Après l'adhésion à l'Union européenne en 2004, la Pologne va assurer la présidence de l'UE pour la première fois au second semestre 2011. Comment la Pologne d'aujourd'hui et en particulier son économie devraient être perçues ?
L'adhésion à l'Union européenne, le 1er mai 2004, a été un tournant décisif. L'économie polonaise s'intègre bien dans le marché européen et enregistre des résultats positifs. La production affiche une hausse continue. Le pouvoir d'achat augmente. Le processus de profonds changements dans l'industrie, dans l'agriculture et dans le secteur des finances publiques a pris son plein essor. Le taux de chômage est en baisse constante. Les investisseurs étrangers s'installent attirés par les atouts de la Pologne: un positionnement géographique, stratégique et avantageux en Europe, un marché grand et ouvert avec 38,5 millions de consommateurs, une main-d'œuvre hautement qualifiée, efficace et compétitive et le respect des principes du marché libre. La présence en nombre des sociétés étrangères occidentales et asiatiques est évaluée à plus de 1.000 entreprises.
Vous présentez la Pologne comme un pays émergent attractif pour les investisseurs étrangers et capable d'affronter la concurrence internationale. Quel est son stade actuel de développement ?
D'après une opinion récente de la Banque mondiale, la Pologne, comme les autres pays qui ont adhéré à l'UE en 2004, a terminé sa transformation économique et n'est plus dans la période de transition. Nous devons donc faire face aux mêmes défis que ceux qui sont relevés par les membres de l'UE beaucoup plus riches. Nous savons que ni la simple restructuration ni l'utilisation d'une main-d'œuvre peu chère ne peuvent plus garantir le développement. Il est à présent indispensable d'investir dans les nouvelles technologies, les recherches scientifiques et l'innovation, dans l'éducation et la formation. Actuellement, en Pologne, la valeur du PIB par habitant dépasse de peu la moyenne de l'UE. Ce sont-là les défis que notre économie devra relever pour atteindre les meilleurs standards européens. Nous sommes obligés de leur faire face pour pouvoir tirer toujours profit de l'opinion favorable dont bénéficie le modèle polonais de transformation. Si le pays maintient le rythme actuel de sa croissance économique et que les Etats les plus avancés de l'UE progressent à leur cadence actuelle, dans 20 ans, la Pologne pourra s'approcher nettement des pays hautement développés, rattraper son retard et se positionner comme un partenaire très valable dans l'économie européenne et celle mondiale.
La Pologne reçoit une aide de l'UE de plusieurs milliards d'euros annuellement. Est-ce pour cette raison que les 80 % des Polonais acceptent l'adhésion de leur pays à l'UE ?
L'adhésion de notre pays à l'UE incite les Polonais et notamment les hommes d'affaires à renforcer leur présence effective sur la scène européenne et à assimiler les standards en vigueur dans l'UE. Si la Pologne profite maintenant de l'aide européenne, au même titre que les autres pays admis plus tôt, elle est en même temps consciente qu'avec les nouveaux membres de l'UE, elle constitue l'avant-garde du développement dynamique et que le moment viendra où la Pologne moderne et riche sera payeur net et pourra aider à son tour les futurs membres. Nous sommes également convaincus que l'intégration économique au sein du marché de l'UE contribue au développement du commerce mondial et par là- même aux échanges Nord-Sud.
Est-ce que cela signifie qu'à votre avis, l'intégration européenne favorise les échanges commerciaux et la coopération bilatérale entre la Pologne et le Maroc ?
Nous pouvons nous féliciter que depuis 2004, aussi bien la valeur des exportations polonaises vers le Maroc que celle de nos importations en provenance de votre pays augmentent systématiquement de 10 à 20% chaque année. Selon les données provisoires polonaises, en 2007, nos échanges ont atteint 208 millions d'euros avec un léger solde positif en faveur de la Pologne.
