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Le Matin : Pouvez-vous nous présenter les grandes lignes de la 14ᵉ édition du Morocco Royal Tour ? Comment cette année marque-t-elle une évolution par rapport aux éditions précédentes ?
Badr Fakir : La 14ᵉ édition du Morocco Royal Tour s’inscrit dans la continuité d’un projet qui ne cesse de grandir depuis 2010. Trois étapes, trois villes emblématiques – Tétouan, Rabat et El Jadida – et un plateau de cavaliers venus d’une trentaine de nations donnent la mesure de l’événement. Cette année, nous franchissons un nouveau cap avec une dotation globale de 881.500 euros, ce qui place le MRT dans la cour des circuits les plus convoités au monde. L’évolution tient aussi à l’exigence sportive. Le programme compte 27 épreuves, dont 13 comptants pour la Longines FEI World Ranking, trois Grands Prix CSI4*-W qualificatifs pour la Coupe du monde et la très attendue Coupe des nations CSIO4*-W à Rabat. Tout cela illustre le niveau d’excellence que le Maroc a atteint et confirme notre place sur la scène internationale.
Avec 27 épreuves au total, dont 13 comptants pour le classement Longines FEI World Ranking, trois Grands Prix CSI4*-W, et la Coupe des nations CSIO4*-W à Rabat, quel est le temps fort de cette édition selon vous ?
Quels sont les cavaliers marocains phares attendus cette année ? Comment la FRMSE a-t-elle accompagné leur préparation pour affronter cette élite internationale sur le sol national ?
Nous aurons le plaisir de voir évoluer les figures incontournables du saut d’obstacles marocain, notamment Abdelkebir Ouaddar, El Ghali Boukaa, Ali Al Ahrach et Abdeslam Bennani Smires. Leur parcours illustre parfaitement le rôle du MRT comme tremplin. En participant régulièrement à ce circuit, ils ont acquis une expérience précieuse aux côtés de l’élite mondiale. La FRMSE a mis en place un accompagnement global : préparation technique, suivi vétérinaire, mise à niveau des infrastructures et organisation de stages en lien avec les standards de la FEI. Tout cela vise à offrir à nos cavaliers les meilleures conditions pour rivaliser avec les plus grands, mais aussi pour glaner des points déterminants au classement international.
Les éditions passées ont vu des victoires marocaines inspirantes. Quelles performances espérez-vous de la part des nationaux en 2025, notamment dans les épreuves qualificatives pour la Longines FEI World Cup ou la Coupe des nations ?
Les performances des années précédentes ont montré que nos cavaliers étaient capables de briller face à des adversaires redoutables. En 2025, nous espérons qu’ils continueront sur cette lancée et qu’ils décrocheront des classements significatifs dans les Grands Prix qualificatifs pour la Coupe du monde. Mais au-delà des résultats, ce qui compte, c’est la régularité et la progression. Chaque point gagné au Longines FEI Ranking contribue à préparer les grandes échéances internationales, qu’il s’agisse des Jeux olympiques ou des Championnats du monde. Pour la Coupe des nations, nous attendons de nos cavaliers qu’ils défendent fièrement le drapeau et qu’ils portent haut l’image du Maroc.
Au-delà des résultats sportifs, en quoi la participation des cavaliers marocains à ce circuit contribue-t-elle à la promotion du patrimoine équestre du Royaume, en lien avec des événements comme le Salon du cheval d’El Jadida ?
Le Morocco Royal Tour va bien au-delà de la compétition sportive : c’est aussi une vitrine pour notre patrimoine. Chaque étape est un voyage dans une facette du Maroc : Tétouan avec son héritage andalou, Rabat avec ses monuments historiques et El Jadida avec son Salon du cheval, qui conjugue tradition et modernité. La participation des cavaliers marocains dans ce contexte dépasse le cadre sportif. Elle permet de montrer que le Royaume est capable d’organiser des compétitions de haut niveau, tout en valorisant ses traditions équestres. Le Salon du cheval, en clôturant le circuit, incarne parfaitement cette alliance : d’un côté, les épreuves CSI4*, et de l’autre, la Tbourida et la célébration de la culture équestre marocaine. Ensemble, elles contribuent à renforcer l’image du Maroc comme terre d’équitation et de passion pour le cheval.
