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Après une victoire sans éclat contre Bahreïn (1-0), les hommes de Walid Regragui n’ont guère convaincu face aux Diables Rouges congolais. Confrontés à un bloc défensif dense et discipliné, les Lions de l’Atlas ont peiné à imposer leur rythme et à se créer de véritables occasions franches durant la première période. Les vingt premières minutes furent marquées par une domination stérile, avec une multiplication de frappes lointaines sans réelle efficacité. Le Congo, regroupé dans son camp, a fait preuve d’une solide organisation défensive, repoussant avec rigueur chaque tentative marocaine.
À court d’idées offensives et manquant d’inspiration dans la dernière passe, les Lions sont rentrés aux vestiaires sur un score nul logique, espérant un sursaut après la pause. Celui-ci est intervenu avec l’entrée en jeu de Youssef En-Nesyri. Plus mobile, plus tranchant, l’attaquant sévillan a dynamisé le front offensif. À la 63e minute, il a profité d’un excellent service d’Achraf Hakimi pour tromper la vigilance du portier congolais et ouvrir le score. Ce but libérateur a insufflé un nouvel élan à l’équipe, sans pour autant changer fondamentalement le cours du match. Le Congo, fidèle à son plan initial, est resté solide et compact, laissant très peu d’espaces aux attaquants marocains.
Malgré une nette domination, les hommes de Walid Regragui ont manqué de tranchant dans les derniers mètres. Au final, l’équipe nationale s’impose sur le plus petit des scores (1-0), un résultat certes satisfaisant sur le plan comptable, mais loin d’être convaincant dans le contenu. Cette courte victoire permet néanmoins au Maroc d’inscrire un nouveau record historique de 16 succès d’affilée, symbole de constance et d’efficacité. Toutefois, elle ne suffit pas à rassurer les supporters, toujours en quête de certitudes à l’approche d’une CAN où les Lions de l’Atlas seront très attendus à domicile. Il faudra afficher un tout autre visage, plus inspiré et plus audacieux, pour prétendre jouer les premiers rôles et répondre aux espoirs d’un peuple passionné.
À court d’idées offensives et manquant d’inspiration dans la dernière passe, les Lions sont rentrés aux vestiaires sur un score nul logique, espérant un sursaut après la pause. Celui-ci est intervenu avec l’entrée en jeu de Youssef En-Nesyri. Plus mobile, plus tranchant, l’attaquant sévillan a dynamisé le front offensif. À la 63e minute, il a profité d’un excellent service d’Achraf Hakimi pour tromper la vigilance du portier congolais et ouvrir le score. Ce but libérateur a insufflé un nouvel élan à l’équipe, sans pour autant changer fondamentalement le cours du match. Le Congo, fidèle à son plan initial, est resté solide et compact, laissant très peu d’espaces aux attaquants marocains.
Malgré une nette domination, les hommes de Walid Regragui ont manqué de tranchant dans les derniers mètres. Au final, l’équipe nationale s’impose sur le plus petit des scores (1-0), un résultat certes satisfaisant sur le plan comptable, mais loin d’être convaincant dans le contenu. Cette courte victoire permet néanmoins au Maroc d’inscrire un nouveau record historique de 16 succès d’affilée, symbole de constance et d’efficacité. Toutefois, elle ne suffit pas à rassurer les supporters, toujours en quête de certitudes à l’approche d’une CAN où les Lions de l’Atlas seront très attendus à domicile. Il faudra afficher un tout autre visage, plus inspiré et plus audacieux, pour prétendre jouer les premiers rôles et répondre aux espoirs d’un peuple passionné.
