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Les Lionceaux de l’Atlas ont concédé la défaite (0-2) face à l’Équateur, à l’occasion de la deuxième journée du groupe A en Coupe du monde U17. Les protégés de Saïd Chiba ont fait jeu égal avec les Sud-Américains tout au long de la première mi-temps, avant de s’écrouler physiquement après la pause et de concéder deux buts, assez naïvement.
«Dans ce genre de matchs, analyse Saïd Chiba, on n’a que de très rares occasions. Comme lors du premier match, nous avons été plutôt bien organisés en première période, notre transition vers l’attaque a été excellente, mais il nous manque encore le but», a indiqué le technicien au micro d’Arryadia. En réalité, la sélection U17 a cadré 4 tirs, mais n’a jamais réussi à faire vibrer les filets. Les tentatives sont surtout venues depuis des coups de pied arrêtés, comme cette tête d’Aït Boudlal qui s’écrase sur la transversale ou ces deux coups francs de Ouazane arrêtés par le keeper équatorien.
Avec trois points au compteur, les Lionceaux de l’Atlas gardent leurs chances de qualification aux huitièmes de finale intactes. Pour y arriver, la sélection nationale devra s’imposer face à l’Indonésie, à l’occasion de la troisième et dernière journée (jeudi à 13 heures). En cas de match nul, il faudra attendre le résultat de l’autre match opposant l’Équateur au Panama. Avec la qualification des deux meilleures sélections de chaque groupe, en plus des 4 meilleurs troisièmes, la qualification reste possible, à condition de trouver la solution au manque d’efficacité.
«Dans ce genre de matchs, analyse Saïd Chiba, on n’a que de très rares occasions. Comme lors du premier match, nous avons été plutôt bien organisés en première période, notre transition vers l’attaque a été excellente, mais il nous manque encore le but», a indiqué le technicien au micro d’Arryadia. En réalité, la sélection U17 a cadré 4 tirs, mais n’a jamais réussi à faire vibrer les filets. Les tentatives sont surtout venues depuis des coups de pied arrêtés, comme cette tête d’Aït Boudlal qui s’écrase sur la transversale ou ces deux coups francs de Ouazane arrêtés par le keeper équatorien.
Sortez les calculettes !
Sans pour autant être à sens unique, la deuxième mi-temps a été largement dominée par les joueurs du «Tri», qui ont produit un jeu bien meilleur que celui affiché face à l’Indonésie lors de la première journée (1-1). En face, les changements opérés n’ont pas apporté le boost escompté. «Nous avons senti que les joueurs se fatiguaient et on était obligés de faire des changements, mais ces choix n’ont pas apporté ce qu’on voulait. L’Équateur nous a fait mal sur les longs ballons et les deuxièmes balles, tout en positionnant 4 attaquants. Nous les avons bien gérés pendant 50 minutes, mais ensuite on a laissé des espaces parce qu’on était obligés de jouer en attaque.»Avec trois points au compteur, les Lionceaux de l’Atlas gardent leurs chances de qualification aux huitièmes de finale intactes. Pour y arriver, la sélection nationale devra s’imposer face à l’Indonésie, à l’occasion de la troisième et dernière journée (jeudi à 13 heures). En cas de match nul, il faudra attendre le résultat de l’autre match opposant l’Équateur au Panama. Avec la qualification des deux meilleures sélections de chaque groupe, en plus des 4 meilleurs troisièmes, la qualification reste possible, à condition de trouver la solution au manque d’efficacité.
