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À quelques semaines du coup d'envoi de la CAN féminine 2025, organisée au Maroc du 5 au 26 juillet, Jorge Vilda, sélectionneur des Lionnes de l’Atlas, affiche une détermination de fer. Champion du monde avec l’Espagne en 2023, l’Espagnol, à la tête de la sélection marocaine depuis novembre 2023, vise le sacre continental.
Recruté pour son expertise et son palmarès, Vilda a bâti une équipe solide en prévision de la CAN au Maroc. «J’ai été convaincu par l’engagement de la Fédération et la qualité des infrastructures, parmi les meilleures au monde», confie-t-il. Avec un staff qu’il a lui-même constitué, il façonne un groupe uni. «Ce que je peux garantir à 100%, c'est que nos joueuses vont tout donner, se battre sur chaque ballon. Des joueuses qui donnent tout à chaque entraînement, qui se comportent avec respect, pas seulement entre elles, mais aussi envers les arbitres et le staff. On forme une véritable famille», confie le sélectionneur de 43 ans, saluant l’engagement des joueuses.
Organiser une CAN à domicile avec le statut de vice-champion d'Afrique génère forcément des attentes. Mais Jorge Vilda assume pleinement cette responsabilité. «Plus qu'une pression, c'est surtout une grande envie de bien faire», explique-t-il. «Ce n'est pas une pression négative : c'est un privilège d'avoir cette pression, parce que cela signifie que nous avons une bonne équipe.» Jorge Vilda lance un appel vibrant aux supporters marocains. «Nous n'allons pas les décevoir. Nous voulons qu'ils viennent nous soutenir dans les stades, qu'ils nous suivent aussi à la télévision».
Placées dans le groupe A aux côtés de la Zambie, de la RD Congo et du Sénégal, un groupe que Vilda considère comme «le plus relevé», les Lionnes de l'Atlas sont prêtes à décrocher leur premier titre continental et écrire une nouvelle page de l’histoire du football féminin marocain.
Recruté pour son expertise et son palmarès, Vilda a bâti une équipe solide en prévision de la CAN au Maroc. «J’ai été convaincu par l’engagement de la Fédération et la qualité des infrastructures, parmi les meilleures au monde», confie-t-il. Avec un staff qu’il a lui-même constitué, il façonne un groupe uni. «Ce que je peux garantir à 100%, c'est que nos joueuses vont tout donner, se battre sur chaque ballon. Des joueuses qui donnent tout à chaque entraînement, qui se comportent avec respect, pas seulement entre elles, mais aussi envers les arbitres et le staff. On forme une véritable famille», confie le sélectionneur de 43 ans, saluant l’engagement des joueuses.
Organiser une CAN à domicile avec le statut de vice-champion d'Afrique génère forcément des attentes. Mais Jorge Vilda assume pleinement cette responsabilité. «Plus qu'une pression, c'est surtout une grande envie de bien faire», explique-t-il. «Ce n'est pas une pression négative : c'est un privilège d'avoir cette pression, parce que cela signifie que nous avons une bonne équipe.» Jorge Vilda lance un appel vibrant aux supporters marocains. «Nous n'allons pas les décevoir. Nous voulons qu'ils viennent nous soutenir dans les stades, qu'ils nous suivent aussi à la télévision».
Placées dans le groupe A aux côtés de la Zambie, de la RD Congo et du Sénégal, un groupe que Vilda considère comme «le plus relevé», les Lionnes de l'Atlas sont prêtes à décrocher leur premier titre continental et écrire une nouvelle page de l’histoire du football féminin marocain.