Je serais personnellement très satisfait si la valeur des échanges maroco-polonais pouvait rapidement doubler. Les données du premier trimestre 2008 me laissent croire que cela est tout à fait possible. Je pense que les potentiels respectifs de nos deux économies le permettent, particulièrement à l'ère de la mondialisation. Prenons par exemple la production des voitures. Actuellement, 100.000 véhicules de tourisme et utilitaires de marque et de renommée mondiales sont produits mensuellement en Pologne. A l'exception de 2,5% des voitures de tourisme qui sont destinées au marché local, toute cette production est exportée. Une partie de ces voitures arrive au Maroc.
Les voitures ne figurent-elles certainement pas parmi les principaux produits échangés entre la Pologne et le Maroc ?
Oui c'est vrai, depuis de nombreuses années, le Maroc achète le soufre polonais et notre pays importe le phosphate marocain. Nous achetons également des produits tels que ceux de la confection, les pommes de terre, les tomates, les éléments d'isolation pour machines, appareils et matériel électrotechnique, les éléments de chaussures, les agrumes et les poissons en conserve.
Grâce aux investissements étrangers, la Pologne fabrique de nouvelles gammes de produits, ce qui contribue à diversifier l'offre des marchandises destinées à l'exportation, dominée dans le passé par le charbon, le cuivre raffiné, le soufre, le bois, les produits en acier, les machines et appareils et les produits chimiques et agroalimentaires. Selon les données dont nous disposons, en 2007, le nombre des importateurs polonais coopérant avec le Maroc s'est élevé à presque 400, tandis que celui des sociétés polonaises qui ont exporté vers le Royaume n'a pas dépassé 200. Je suis persuadé que la continuation de la libéralisation des échanges commerciaux entre le Maroc et l'UE augmentera l'intérêt porté par les hommes d'affaires polonais et marocains au développement de nos échanges mutuels et permettra d'exploiter pleinement les possibilités de coopération existantes. Il convient de souligner que le rythme de croissance des échanges polonais avec l'étranger est plus rapide que celui du commerce mondial.
Est-ce qu'à votre avis les efforts de promotion fournis par nos deux pays sont suffisants pour identifier ces opportunités ?
Plus des _ des exportations polonaises sont destinées au marché de l'UE. Nos exportateurs participent activement aux foires et salons qui sont organisés dans les pays européens et auxquels prennent souvent part les entreprises marocaines. Une grande partie des informations concernant notre offre d'exportation provient de ces contacts.
J'aimerais ajouter que les entreprises à capitaux étrangers exerçant en Pologne contribuent de plus en plus à l'accroissement des échanges commerciaux polonais. Il est évident que ces sociétés étrangères qui produisent en Pologne développent leurs actions de promotion dans le cadre des stratégies de marketing de leurs compagnies partout dans le monde, ce qui englobe bien évidemment le Maroc. D'ailleurs, les sociétés implantées notamment dans les zones franches marocaines pénètrent de la même manière le marché polonais.
Toutefois, il convient de rappeler que le meilleur moyen pour promouvoir la coopération serait d'inciter les acteurs économiques et les entrepreneurs à participer aux missions économiques et aux foires, salons et expositions, de manière à tisser des relations que nous souhaitons pérennes pour le bien de nos deux pays.
Est-ce que cela signifie que les produits proprement polonais jouent un rôle de moins en moins important? Dans les années 1970-1980, les coopérants polonais étaient présents au Maroc et vos produits technologiques plus visibles. Est-il possible d'envisager le retour de cette présence polonaise au Royaume ?
Aujourd'hui, les produits polonais sont toujours présents sur le marché marocain. Nos exportateurs approvisionnent les clients marocains en machines et autres produits dont ceux des nouvelles technologies élaborés par les ingénieurs polonais. Par ailleurs, le développement de la société de l'information et celui de l'économie basée sur la connaissance devraient faire partie des facteurs majeurs de croissance du commerce extérieur polonais dans les prochaines années, y compris dans le domaine des biens de moyenne et haute technologies. Le retour de plusieurs polonais expatriés est aussi de nature à faire bénéficier notre pays de leurs expériences acquises à l'étranger tant au niveau technique que managérial. Ils s'installent à leur compte, profitent des avantages induits des réformes réalisées par le pays et apportent une plus grande lisibilité dans la gestion moderne des secteurs où ils se sont investis en nombre.
