Pour des générations de fans, il fut bien plus qu’un catcheur. Il était une voix rauque, des "24-inch pythons" qu’il exhibait en gonflant les biceps, un héros musclé qui arrachait ses t-shirts sur scène avant de plonger dans le ring. Avec ses cheveux blond platine, son bandana et ses slogans devenus cultes — “Whatcha gonna do when Hulkamania runs wild on you?” — Hulk Hogan a marqué à jamais l’univers du divertissement sportif.
Né Terry Gene Bollea en 1953, il grandit en Floride et se tourne vers le catch à la fin des années 1970. Rapidement repéré par la World Wrestling Federation (WWF), il devient "Hulk Hogan", combinaison d’un surnom inspiré du super-héros Marvel et d’un nom voulu plus “irlandais” par son promoteur. À partir de 1984, il devient champion du monde et multiplie les apparitions médiatiques : couvertures de magazines, talk-shows, films, jouets, dessins animés... Hogan devient une marque à lui seul.
Le moment que les fans retiennent souvent comme le plus marquant reste WrestleMania III en 1987, lorsqu’il parvient à soulever André the Giant pour un body slam légendaire, devant plus de 90 000 spectateurs au Silverdome du Michigan. Cette scène, devenue emblématique, symbolise à elle seule l’ère dorée du catch spectacle.
Hogan ne s’est jamais contenté du ring. Il a tenté sa chance au cinéma — notamment dans Rocky III, où il incarne "Thunderlips" face à Sylvester Stallone — et dans la télévision, notamment avec Hogan Knows Best, une téléréalité familiale diffusée dans les années 2000.
Dans les années 1990, il opère un virage marquant en devenant "Hollywood Hogan" : costume noir, barbe teinte, et rôle de méchant charismatique dans la WCW. Ce changement de persona a relancé sa carrière. Il revient ensuite à la WWE et affronte notamment Dwayne "The Rock" Johnson en 2002, lors d’un match intergénérationnel resté dans les mémoires.
Marié trois fois, père de deux enfants, Hulk Hogan laisse derrière lui des souvenirs indélébiles, entre nostalgie d’un catch spectaculaire et fascination pour un personnage plus grand que nature. Pour plusieurs, il restera à jamais celui qui a transformé le catch en un show planétaire, porté par l’énergie brute et l’excès assumé.
Né Terry Gene Bollea en 1953, il grandit en Floride et se tourne vers le catch à la fin des années 1970. Rapidement repéré par la World Wrestling Federation (WWF), il devient "Hulk Hogan", combinaison d’un surnom inspiré du super-héros Marvel et d’un nom voulu plus “irlandais” par son promoteur. À partir de 1984, il devient champion du monde et multiplie les apparitions médiatiques : couvertures de magazines, talk-shows, films, jouets, dessins animés... Hogan devient une marque à lui seul.
Le moment que les fans retiennent souvent comme le plus marquant reste WrestleMania III en 1987, lorsqu’il parvient à soulever André the Giant pour un body slam légendaire, devant plus de 90 000 spectateurs au Silverdome du Michigan. Cette scène, devenue emblématique, symbolise à elle seule l’ère dorée du catch spectacle.
Hogan ne s’est jamais contenté du ring. Il a tenté sa chance au cinéma — notamment dans Rocky III, où il incarne "Thunderlips" face à Sylvester Stallone — et dans la télévision, notamment avec Hogan Knows Best, une téléréalité familiale diffusée dans les années 2000.
Dans les années 1990, il opère un virage marquant en devenant "Hollywood Hogan" : costume noir, barbe teinte, et rôle de méchant charismatique dans la WCW. Ce changement de persona a relancé sa carrière. Il revient ensuite à la WWE et affronte notamment Dwayne "The Rock" Johnson en 2002, lors d’un match intergénérationnel resté dans les mémoires.
Marié trois fois, père de deux enfants, Hulk Hogan laisse derrière lui des souvenirs indélébiles, entre nostalgie d’un catch spectaculaire et fascination pour un personnage plus grand que nature. Pour plusieurs, il restera à jamais celui qui a transformé le catch en un show planétaire, porté par l’énergie brute et l’excès assumé.
