Le rideau est tombé sur la 7e édition du tournoi international U19 de l'Académie Mohammed VI de football. Après quatre jours de compétition, la grande finale a opposé, dimanche, le club argentin de River Plate à la formation anglaise de Crystal Palace. Une finale qui s'est jouée en présence d'un large public et de plusieurs personnalités du monde du football national, à l'instar du sélectionneur national Walid Regragui, de son adjoint Rachid Ben Mahmoud et d'anciens internationaux comme Manuel Da Costa.
Avant la finale, le match de classement ayant opposé le Paris Saint-Germain aux Ivoiriens de la Volcan Junior Académie s'est conclu sur une victoire (2-0) des Parisiens.
Les représentants du football national, l'équipe de l'AMF et le FUS, se sont contentés respectivement de la 11e et de la 12e place.
Manuel Da Costa : C'est la deuxième fois que j’assiste au tournoi. C’était un moment exceptionnel, un bon moment de partage et de démonstration pour les jeunes joueurs à l’avenir prometteur au Maroc. Je constate aussi que ça continue de travailler de la bonne façon, avec de bonnes bases et surtout avec des joueurs jeunes. Les installations grandissent de plus en plus, on remarque chaque année lorsqu’on revient qu’il y a quelque chose de nouveau au sein de l’Académie. Et puis, on voit de nouveaux clubs qui participent à chaque édition, cela permet à nos jeunes de partager leur expérience avec d’autres équipes, tout en mesurant leur niveau. Cela permet aussi de montrer toute l'efficacité de la formation marocaine.
Vous avez assisté à plusieurs rencontres du tournoi, dont celles de l’AMF et du FUS. Quelles sont vos impressions sur le niveau de ces deux équipes ?
J'ai pu constater quelques améliorations par rapport à l’édition précédente. Certes, le fait de recommencer la formation avec un nouveau groupe chaque année rend les choses un peu compliquées. C’est pour cette raison que je pense que l'équipe de l’Académie ne s'est pas placée aussi haut qu'elle voulait être. Toutefois, ça reste une année d'expérience, une année de compréhension pour les jeunes. Il est important pour eux de comprendre qu'il y a encore du travail à faire. C'est comme ça qu'on arrive à franchir des étapes et à créer des joueurs de bonne qualité à la fin de la formation. Malgré le résultat sur le terrain, j’ai vu qu’il y avait du potentiel au sein de cette équipe de l’AMF et aussi du FUS. On voit qu'il y a un gros travail de fait, les deux équipes ont produit du beau football et ont démontré toute leurs qualités. J'espère qu’ils auront plus de chance lors de l'édition prochaine.
Vous avez suivi la CAN U17 remportée par les Lionceaux de l’Atlas. Quelle a été votre impression après la performance réalisée par cette équipe ?
C’était une satisfaction à tous les niveaux pour moi. Cela démontre qu’il n’y a pas que l’équipe première au Maroc, mais que les catégories inférieures sont également efficaces et capables de décrocher des titres. Cela prouve aussi que le travail fait en amont au niveau de la formation porte ses fruits. Il y a un réel suivi à toutes les étapes jusqu’à l’aboutissement en équipe A. Un travail qui permet au Maroc d’être au top niveau dans toutes les catégories d’âge.
Avant la finale, le match de classement ayant opposé le Paris Saint-Germain aux Ivoiriens de la Volcan Junior Académie s'est conclu sur une victoire (2-0) des Parisiens.
Les représentants du football national, l'équipe de l'AMF et le FUS, se sont contentés respectivement de la 11e et de la 12e place.
Manuel Da Costa, ancien international marocain : Je suis fier du progrès que réalise l’AMF chaque année, mais il faut continuer à bosser pour monter en puissance»
Le Matin : C'est quelque chose d'intéressant pour vous de venir assister à ce tournoi, d'autant plus que c'est une compétition qui permet de détecter les jeunes talents. Quelle est l’importance de ce genre de tournoi pour le football national ?Manuel Da Costa : C'est la deuxième fois que j’assiste au tournoi. C’était un moment exceptionnel, un bon moment de partage et de démonstration pour les jeunes joueurs à l’avenir prometteur au Maroc. Je constate aussi que ça continue de travailler de la bonne façon, avec de bonnes bases et surtout avec des joueurs jeunes. Les installations grandissent de plus en plus, on remarque chaque année lorsqu’on revient qu’il y a quelque chose de nouveau au sein de l’Académie. Et puis, on voit de nouveaux clubs qui participent à chaque édition, cela permet à nos jeunes de partager leur expérience avec d’autres équipes, tout en mesurant leur niveau. Cela permet aussi de montrer toute l'efficacité de la formation marocaine.
Vous avez assisté à plusieurs rencontres du tournoi, dont celles de l’AMF et du FUS. Quelles sont vos impressions sur le niveau de ces deux équipes ?
J'ai pu constater quelques améliorations par rapport à l’édition précédente. Certes, le fait de recommencer la formation avec un nouveau groupe chaque année rend les choses un peu compliquées. C’est pour cette raison que je pense que l'équipe de l’Académie ne s'est pas placée aussi haut qu'elle voulait être. Toutefois, ça reste une année d'expérience, une année de compréhension pour les jeunes. Il est important pour eux de comprendre qu'il y a encore du travail à faire. C'est comme ça qu'on arrive à franchir des étapes et à créer des joueurs de bonne qualité à la fin de la formation. Malgré le résultat sur le terrain, j’ai vu qu’il y avait du potentiel au sein de cette équipe de l’AMF et aussi du FUS. On voit qu'il y a un gros travail de fait, les deux équipes ont produit du beau football et ont démontré toute leurs qualités. J'espère qu’ils auront plus de chance lors de l'édition prochaine.
Vous avez suivi la CAN U17 remportée par les Lionceaux de l’Atlas. Quelle a été votre impression après la performance réalisée par cette équipe ?
C’était une satisfaction à tous les niveaux pour moi. Cela démontre qu’il n’y a pas que l’équipe première au Maroc, mais que les catégories inférieures sont également efficaces et capables de décrocher des titres. Cela prouve aussi que le travail fait en amont au niveau de la formation porte ses fruits. Il y a un réel suivi à toutes les étapes jusqu’à l’aboutissement en équipe A. Un travail qui permet au Maroc d’être au top niveau dans toutes les catégories d’âge.