Cette situation sera favorisée par la réalisation du Cadre de référence stratégique national pour les années 2007-2013 et du Programme opérationnel «Une économie innovante» adoptés et lancés dernièrement par le gouvernement. Un rôle important dans ce processus est joué par les grandes entreprises à participation étrangère, mais il existe des exemples d'une activité fiable et innovante des petites et moyennes entreprises. Nous observons déjà que l'intérêt porté par ces firmes au marché marocain est grandissant, ce qui prouve que les partenariats entre les acteurs économiques tant au Maroc qu'en Pologne sont possibles et vivement souhaités. L'émergence des nouvelles économies est certainement le meilleur pont entre nos jeunes promoteurs qui pourront former le chaînon de l'excellence dans les relations économiques entre nos deux pays pour les années à venir.
D'autres types de contacts mutuels peuvent contribuer, d'une certaine manière, au développement des relations économiques. On observe notamment, ces dernières années, un regain d'intérêt pour le Maroc de la part des touristes polonais...
En effet, le nombre des Polonais ayant séjourné dans le Royaume est passé de 20.000 en 2006 à plus de 30.000 en 2007 et les professionnels sont formels: ce chiffre doublera dans les 2 années qui suivent. Mais il faut prendre en compte la concurrence qui se fait de plus en plus agressive. Pour fidéliser ces touristes, les tour-opérateurs doivent offrir des packages à bon rapport qualité-prix. Je suis convaincu que les professionnels marocains et polonais ont bien pris en compte ce constat dans les actions qu'ils lancent pour attirer plus de touristes.
En outre, nous espérons que compte tenu des échanges commerciaux, touristiques et culturels qui s'intensifient, le nombre des Marocains qui visiteront la Pologne va progresser.
L'adhésion à l'Union européenne, le 1er mai 2004, a été un tournant décisif. L'économie polonaise s'intègre bien dans le marché européen et enregistre des résultats positifs. La production affiche une hausse continue. Le pouvoir d'achat augmente. Le processus de profonds changements dans l'industrie, dans l'agriculture et dans le secteur des finances publiques a pris son plein essor. Le taux de chômage est en baisse constante. Les investisseurs étrangers s'installent attirés par les atouts de la Pologne: un positionnement géographique, stratégique et avantageux en Europe, un marché grand et ouvert avec 38,5 millions de consommateurs, une main-d'œuvre hautement qualifiée, efficace et compétitive et le respect des principes du marché libre. La présence en nombre des sociétés étrangères occidentales et asiatiques est évaluée à plus de 1.000 entreprises.
Vous présentez la Pologne comme un pays émergent attractif pour les investisseurs étrangers et capable d'affronter la concurrence internationale. Quel est son stade actuel de développement ?
D'après une opinion récente de la Banque mondiale, la Pologne, comme les autres pays qui ont adhéré à l'UE en 2004, a terminé sa transformation économique et n'est plus dans la période de transition. Nous devons donc faire face aux mêmes défis que ceux qui sont relevés par les membres de l'UE beaucoup plus riches. Nous savons que ni la simple restructuration ni l'utilisation d'une main-d'œuvre peu chère ne peuvent plus garantir le développement. Il est à présent indispensable d'investir dans les nouvelles technologies, les recherches scientifiques et l'innovation, dans l'éducation et la formation. Actuellement, en Pologne, la valeur du PIB par habitant dépasse de peu la moyenne de l'UE. Ce sont-là les défis que notre économie devra relever pour atteindre les meilleurs standards européens. Nous sommes obligés de leur faire face pour pouvoir tirer toujours profit de l'opinion favorable dont bénéficie le modèle polonais de transformation. Si le pays maintient le rythme actuel de sa croissance économique et que les Etats les plus avancés de l'UE progressent à leur cadence actuelle, dans 20 ans, la Pologne pourra s'approcher nettement des pays hautement développés, rattraper son retard et se positionner comme un partenaire très valable dans l'économie européenne et celle mondiale.
