prestigieuse nouvelle compétition de la Confédération africaine. Pour Adil Ramzi, la qualification s’est jouée sur des détails, comme il l’a expliqué en point de presse mercredi : «Le match retour était tactique, au jeu fermé, comme c’était d’ailleurs le cas au match aller à Casablanca. Ce match retour a été difficile à négocier et les penaltys ont fait la différence... Nous n’avons pas voulu prendre de risques et nous avons préféré ménager nos joueurs qui manquaient de fraîcheur physique».
Adil Ramzi n’a pas non plus omis de rendre honneur à son adversaire, estimant que l’Espérance était plus entreprenante mercredi : «Je veux aussi complimenter l’Espérance de Tunis pour le volume de jeu qu’elle a développé lors de cette demi-finale retour. Si nous étions plus entreprenants à l’aller, les Espérantistes l’ont été au retour et se sont créé plus d’occasions que nous. Je souhaite bonne chance à l’Espérance de Tunis pour la suite de son parcours cette saison». Le Wydad a donc rejoint en finale les Sud-Africains de Mamelodi Sundowns, tombeur d’Al Ahly d’Égypte, suite à un nul blanc en demi-finale retour. Un adversaire que le Wydad connaît fort bien, pour l’avoir affronté plus d’une dizaine de fois lors de la dernière décennie.