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Dorénavant, le groupe marocain, actif sur quatre pôles de métiers allant de l'infrastructure informatique à la bureautique, en passant par l'intégration de systèmes et les télécommunications, entend poursuivre sa croissance au Maroc et à l'étranger. Dans un premier temps, pour se donner les moyens de ses ambitions, il a renfloué, au début de l'année, son capital de 300%, en injectant des fonds propres. L'objectif est de faire face au développement conforme au business plan qui prévoit de multiplier par 2,5 le chiffre d'affaires (300 millions de dirhams en 2007). Aujourd'hui, Kamil Benjelloun, président du groupe, accompagné des membres de son staff, annonce une prochaine entrée en Bourse prévue en 2010.
Auparavant, une OPV, dédiée aux salariés et étalée sur 3 ans, leur permettra d'acquérir 2,5%/an des parts.
Cette nouvelle sortie médiatique s'inscrit dans une perspective de partage des résultats et de préservation des ressources humaines du groupe. Selon le président, c'est une suite logique à l'évolution de cette société marocaine à 100%, qui a su s'adapter, voire anticiper en permanence, dans un secteur qui a énormément évolué. Cette capacité de changement constant, de veille permanente pour coller à l'évolution technologique, a été telle qu'elle est devenue une caractéristique du groupe, a-t-il poursuivi. L'exemple qu'il donne est assez édifiant : «C'est tout à fait analogue au passage des positionneuses électroniques de 4kbits de mémoire valant 160.000 dirhams à l'époque au lap top de 2 Giga, dont le disque dur ne vaut pas plus de 300 dirhams aujourd'hui».
Relatant les différentes étapes de sa croissance, depuis sa création en 1970 en partenariat avec Toshiba et sa stratégie de présence nationale avec sept agences, jusqu'à son expansion actuelle, marquée par une agence à Dakar au Sénégal et d'intenses activités au Burkina Faso au Cameroun, en Côte d'Ivoire, au Gabon, au Mali, en Mauritanie et en Tunisie, Kamil Benjelloun a mis l'accent sur le présent et l'avenir.
Aujourd'hui, renchérit-il, il s'agit d'une nouvelle entité dont la vision est de produire de la productivité, et être à même d'apporter de la valeur ajoutée à ses clients.
Mais pour en arriver là, il a fallu l'implication de compétences qui ont cru au projet CBI et qui ont un ensemble de valeurs en commun. Celles-ci constituent le moteur, l'âme de l'entreprise. Elles tournent autour de concepts, tels qu'être centré sur le client (être au cœur de sa problématique), l'implication, l'anticipation, l'innovation et la créativité, le partage et la maîtrise émotionnelle. Le directeur général de CBI résume la touche CBI par une vision de partenariat. «Nous œuvrons à améliorer le système d'informations de nos clients au Maroc et à l'étranger où nous accompagnons nos porte-avions nationaux, tels que Maroc Telecom, BMCE Bank,…», a-t-il conclu.
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Sans doute, sa configuration qui lui permet d'être pratiquement la seule société de la place à couvrir tous les segments des TI, lui a valu autant d'accomplissements. En effet, le groupe ratisse large sur l'ensemble des TI et va de la saisie au stockage, en passant par le transport, le traitement et la visualisation des informations. C'est un véritable intégrateur global de solutions, un groupe multimétiers dont tous les maillons de la chaîne sont importants.
Loin de se départir de ses responsabilités citoyennes, CBI contribue à mettre à niveau le matériel obsolète que lui confient les banques pour être redistribués dans des écoles par des associations. Ses actions sociales ont aussi concerné l'informatisation de jeunes filles, âgées de 7 à 12 ans, dans une école de Hay Mohammédi à Casablanca.
Auparavant, une OPV, dédiée aux salariés et étalée sur 3 ans, leur permettra d'acquérir 2,5%/an des parts.
Cette nouvelle sortie médiatique s'inscrit dans une perspective de partage des résultats et de préservation des ressources humaines du groupe. Selon le président, c'est une suite logique à l'évolution de cette société marocaine à 100%, qui a su s'adapter, voire anticiper en permanence, dans un secteur qui a énormément évolué. Cette capacité de changement constant, de veille permanente pour coller à l'évolution technologique, a été telle qu'elle est devenue une caractéristique du groupe, a-t-il poursuivi. L'exemple qu'il donne est assez édifiant : «C'est tout à fait analogue au passage des positionneuses électroniques de 4kbits de mémoire valant 160.000 dirhams à l'époque au lap top de 2 Giga, dont le disque dur ne vaut pas plus de 300 dirhams aujourd'hui».
Relatant les différentes étapes de sa croissance, depuis sa création en 1970 en partenariat avec Toshiba et sa stratégie de présence nationale avec sept agences, jusqu'à son expansion actuelle, marquée par une agence à Dakar au Sénégal et d'intenses activités au Burkina Faso au Cameroun, en Côte d'Ivoire, au Gabon, au Mali, en Mauritanie et en Tunisie, Kamil Benjelloun a mis l'accent sur le présent et l'avenir.
Aujourd'hui, renchérit-il, il s'agit d'une nouvelle entité dont la vision est de produire de la productivité, et être à même d'apporter de la valeur ajoutée à ses clients.
Mais pour en arriver là, il a fallu l'implication de compétences qui ont cru au projet CBI et qui ont un ensemble de valeurs en commun. Celles-ci constituent le moteur, l'âme de l'entreprise. Elles tournent autour de concepts, tels qu'être centré sur le client (être au cœur de sa problématique), l'implication, l'anticipation, l'innovation et la créativité, le partage et la maîtrise émotionnelle. Le directeur général de CBI résume la touche CBI par une vision de partenariat. «Nous œuvrons à améliorer le système d'informations de nos clients au Maroc et à l'étranger où nous accompagnons nos porte-avions nationaux, tels que Maroc Telecom, BMCE Bank,…», a-t-il conclu.
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Les TI
Un intégrateur de solutions globales, sociétalement engagéSans doute, sa configuration qui lui permet d'être pratiquement la seule société de la place à couvrir tous les segments des TI, lui a valu autant d'accomplissements. En effet, le groupe ratisse large sur l'ensemble des TI et va de la saisie au stockage, en passant par le transport, le traitement et la visualisation des informations. C'est un véritable intégrateur global de solutions, un groupe multimétiers dont tous les maillons de la chaîne sont importants.
Loin de se départir de ses responsabilités citoyennes, CBI contribue à mettre à niveau le matériel obsolète que lui confient les banques pour être redistribués dans des écoles par des associations. Ses actions sociales ont aussi concerné l'informatisation de jeunes filles, âgées de 7 à 12 ans, dans une école de Hay Mohammédi à Casablanca.