La Pologne reçoit une aide de l'UE de plusieurs milliards d'euros annuellement. Est-ce pour cette raison que les 80 % des Polonais acceptent l'adhésion de leur pays à l'UE ?
L'adhésion de notre pays à l'UE incite les Polonais et notamment les hommes d'affaires à renforcer leur présence effective sur la scène européenne et à assimiler les standards en vigueur dans l'UE. Si la Pologne profite maintenant de l'aide européenne, au même titre que les autres pays admis plus tôt, elle est en même temps consciente qu'avec les nouveaux membres de l'UE, elle constitue l'avant-garde du développement dynamique et que le moment viendra où la Pologne moderne et riche sera payeur net et pourra aider à son tour les futurs membres. Nous sommes également convaincus que l'intégration économique au sein du marché de l'UE contribue au développement du commerce mondial et par là- même aux échanges Nord-Sud.
Est-ce que cela signifie qu'à votre avis, l'intégration européenne favorise les échanges commerciaux et la coopération bilatérale entre la Pologne et le Maroc ?
Nous pouvons nous féliciter que depuis 2004, aussi bien la valeur des exportations polonaises vers le Maroc que celle de nos importations en provenance de votre pays augmentent systématiquement de 10 à 20% chaque année. Selon les données provisoires polonaises, en 2007, nos échanges ont atteint 208 millions d'euros avec un léger solde positif en faveur de la Pologne.
Je serais personnellement très satisfait si la valeur des échanges maroco-polonais pouvait rapidement doubler. Les données du premier trimestre 2008 me laissent croire que cela est tout à fait possible. Je pense que les potentiels respectifs de nos deux économies le permettent, particulièrement à l'ère de la mondialisation. Prenons par exemple la production des voitures. Actuellement, 100.000 véhicules de tourisme et utilitaires de marque et de renommée mondiales sont produits mensuellement en Pologne. A l'exception de 2,5% des voitures de tourisme qui sont destinées au marché local, toute cette production est exportée. Une partie de ces voitures arrive au Maroc.
Les voitures ne figurent-elles certainement pas parmi les principaux produits échangés entre la Pologne et le Maroc ?
Oui c'est vrai, depuis de nombreuses années, le Maroc achète le soufre polonais et notre pays importe le phosphate marocain. Nous achetons également des produits tels que ceux de la confection, les pommes de terre, les tomates, les éléments d'isolation pour machines, appareils et matériel électrotechnique, les éléments de chaussures, les agrumes et les poissons en conserve.
Grâce aux investissements étrangers, la Pologne fabrique de nouvelles gammes de produits, ce qui contribue à diversifier l'offre des marchandises destinées à l'exportation, dominée dans le passé par le charbon, le cuivre raffiné, le soufre, le bois, les produits en acier, les machines et appareils et les produits chimiques et agroalimentaires. Selon les données dont nous disposons, en 2007, le nombre des importateurs polonais coopérant avec le Maroc s'est élevé à presque 400, tandis que celui des sociétés polonaises qui ont exporté vers le Royaume n'a pas dépassé 200. Je suis persuadé que la continuation de la libéralisation des échanges commerciaux entre le Maroc et l'UE augmentera l'intérêt porté par les hommes d'affaires polonais et marocains au développement de nos échanges mutuels et permettra d'exploiter pleinement les possibilités de coopération existantes. Il convient de souligner que le rythme de croissance des échanges polonais avec l'étranger est plus rapide que celui du commerce mondial.
Est-ce qu'à votre avis les efforts de promotion fournis par nos deux pays sont suffisants pour identifier ces opportunités ?
