Un choix budgétaire inévitable. L'investissement public incarne le rôle le plus stratégique en assurant le financement des équipements collectifs, indispensables à toute croissance économique, à la compétitivité de l'économie, mais aussi pour la cohésion sociale et la qualité de la vie. Ce faisant, il gagnera, une année de plus, un volume budgétaire de 16,1% en 2009 par rapport à celui de l'année passée, pour être porté à 135,04 MMDH. Avec force détails, les dépenses d'investissement du budget général s'élèvent à 45,2 MMDH. Les dotations du Fonds Hassan II pour le développement économique et social devant être mobilisées au titre de l'année 2009 vont totaliser un montant de 3 MMDH, attribué ainsi au fonds «de par son effet de levier sur l'investissement plurisectoriel et social».
Les programmes d'investissement financés dans le cadre des comptes spéciaux du Trésor s'élèvent à 7,3 MMDH affectés principalement au renforcement du réseau routier national, au soutien d'actions relevant des secteurs de l'agriculture, des eaux et forêts, de l'élevage, de l'audio-visuel, de l'habitat, de la justice, de la culture, des sports, de l'aide aux jeunes promoteurs et le financement de programmes socioéducatifs. Les budgets d'investissement des collectivités locales sont consacrés principalement à la mise en place des infrastructures destinées à améliorer les conditions de vie des populations.
Les efforts seront concentrés sur l'extension et le renforcement des réseaux de voirie et d'assainissement, les constructions d'infrastructures culturelles, sportives et de loisirs, de marchés et d'édifices publics ainsi que les aménagements de jardins et d'espaces verts. Les dépenses y afférentes s'élèvent globalement à 6 MMDH environ. Bien que leur nombre soit en diminution, le principal de l'action budgétaire publique continue d'être octroyé aux Entreprises et établissements publics (EEP). Leur programme d'investissement s'élève globalement, pour l'année 2009, à 84,93 MMDH environ, couvrant principalement les secteurs de l'énergie, télécommunications, l'habitat, l'agriculture, l'électricité, l'eau potable,
les phosphates et leurs dérivés, les autoroutes et les transports aériens, maritimes et ferroviaires.
L'attribution budgétaire aux établissements publics est jointe à un objectif qui consiste à en améliorer l'organisation et le mode de gestion afin qu'il puisse participer de façon plus substantielle, au financement des dépenses publiques.
La note de présentation du PLF 2009 considère «les résultats enregistrés à ce titre comme probants», et que «malgré la cession de l'essentiel des entreprises publiques, parmi les plus rentables au secteur privé, les apports des établissements publics (produits des monopoles, des exploitations et des participations financières de l'État) devraient passer de 6,90 MMDH en 2008 à 10,01 MMDH en 2009».
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Les programmes d'investissement financés dans le cadre des comptes spéciaux du Trésor s'élèvent à 7,3 MMDH affectés principalement au renforcement du réseau routier national, au soutien d'actions relevant des secteurs de l'agriculture, des eaux et forêts, de l'élevage, de l'audio-visuel, de l'habitat, de la justice, de la culture, des sports, de l'aide aux jeunes promoteurs et le financement de programmes socioéducatifs. Les budgets d'investissement des collectivités locales sont consacrés principalement à la mise en place des infrastructures destinées à améliorer les conditions de vie des populations.
Les efforts seront concentrés sur l'extension et le renforcement des réseaux de voirie et d'assainissement, les constructions d'infrastructures culturelles, sportives et de loisirs, de marchés et d'édifices publics ainsi que les aménagements de jardins et d'espaces verts. Les dépenses y afférentes s'élèvent globalement à 6 MMDH environ. Bien que leur nombre soit en diminution, le principal de l'action budgétaire publique continue d'être octroyé aux Entreprises et établissements publics (EEP). Leur programme d'investissement s'élève globalement, pour l'année 2009, à 84,93 MMDH environ, couvrant principalement les secteurs de l'énergie, télécommunications, l'habitat, l'agriculture, l'électricité, l'eau potable,
les phosphates et leurs dérivés, les autoroutes et les transports aériens, maritimes et ferroviaires.
L'attribution budgétaire aux établissements publics est jointe à un objectif qui consiste à en améliorer l'organisation et le mode de gestion afin qu'il puisse participer de façon plus substantielle, au financement des dépenses publiques.
La note de présentation du PLF 2009 considère «les résultats enregistrés à ce titre comme probants», et que «malgré la cession de l'essentiel des entreprises publiques, parmi les plus rentables au secteur privé, les apports des établissements publics (produits des monopoles, des exploitations et des participations financières de l'État) devraient passer de 6,90 MMDH en 2008 à 10,01 MMDH en 2009».
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