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À quatre mois des Jeux olympiques de Paris (24 juillet-10 août), la FRMF a décidé de se séparer du sélectionneur de l’équipe nationale U23, Issam Charaï. L’instance a annoncé le départ du technicien belgo-marocain, jeudi soir. L’instance fédérale a, par la même occasion, annoncé son remplacement par Tarik Sektioui, jusque-là entraîneur du Maghreb de Fès.
«Cette nomination s’inscrit dans le cadre du nouveau cap fixé par la commission des sélections nationales qui s’articule autour de la coordination et l’échange entre les cadres techniques des sélections nationales, toutes catégories confondues», peut-on lire sur le site officiel de la FRMF.
Peu bavarde sur les raisons de la séparation avec Charaï, la Fédération a procédé quasiment de la même manière qu’avec l’équipe nationale A. Trois mois avant la Coupe du monde au Qatar, Walid Regragui relevait Vahid Halilhodzic à la tête des Lions de l’Atlas. La suite a été l’écriture d’une page légendaire du football national, suivie par un fiasco à la CAN. Les supporters marocains espèrent voir le même effet «électrochoc» se reproduire avec l’équipe olympique.
La première mission de Sektioui est de préparer un groupe compétitif pour les JO, en commençant par les deux matchs amicaux, prévus les 22 et 26 mars à Antalya, face à l’Ukraine et au Pays de Galles, respectivement. La coordination et l’échange, voulus par la FRMF, consisteraient normalement à laisser à Sektioui toute latitude pour convoquer les internationaux U23, désormais habitués à être convoqués chez les seniors, depuis le sacre africain en juillet 2023. Le temps presse et la liste finale des joueurs appelés à défendre les couleurs nationales aux JO est limitée à 18 éléments. La Fédération n’a pas indiqué si le staff qui a accompagné Charaï depuis novembre 2022 serait également remplacé, et si c’est le cas, dans quelles proportions.
«Cette nomination s’inscrit dans le cadre du nouveau cap fixé par la commission des sélections nationales qui s’articule autour de la coordination et l’échange entre les cadres techniques des sélections nationales, toutes catégories confondues», peut-on lire sur le site officiel de la FRMF.
Peu bavarde sur les raisons de la séparation avec Charaï, la Fédération a procédé quasiment de la même manière qu’avec l’équipe nationale A. Trois mois avant la Coupe du monde au Qatar, Walid Regragui relevait Vahid Halilhodzic à la tête des Lions de l’Atlas. La suite a été l’écriture d’une page légendaire du football national, suivie par un fiasco à la CAN. Les supporters marocains espèrent voir le même effet «électrochoc» se reproduire avec l’équipe olympique.
La première mission de Sektioui est de préparer un groupe compétitif pour les JO, en commençant par les deux matchs amicaux, prévus les 22 et 26 mars à Antalya, face à l’Ukraine et au Pays de Galles, respectivement. La coordination et l’échange, voulus par la FRMF, consisteraient normalement à laisser à Sektioui toute latitude pour convoquer les internationaux U23, désormais habitués à être convoqués chez les seniors, depuis le sacre africain en juillet 2023. Le temps presse et la liste finale des joueurs appelés à défendre les couleurs nationales aux JO est limitée à 18 éléments. La Fédération n’a pas indiqué si le staff qui a accompagné Charaï depuis novembre 2022 serait également remplacé, et si c’est le cas, dans quelles proportions.
