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Profitant de conditions météos idéales sur les parcours rouge et bleu du Royal Golf Dar Es Salam, jeudi, les golfeurs et golfeuses engagés dans le Trophée Hassan II et la Coupe Lalla Meryem se sont livrés à une rude compétition au cours du premier round des deux tournois. Dans le Trophée Hassan II, étape du PGA Champions Tour, la journée a été marquée par une grande rivalité entre le Britannique Simon Griffiths, le Néo-Zélandais Steven Alker et le Japonais Hiroyuki Fujita. C’est finalement Griffiths qui s’est imposé grâce à une carte de 4 coups sous le par, ex aequo avec Alker. Le gagnant de l’édition précédente du Trophée, Ricardo Gonzalez, a terminé cette première journée à la 15e place avec un score de -2.
Questions à la PDG du Ladies European Tour
Le Ladies European Tour est très impliqué dans le travail de détection à travers plusieurs programmes, à l’image du Lalla Aïcha Qualifying Series. Quelle est l’importance de tels programmes pour vous, spécialement au Maroc ?
Ce genre de programmes est très important pour nous à deux niveaux. Premièrement, cela permet à nos joueuses de concourir dans plusieurs spots dans le monde. Deuxièmement, le fait de venir dans des pays comme le Maroc nous permet de travailler en étroite collaboration avec la Fédération Royale marocaine de golf pour l’aider à faire éclore une nouvelle génération de joueuses pour le futur.
À l’instar de l’édition précédente de la Coupe Lalla Meryem, cette année connaît la participation de cinq golfeuses marocaines. Pensez-vous que le fait de participer à des compétitions de haut niveau comme la Coupe Lalla Meryem aide à faire progresser le golf féminin marocain ?
Absolument. Lorsque vous voyez des joueuses du pays hôte de la compétition participer à ce genre de tournoi, cela attire plus de public et plus d’audiences, car ils les encouragent. C’est également important pour la jeune génération d’avoir des idoles qui les inspirent à poursuivre la pratique golfique et à devenir des joueurs élites dans le futur.
Quel est votre pronostic pour cette édition de la Coupe Lalla Meryem, qui succédera à la Britannique Bronte Law ?
Je ne peux pas me prononcer (rires), car c’est le premier tournoi de l’année. Il y a beaucoup de nouvelles joueuses, de nouveaux talents. La compétition est rude et tout le monde peut s’imposer à la fin.
Coupe Lalla Meryem : Excellents résultats d’Inès Laklalech et Malak Bouraeda
À l’instar du Trophée Hassan II, la Coupe Lalla Meryem a été marquée par l’excellent niveau affiché par les joueuses pro du Ladies European Tour au cours du premier round du tournoi. Les golfeuses marocaines ont également réalisé de très bons résultats, comme ce fut le cas pour Inès Laklalech qui a terminé la première partie de la compétition à la 14e place ex aequo avec un score de -2. Sa compatriote, Malak Bouraeda s’est classée à la 24e place (-1), tandis que la jeune espoir du golf féminin national, Sofia Cherif Essakali, a terminé à la 39e place dans le par, ex aequo avec Lina Belmati. De son côté, Maha Haddioui s’est classé à la 50e place avec un score de +1. Dans le haut du classement au terme du premier round, l’Américaine Brianna Navarrosa a dominé les débats grâce à une excellente carte de six coups sous le par.
Questions à la PDG du Ladies European Tour
Alexandra Armas : «La présence de joueuses marocaines dans la Coupe Lalla Meryem encourage la nouvelle génération à la pratique du golf»
Le Ladies European Tour est très impliqué dans le travail de détection à travers plusieurs programmes, à l’image du Lalla Aïcha Qualifying Series. Quelle est l’importance de tels programmes pour vous, spécialement au Maroc ?
Ce genre de programmes est très important pour nous à deux niveaux. Premièrement, cela permet à nos joueuses de concourir dans plusieurs spots dans le monde. Deuxièmement, le fait de venir dans des pays comme le Maroc nous permet de travailler en étroite collaboration avec la Fédération Royale marocaine de golf pour l’aider à faire éclore une nouvelle génération de joueuses pour le futur.
À l’instar de l’édition précédente de la Coupe Lalla Meryem, cette année connaît la participation de cinq golfeuses marocaines. Pensez-vous que le fait de participer à des compétitions de haut niveau comme la Coupe Lalla Meryem aide à faire progresser le golf féminin marocain ?
Absolument. Lorsque vous voyez des joueuses du pays hôte de la compétition participer à ce genre de tournoi, cela attire plus de public et plus d’audiences, car ils les encouragent. C’est également important pour la jeune génération d’avoir des idoles qui les inspirent à poursuivre la pratique golfique et à devenir des joueurs élites dans le futur.
Quel est votre pronostic pour cette édition de la Coupe Lalla Meryem, qui succédera à la Britannique Bronte Law ?
Je ne peux pas me prononcer (rires), car c’est le premier tournoi de l’année. Il y a beaucoup de nouvelles joueuses, de nouveaux talents. La compétition est rude et tout le monde peut s’imposer à la fin.
