Connexion
La RD Congo et le Maroc ont fait un match nul (1-1) lors de leur deuxième match en phase de poule de la Coupe d’Afrique des Nations 2023, dimanche 21 janvier. Une rencontre qui a été marquée par une échauffourée entre les deux sélections sous un soleil de plomb.
En effet, la tension est montée d'un cran au coup de sifflet final, entre Chancel Mbemba et Walid Regragui.
Sur quoi les deux hommes ont été séparés par plusieurs personnes et une mêlée s'est aussitôt formée dans une confusion maximale, avec empoignades multiples, provoquant ainsi la colère des supporters marocains qui ont posté des messages virulents à l’encontre du joueur congolais.
Suite à ça, Romain Saiss a décidé de sortir du silence pour calmer les choses. “Le football reste du sport, avec de la tension, de l'adrénaline et j’en passe. Ce qui est sûr le terrain reste sur le terrain on fait tous des erreurs avec la pression et l’enjeu d’une grande compétition. Mais il ne faut pas tout mélanger et laisser place à un déferlement de haine de part et d’autre”, a-t-il déclaré, avant d’ajouter :
“On est tous fiers de représenter l'Afrique, fiers d’être africains peu importe nos origines. Ne nous divisons pas pour des bêtises cela reste du foot, restons unis pour montrer le meilleur visage dans cette can et la fraternité qui unit notre continent. Africa united. » Un message important qui devra être entendu”.
Une sortie de la part du défenseur qui intervient après celle du principal concerné, Walid Regragui, qui est revenu sur ces incidents en conférence de presse avec une volonté de dédramatiser et d'apaisement.
"Alors ça arrive dans le football. J'ai beaucoup de respect pour Mbemba. Peut-être que c'est l'adrénaline qui l'a fait répondre comme ça. Mais il n'y a pas de souci. (...) Après, il fallait rester beaucoup plus calmes. On n'a pas donné une belle image, ni nous ni le Congo", a dit le sélectionneur marocain.
"Sur ça, il fallait rester calme. C'est le deuxième match. Après, peut-être qu'avec la chaleur, la tension a été un peu élevée chez tout le monde. Mais ce n'est pas un exemple, et il n'y a pas de souci entre Mbemba et moi ou l'équipe. On avance, c'est passé maintenant", a-t-il assuré.
En effet, la tension est montée d'un cran au coup de sifflet final, entre Chancel Mbemba et Walid Regragui.
Sur quoi les deux hommes ont été séparés par plusieurs personnes et une mêlée s'est aussitôt formée dans une confusion maximale, avec empoignades multiples, provoquant ainsi la colère des supporters marocains qui ont posté des messages virulents à l’encontre du joueur congolais.
Suite à ça, Romain Saiss a décidé de sortir du silence pour calmer les choses. “Le football reste du sport, avec de la tension, de l'adrénaline et j’en passe. Ce qui est sûr le terrain reste sur le terrain on fait tous des erreurs avec la pression et l’enjeu d’une grande compétition. Mais il ne faut pas tout mélanger et laisser place à un déferlement de haine de part et d’autre”, a-t-il déclaré, avant d’ajouter :
“On est tous fiers de représenter l'Afrique, fiers d’être africains peu importe nos origines. Ne nous divisons pas pour des bêtises cela reste du foot, restons unis pour montrer le meilleur visage dans cette can et la fraternité qui unit notre continent. Africa united. » Un message important qui devra être entendu”.
MESSAGE DE ROMAIN SAISS SUR LES ÉVÉNEMENTS DU JOUR ! pic.twitter.com/qqqV92TrF5
— SOCCER212 (@SCCR_212) January 21, 2024
Une sortie de la part du défenseur qui intervient après celle du principal concerné, Walid Regragui, qui est revenu sur ces incidents en conférence de presse avec une volonté de dédramatiser et d'apaisement.
"Alors ça arrive dans le football. J'ai beaucoup de respect pour Mbemba. Peut-être que c'est l'adrénaline qui l'a fait répondre comme ça. Mais il n'y a pas de souci. (...) Après, il fallait rester beaucoup plus calmes. On n'a pas donné une belle image, ni nous ni le Congo", a dit le sélectionneur marocain.
"Sur ça, il fallait rester calme. C'est le deuxième match. Après, peut-être qu'avec la chaleur, la tension a été un peu élevée chez tout le monde. Mais ce n'est pas un exemple, et il n'y a pas de souci entre Mbemba et moi ou l'équipe. On avance, c'est passé maintenant", a-t-il assuré.
