"Nous avons étudié la possibilité de déposer une candidature pour accueillir la Coupe du monde de la Fifa et, après avoir pris en compte tous les facteurs, nous avons décidé de ne pas le faire pour la compétition organisée en 2034", écrit la Fédération Football Australia dans un communiqué.
Après avoir annoncé être en discussion avec l'Australie pour une candidature commune pour l'organisation du Mondial 2034, la fédération indonésienne de football avait finalement appuyé il y a une dizaine de jours la candidature saoudienne, déjà officiellement soutenue par la Confédération asiatique de football.
La date-butoir pour l'envoi des candidatures avait été fixée au 31 octobre par la Fifa.
Après la désignation début octobre du Maroc, de l’Espagne et du Portugal comme hôtes de l'édition 2030 de la Coupe du monde, la Fifa avait lancé un appel à candidatures pour celle de 2034, en le limitant aux confédérations asiatique et océanique, au nom du principe de rotation.
L'Arabie Saoudite, qui visait déjà le Mondial 2030, investit en ce moment massivement pour se tailler une place dans le football mondial, à l'image de ses clubs, qui ont par exemple réussi à attirer cet été le Français Karim Benzema ou le Brésilien Neymar.
Après avoir annoncé être en discussion avec l'Australie pour une candidature commune pour l'organisation du Mondial 2034, la fédération indonésienne de football avait finalement appuyé il y a une dizaine de jours la candidature saoudienne, déjà officiellement soutenue par la Confédération asiatique de football.
La date-butoir pour l'envoi des candidatures avait été fixée au 31 octobre par la Fifa.
Après la désignation début octobre du Maroc, de l’Espagne et du Portugal comme hôtes de l'édition 2030 de la Coupe du monde, la Fifa avait lancé un appel à candidatures pour celle de 2034, en le limitant aux confédérations asiatique et océanique, au nom du principe de rotation.
L'Arabie Saoudite, qui visait déjà le Mondial 2030, investit en ce moment massivement pour se tailler une place dans le football mondial, à l'image de ses clubs, qui ont par exemple réussi à attirer cet été le Français Karim Benzema ou le Brésilien Neymar.