Badr Fakir : La 14ᵉ édition du Morocco Royal Tour s’inscrit dans la continuité d’un projet qui ne cesse de grandir depuis 2010. Trois étapes, trois villes emblématiques – Tétouan, Rabat et El Jadida – et un plateau de cavaliers venus d’une trentaine de nations donnent la mesure de l’événement. Cette année, nous franchissons un nouveau cap avec une dotation globale de 881.500 euros, ce qui place le MRT dans la cour des circuits les plus convoités au monde. L’évolution tient aussi à l’exigence sportive. Le programme compte 27 épreuves, dont 13 comptants pour la Longines FEI World Ranking, trois Grands Prix CSI4*-W qualificatifs pour la Coupe du monde et la très attendue Coupe des nations CSIO4*-W à Rabat. Tout cela illustre le niveau d’excellence que le Maroc a atteint et confirme notre place sur la scène internationale.
Avec 27 épreuves au total, dont 13 comptants pour le classement Longines FEI World Ranking, trois Grands Prix CSI4*-W, et la Coupe des nations CSIO4*-W à Rabat, quel est le temps fort de cette édition selon vous ?
Chaque étape a son importance, mais le temps fort reste incontestablement la Coupe des nations organisée à Rabat. C’est une épreuve par équipes, où dix nations alignent leurs cavaliers pour défendre leurs couleurs. Elle met en avant la cohésion, la stratégie et l’esprit collectif, des valeurs qui vont au-delà de la simple performance individuelle. Pour le public, c’est un moment unique : voir nos cavaliers défendre le drapeau national face aux meilleures équipes du monde, dans un format reconnu par la FEI, est une source de fierté et d’émotion. C’est aussi ce qui fait la singularité du Morocco Royal Tour : associer des épreuves individuelles d’un niveau technique très élevé à des compétitions collectives qui rassemblent et fédèrent.
Quels sont les cavaliers marocains phares attendus cette année ? Comment la FRMSE a-t-elle accompagné leur préparation pour affronter cette élite internationale sur le sol national ?
Nous aurons le plaisir de voir évoluer les figures incontournables du saut d’obstacles marocain, notamment Abdelkebir Ouaddar, El Ghali Boukaa, Ali Al Ahrach et Abdeslam Bennani Smires. Leur parcours illustre parfaitement le rôle du MRT comme tremplin. En participant régulièrement à ce circuit, ils ont acquis une expérience précieuse aux côtés de l’élite mondiale. La FRMSE a mis en place un accompagnement global : préparation technique, suivi vétérinaire, mise à niveau des infrastructures et organisation de stages en lien avec les standards de la FEI. Tout cela vise à offrir à nos cavaliers les meilleures conditions pour rivaliser avec les plus grands, mais aussi pour glaner des points déterminants au classement international.
Les éditions passées ont vu des victoires marocaines inspirantes. Quelles performances espérez-vous de la part des nationaux en 2025, notamment dans les épreuves qualificatives pour la Longines FEI World Cup ou la Coupe des nations ?
Les performances des années précédentes ont montré que nos cavaliers étaient capables de briller face à des adversaires redoutables. En 2025, nous espérons qu’ils continueront sur cette lancée et qu’ils décrocheront des classements significatifs dans les Grands Prix qualificatifs pour la Coupe du monde. Mais au-delà des résultats, ce qui compte, c’est la régularité et la progression. Chaque point gagné au Longines FEI Ranking contribue à préparer les grandes échéances internationales, qu’il s’agisse des Jeux olympiques ou des Championnats du monde. Pour la Coupe des nations, nous attendons de nos cavaliers qu’ils défendent fièrement le drapeau et qu’ils portent haut l’image du Maroc.
Au-delà des résultats sportifs, en quoi la participation des cavaliers marocains à ce circuit contribue-t-elle à la promotion du patrimoine équestre du Royaume, en lien avec des événements comme le Salon du cheval d’El Jadida ?
Le Morocco Royal Tour va bien au-delà de la compétition sportive : c’est aussi une vitrine pour notre patrimoine. Chaque étape est un voyage dans une facette du Maroc : Tétouan avec son héritage andalou, Rabat avec ses monuments historiques et El Jadida avec son Salon du cheval, qui conjugue tradition et modernité. La participation des cavaliers marocains dans ce contexte dépasse le cadre sportif. Elle permet de montrer que le Royaume est capable d’organiser des compétitions de haut niveau, tout en valorisant ses traditions équestres. Le Salon du cheval, en clôturant le circuit, incarne parfaitement cette alliance : d’un côté, les épreuves CSI4*, et de l’autre, la Tbourida et la célébration de la culture équestre marocaine. Ensemble, elles contribuent à renforcer l’image du Maroc comme terre d’équitation et de passion pour le cheval.
