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CAN 2023 : Valence espère garder Amallah jusqu’au 2 janvier

Le club espagnol de Valence CF aurait exprimé le souhait de garder Selim Amallah le plus longtemps possible avant son départ pour la concentration de l’équipe nationale du Maroc, en vue de la CAN 2023. Selon les médias locaux, le club «Che» souhaite voir Amallah à la disposition de Ruben Baraja pour le derby face au Villarreal, prévu le 2 janvier.

Amallah (Maroc) et Diakhaby (Guinée) sont les seuls joueurs de Valence qui devraient disputer la CAN.
Amallah (Maroc) et Diakhaby (Guinée) sont les seuls joueurs de Valence qui devraient disputer la CAN.
La FRMF accèdera-t-elle à la demande de Valence concernant Selim Amallah ? Le club espagnol aurait formulé le souhait de garder le milieu de terrain jusqu’au premier match de l’année 2024, l’opposant au Villarreal dans un derby valencien très attendu. Jusqu’ici, aucune information officielle n’a été publiée quant à la décision de Walid Regragui sur ce dossier.



Le sélectionneur national pourrait aborder le sujet lors de la conférence de presse de ce jeudi, où il annoncera la liste finale des joueurs convoqués pour la Coupe d’Afrique des nations (13 janvier-11 février), Côte d’Ivoire 2023. Ruben Baraja, qui compte de plus en plus sur Amallah, compte tenu de sa polyvalence dans l’entrejeu, voudrait à tout prix avoir le milieu offensif à sa disposition pour le choc prévu à Mestalla le 2 janvier. En cas de feu vert de la FRMF, Amallah ne rejoindrait la concentration qu’une dizaine de jours avant le début de la compétition. Pour Valence, l’autre international concerné, Moctar Diakhaby (Guinée) ne pose pas de soucis, puisque le défenseur central a écopé d’un cinquième carton jaune, juste avant la trêve des confiseurs et est donc suspendu pour le premier match après la reprise. Juste avant la CAN 2021 au Cameroun, la FIFA avait permis aux clubs européens de garder leurs internationaux jusqu’à six jours avant le début du tournoi continental. Une décision motivée en grande partie par la réticence des clubs européens à laisser partir leurs internationaux en direction du Continent-Mère.
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