Le rideau est tombé, samedi, sur le Grand Prix Mohammed VI de tbourida qui a démarré mardi dernier, dans l’espace tbourida du Salon du cheval 2023. Au terme de cinq jours de compétition entre les 17 meilleures sorbas du Royaume, c’est la sorba de Casablanca-Settat, menée par le moqqadem Oussama El Asri, qui s’est imposée grâce à l’excellent niveau qu’elle a affiché depuis l’entame du Grand Prix.
En effet, les cavaliers casablancais se sont imposés à trois reprises cette semaine, la première fois, mardi, où ils ont terminé premiers avec 75,30 points, puis jeudi avec un total de 75,20 points et vendredi avec 76,00 points, avant de finir en beauté lors de la finale du tournoi, samedi, au cours duquel la sorba d’Oussama El Asri a terminé avec un total de 134,40 points, un score suffisant pour leur permettre de gagner le tournoi.
En effet, les cavaliers casablancais se sont imposés à trois reprises cette semaine, la première fois, mardi, où ils ont terminé premiers avec 75,30 points, puis jeudi avec un total de 75,20 points et vendredi avec 76,00 points, avant de finir en beauté lors de la finale du tournoi, samedi, au cours duquel la sorba d’Oussama El Asri a terminé avec un total de 134,40 points, un score suffisant pour leur permettre de gagner le tournoi.
Principale adversaire des cavaliers casablancais, la sorba de Béni Mellal-Khénifra, du moqqadem Rachid Yakout, a terminé deuxième du GP grâce à un total de 431,98 points. Même si les représentants de la région de Béni Mellal avaient réussi à s’imposer lors de la journée de mercredi, avec un score de 76,12 points, ce résultat n’était pas suffisant pour leur permettre de gagner. La troisième place du podium a été occupée par la sorba de Marrakech-Safi du moqqadem Hamid Serfak, qui a totalisé 423,18 points au terme de la compétition. L’autre sorba de la région de Casablanca-Settat, chapeautée par le moqqadem Abdellah Harit, a pris la quatrième place du tableau final avec un score de 417,01 points.
Oussama El Asri, moqqadem de la sorba de Casablanca-Settat : «Cette victoire est l’aboutissement de plusieurs mois de dur labeur»
«La concurrence a été plus rude au cours de la dernière journée de compétition dans le GP, mais grâce à Dieu, on est parvenu à gagner. C’est un exploit pour lequel on a travaillé depuis le début de l’année, c’est l’aboutissement d'un dur labeur. Cette année, il y avait de très bonnes sorbas, certaines ont même été sacrées ici. Je pense notamment à la sorba de Béni Mellal-Khénifra, dirigée par le moqqadem Rachid Yakout, ou bien les sorbas de Abdellah Harit et Hamid Sarfak.»