Plus des _ des exportations polonaises sont destinées au marché de l'UE. Nos exportateurs participent activement aux foires et salons qui sont organisés dans les pays européens et auxquels prennent souvent part les entreprises marocaines. Une grande partie des informations concernant notre offre d'exportation provient de ces contacts.
J'aimerais ajouter que les entreprises à capitaux étrangers exerçant en Pologne contribuent de plus en plus à l'accroissement des échanges commerciaux polonais. Il est évident que ces sociétés étrangères qui produisent en Pologne développent leurs actions de promotion dans le cadre des stratégies de marketing de leurs compagnies partout dans le monde, ce qui englobe bien évidemment le Maroc. D'ailleurs, les sociétés implantées notamment dans les zones franches marocaines pénètrent de la même manière le marché polonais.
Toutefois, il convient de rappeler que le meilleur moyen pour promouvoir la coopération serait d'inciter les acteurs économiques et les entrepreneurs à participer aux missions économiques et aux foires, salons et expositions, de manière à tisser des relations que nous souhaitons pérennes pour le bien de nos deux pays.
Est-ce que cela signifie que les produits proprement polonais jouent un rôle de moins en moins important? Dans les années 1970-1980, les coopérants polonais étaient présents au Maroc et vos produits technologiques plus visibles. Est-il possible d'envisager le retour de cette présence polonaise au Royaume ?
Aujourd'hui, les produits polonais sont toujours présents sur le marché marocain. Nos exportateurs approvisionnent les clients marocains en machines et autres produits dont ceux des nouvelles technologies élaborés par les ingénieurs polonais. Par ailleurs, le développement de la société de l'information et celui de l'économie basée sur la connaissance devraient faire partie des facteurs majeurs de croissance du commerce extérieur polonais dans les prochaines années, y compris dans le domaine des biens de moyenne et haute technologies. Le retour de plusieurs polonais expatriés est aussi de nature à faire bénéficier notre pays de leurs expériences acquises à l'étranger tant au niveau technique que managérial. Ils s'installent à leur compte, profitent des avantages induits des réformes réalisées par le pays et apportent une plus grande lisibilité dans la gestion moderne des secteurs où ils se sont investis en nombre.
Cette situation sera favorisée par la réalisation du Cadre de référence stratégique national pour les années 2007-2013 et du Programme opérationnel «Une économie innovante» adoptés et lancés dernièrement par le gouvernement. Un rôle important dans ce processus est joué par les grandes entreprises à participation étrangère, mais il existe des exemples d'une activité fiable et innovante des petites et moyennes entreprises. Nous observons déjà que l'intérêt porté par ces firmes au marché marocain est grandissant, ce qui prouve que les partenariats entre les acteurs économiques tant au Maroc qu'en Pologne sont possibles et vivement souhaités. L'émergence des nouvelles économies est certainement le meilleur pont entre nos jeunes promoteurs qui pourront former le chaînon de l'excellence dans les relations économiques entre nos deux pays pour les années à venir.
D'autres types de contacts mutuels peuvent contribuer, d'une certaine manière, au développement des relations économiques. On observe notamment, ces dernières années, un regain d'intérêt pour le Maroc de la part des touristes polonais...
En effet, le nombre des Polonais ayant séjourné dans le Royaume est passé de 20.000 en 2006 à plus de 30.000 en 2007 et les professionnels sont formels: ce chiffre doublera dans les 2 années qui suivent. Mais il faut prendre en compte la concurrence qui se fait de plus en plus agressive. Pour fidéliser ces touristes, les tour-opérateurs doivent offrir des packages à bon rapport qualité-prix. Je suis convaincu que les professionnels marocains et polonais ont bien pris en compte ce constat dans les actions qu'ils lancent pour attirer plus de touristes.
En outre, nous espérons que compte tenu des échanges commerciaux, touristiques et culturels qui s'intensifient, le nombre des Marocains qui visiteront la Pologne va progresser.
