Le chemin vers la gloire est souvent jonché d’obstacles. C’est le cas de l’Union Touarga, qui représente pour la première fois de son histoire le football marocain en Coupe de la Confédération.
Une semaine après avoir entamé leur parcours continental par un match nul vierge (0-0) au Complexe Moulay Al Hassan à Rabat, l'équipe de Touarga débarque à Abidjan, pour y défier le Racing Club, ce samedi au Stade Houphouët-Boigny (17 heures). Une rencontre capitale pour les hommes de Abdelouahed Zamrat, pour lesquels la qualification à la phase de groupes de la compétition africaine reste l’objectif idéal en ce début de saison.
La délégation de l’UTS a rallié Abidjan lundi, où elle a suivi un programme de préparation relevé, avec des séances tenues dans l’une des enceintes sportives de la capitale économique ivoirienne.
Le grand défi pour la formation de Rabat reste cependant le départ de plusieurs pépites du club (Bentayeb, Nakach, Manaout...). Même si la politique du club est avant tout de former des jeunes, voir son effectif réduit peut difficilement encourager à avoir de plus grandes ambitions. La recette est pourtant simple : un mix entre des vétérans revanchards et des jeunes en quête de confirmation, de quoi nourrir les ambitions actuelles. Mais cela permettra-t-il à l'UTS de décrocher son billet de qualification à Abidjan ?
Une semaine après avoir entamé leur parcours continental par un match nul vierge (0-0) au Complexe Moulay Al Hassan à Rabat, l'équipe de Touarga débarque à Abidjan, pour y défier le Racing Club, ce samedi au Stade Houphouët-Boigny (17 heures). Une rencontre capitale pour les hommes de Abdelouahed Zamrat, pour lesquels la qualification à la phase de groupes de la compétition africaine reste l’objectif idéal en ce début de saison.
La délégation de l’UTS a rallié Abidjan lundi, où elle a suivi un programme de préparation relevé, avec des séances tenues dans l’une des enceintes sportives de la capitale économique ivoirienne.
Le grand défi pour la formation de Rabat reste cependant le départ de plusieurs pépites du club (Bentayeb, Nakach, Manaout...). Même si la politique du club est avant tout de former des jeunes, voir son effectif réduit peut difficilement encourager à avoir de plus grandes ambitions. La recette est pourtant simple : un mix entre des vétérans revanchards et des jeunes en quête de confirmation, de quoi nourrir les ambitions actuelles. Mais cela permettra-t-il à l'UTS de décrocher son billet de qualification à Abidjan ?