L’Union Touarga dispute, ce samedi à 21 h, son tout premier match en Coupe de la Confédération, en accueillant au Complexe Moulay Al Hassan à Rabat le Racing d’Abidjan. De retour parmi l’élite il y a de cela deux ans, l’UTS s’est fait une place parmi le quatuor de tête, scellant sa première qualification aux joutes continentales. Pour l’entraîneur Abdelouahed Zemrat, l’idéal serait d’atteindre la phase de groupes, en maintenant la méthodologie et les ambitions d’un club qui veut progresser.
Grâce à un travail acharné et un savant mélange de jeunes pousses et de joueurs chevronnés, l’Union Touarga a arraché, au terme de l’exercice passé, son ticket pour la Coupe de la Confédération. La saison 2024-2025 commence par un clash continental, entre le club de la capitale et son homologue du Racing d’Abidjan, dans le cadre du tour préliminaire de la Coupe de la Confédération, samedi à 21 h, sur la pelouse du Complexe Moulay Al Hassan à Rabat.
«On aurait préféré commencer par la Botola Pro, estime l’entraîneur Abdelouahed Zemrat. Mais ce n’est pas grave. Nous avons bien préparé cette compétition et nous allons l’aborder sans le moindre complexe. Notre objectif est de gagner en expérience.» La préparation a duré plusieurs semaines, sous les ordres de Zemrat. «Nous avons scindé la préparation en trois parties, explique le technicien issu du monde de la formation. Le premier volet a concerné le renforcement musculaire. Puis on a fait un stage de 10 jours pour instaurer une cohésion du groupe et on a terminé avec 6 matchs amicaux pour affûter nos armes.»
«On aurait préféré commencer par la Botola Pro, estime l’entraîneur Abdelouahed Zemrat. Mais ce n’est pas grave. Nous avons bien préparé cette compétition et nous allons l’aborder sans le moindre complexe. Notre objectif est de gagner en expérience.» La préparation a duré plusieurs semaines, sous les ordres de Zemrat. «Nous avons scindé la préparation en trois parties, explique le technicien issu du monde de la formation. Le premier volet a concerné le renforcement musculaire. Puis on a fait un stage de 10 jours pour instaurer une cohésion du groupe et on a terminé avec 6 matchs amicaux pour affûter nos armes.»
L’UTS, un club aussi humble qu’ambitieux
Avec une moyenne d’âge avoisinant les 25 ans, l’Union Touarga continue son savant mélange de jeunes joueurs (Bentayeb, Asmama, Nanah...) et de vétérans revanchards (El Houasli, El Haddad, Ahannach...). «Nous faisons beaucoup de scouting dans les divisions inférieures, tout en continuant d’attirer des joueurs d’expérience, analyse Zemrat. Notre objectif consiste à toujours tenter de faire mieux que la saison précédente. Nous avons commencé avec une huitième place décrochée par l’équipe au terme de la saison de promotion, avec Tarik Sektioui. Puis, nous nous sommes améliorés en atteignant la 4e place la saison dernière. Nous devons continuer le travail et montrer que nous savons jouer au football.»
La fierté olympique et académique
En plus d’atteindre ses objectifs sportifs, l’Union Touarga a été l’un des principaux pourvoyeurs de talent pour la sélection nationale U23 qui a décroché la médaille de bronze à Paris. «Personnellement, c’est une fierté ! Quand j’étais à l’Académie Mohammed VI, j’ai eu la chance de faire partie du processus de formation de certains joueurs de cette sélection, explique Zemrat avec un brin d’émotion. Un travail qui a continué à l’UTS, où je considère les joueurs comme mes propres enfants. Je suis quand même un peu déçu pour (Tawfik) Bentayeb. Sa blessure l’a empêché de faire le déplacement à Paris.»
La fierté de voir les Asmama, Manaout et Nakach (parti depuis à l’AS FAR) ne peut, en revanche, dissimuler celle de voir Achraf Berqui décrocher son doctorat sur le sujet du «changement stratégique au sein des organisations sportives». «C’est évidemment une fierté pour tout le monde ici, souligne Zemrat. Ça épouse parfaitement notre idée principale : former les hommes avant les joueurs. Achraf (Berqui) est un exemple pour tous les joueurs de la Botola.»
Tous ces éléments font que l’Union Touarga se présente ce samedi avec l’ambition de réussir son entrée en lice en Coupe de la Confédération. Bizarrement, cette entrée en matière se fait face à une équipe quasi similaire. «Nous savons que c’est un club jeune, axé sur la post-formation, assure Zemrat. Nous avons regardé quelques matchs et ils sont très fidèles au style de jeu ivoirien. Je reste convaincu que nous avons les moyens de nous qualifier au prochain tour.»
La fierté de voir les Asmama, Manaout et Nakach (parti depuis à l’AS FAR) ne peut, en revanche, dissimuler celle de voir Achraf Berqui décrocher son doctorat sur le sujet du «changement stratégique au sein des organisations sportives». «C’est évidemment une fierté pour tout le monde ici, souligne Zemrat. Ça épouse parfaitement notre idée principale : former les hommes avant les joueurs. Achraf (Berqui) est un exemple pour tous les joueurs de la Botola.»
Tous ces éléments font que l’Union Touarga se présente ce samedi avec l’ambition de réussir son entrée en lice en Coupe de la Confédération. Bizarrement, cette entrée en matière se fait face à une équipe quasi similaire. «Nous savons que c’est un club jeune, axé sur la post-formation, assure Zemrat. Nous avons regardé quelques matchs et ils sont très fidèles au style de jeu ivoirien. Je reste convaincu que nous avons les moyens de nous qualifier au prochain tour.»