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C’est dans une atmosphère à la fois studieuse et concentrée que les Lions de l’Atlas ont repris l’entraînement vendredi au Complexe Mohammed VI de football à Maâmora. Cette reprise intervient au lendemain d’un court succès face au Bahreïn (1–0), et à quatre jours du dernier match des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026, prévu mardi contre le Congo.
Si les titulaires du match amical ont été ménagés avec des exercices de récupération, le reste de l’effectif a poursuivi le travail sur le plan tactique, sous la houlette de Walid Regragui. Le sélectionneur national a insisté sur les enchaînements entre les lignes et la gestion de l’effort, des éléments clés dans la stratégie qui sera déployée mardi.
Mais au-delà du résultat, Walid Regragui a surtout vu dans cette rencontre « un test utile ». Le technicien a reconnu que certains de ses joueurs avaient sous-estimé leur adversaire, saluant la solidité et la discipline de l’équipe bahreïnie. « Le match a été difficile, c’est exactement ce à quoi je m’attendais », a-t-il déclaré, avant de pointer « un problème de rythme et de projection dans la surface ».
Privé de plusieurs cadres, Regragui a dû composer avec un groupe remanié, révélant au passage la profondeur de banc sur laquelle il peut s’appuyer : « Nous avons la chance d’avoir un groupe capable de changer la trajectoire d’un match », a-t-il souligné.
Si le Maroc est déjà qualifié pour la Coupe du Monde 2026, le match contre le Congo reste hautement symbolique. En cas de victoire, les Lions de l’Atlas s’offriraient un 16ᵉ succès d’affilée, établissant un nouveau record mondial. Mais l’enjeu va au-delà des chiffres : chaque match est désormais une étape dans la préparation de la Coupe d’Afrique des Nations 2025, que le Royaume s’apprête à accueillir en fin d'année.
Si les titulaires du match amical ont été ménagés avec des exercices de récupération, le reste de l’effectif a poursuivi le travail sur le plan tactique, sous la houlette de Walid Regragui. Le sélectionneur national a insisté sur les enchaînements entre les lignes et la gestion de l’effort, des éléments clés dans la stratégie qui sera déployée mardi.
Un succès contre Bahreïn riche en enseignements
Le match contre Bahreïn n’a pas été une promenade de santé pour les Marocains. Malgré une domination technique, il a fallu attendre le temps additionnel pour voir Jawad El Yamiq libérer les siens d’une tête salvatrice (90+4e). Un but qui offre aux Lions une 15ᵉ victoire consécutive, égalant ainsi le record mondial détenu par l’Allemagne et l’Espagne.Mais au-delà du résultat, Walid Regragui a surtout vu dans cette rencontre « un test utile ». Le technicien a reconnu que certains de ses joueurs avaient sous-estimé leur adversaire, saluant la solidité et la discipline de l’équipe bahreïnie. « Le match a été difficile, c’est exactement ce à quoi je m’attendais », a-t-il déclaré, avant de pointer « un problème de rythme et de projection dans la surface ».
Privé de plusieurs cadres, Regragui a dû composer avec un groupe remanié, révélant au passage la profondeur de banc sur laquelle il peut s’appuyer : « Nous avons la chance d’avoir un groupe capable de changer la trajectoire d’un match », a-t-il souligné.
Si le Maroc est déjà qualifié pour la Coupe du Monde 2026, le match contre le Congo reste hautement symbolique. En cas de victoire, les Lions de l’Atlas s’offriraient un 16ᵉ succès d’affilée, établissant un nouveau record mondial. Mais l’enjeu va au-delà des chiffres : chaque match est désormais une étape dans la préparation de la Coupe d’Afrique des Nations 2025, que le Royaume s’apprête à accueillir en fin d'année.
