Connexion
Qu'incluent exactement les 3 MMDH d'engagements financiers dans le secteur du tourisme ?
Dans les 3 MMDH il y a essentiellement des projets d'hôtels ainsi que d'autres hôtels adossés à des résidences touristiques. Les projets immobiliers, au strict sens, ne sont pas inclus. Les riads et villas devraient être destinés à la location pour relever du secteur touristique et pour bénéficier par conséquent de nos lignes de financement touristique
Quelles sont vos prévisions annuelles en termes de ces engagements ?
Je suis persuadé que les années à venir connaîtront un boom important que celui auquel nous avons assisté pendant ces dernières quatre années. Ceci pour deux raisons. La première est que le secteur est en forte croissance et les offres qu'on voit atterrir sont importantes, tant en termes de volumes qu'en termes de tailles. Deuxième raison, c'est que le niveau de maturité du plan Azur est aujourd'hui atteint. Ce plan commencera à donner ses fruits à partir de l'année prochaine. La majorité des développeurs-aménageurs a achevé ses travaux. La prochaine phase est celle de l'intervention des hôteliers sur les sites achevés. Déjà 5 sites sont pratiquement prêts. Le premier est le site de Saidia qui annoncera son premier hôtel en juillet prochain…
Avez-vous une idée sur le taux de croissance prévisionnel de vos financements touristiques ?
Si on intègre le secteur de la résidence touristique avec l'hôtellerie également, je suis sûr que nous atteindrons un taux de plus de 25% de croissance annuelle de nos engagements financiers dans le secteur. Déjà cette année, le volume des crédits bancaires, d'une manière générale, a crû de plus de 20% tiré principalement par les crédits immobiliers et touristiques.
Croyez-vous qu'il y ait des tensions prochaines sur la liquidité et qui puissent se traduire par la hausse des taux d'intérêt ?
Pour l'instant, le pense que la petite hausse, qui a eu lieu au début de l'année, va se poursuivre jusqu'à la fin du prochain semestre, mais il n'y aura pas de sérieuses tensions sur la masse monétaire.
Quelles sont vous attentes du Salon international du tourisme ?
Il faut dire que ce n'est pas le salon qui va sérieusement activer ou développer notre business. Il est plutôt une plate-forme qui fait que les opérateurs et professionnels se connaissent mieux entre eux et se partagent les expériences. Le MTM est pour nous un moyen redoutable pour connaître les besoins des professionnels du secteur touristique…
Dans les 3 MMDH il y a essentiellement des projets d'hôtels ainsi que d'autres hôtels adossés à des résidences touristiques. Les projets immobiliers, au strict sens, ne sont pas inclus. Les riads et villas devraient être destinés à la location pour relever du secteur touristique et pour bénéficier par conséquent de nos lignes de financement touristique
Quelles sont vos prévisions annuelles en termes de ces engagements ?
Je suis persuadé que les années à venir connaîtront un boom important que celui auquel nous avons assisté pendant ces dernières quatre années. Ceci pour deux raisons. La première est que le secteur est en forte croissance et les offres qu'on voit atterrir sont importantes, tant en termes de volumes qu'en termes de tailles. Deuxième raison, c'est que le niveau de maturité du plan Azur est aujourd'hui atteint. Ce plan commencera à donner ses fruits à partir de l'année prochaine. La majorité des développeurs-aménageurs a achevé ses travaux. La prochaine phase est celle de l'intervention des hôteliers sur les sites achevés. Déjà 5 sites sont pratiquement prêts. Le premier est le site de Saidia qui annoncera son premier hôtel en juillet prochain…
Avez-vous une idée sur le taux de croissance prévisionnel de vos financements touristiques ?
Si on intègre le secteur de la résidence touristique avec l'hôtellerie également, je suis sûr que nous atteindrons un taux de plus de 25% de croissance annuelle de nos engagements financiers dans le secteur. Déjà cette année, le volume des crédits bancaires, d'une manière générale, a crû de plus de 20% tiré principalement par les crédits immobiliers et touristiques.
Croyez-vous qu'il y ait des tensions prochaines sur la liquidité et qui puissent se traduire par la hausse des taux d'intérêt ?
Pour l'instant, le pense que la petite hausse, qui a eu lieu au début de l'année, va se poursuivre jusqu'à la fin du prochain semestre, mais il n'y aura pas de sérieuses tensions sur la masse monétaire.
Quelles sont vous attentes du Salon international du tourisme ?
Il faut dire que ce n'est pas le salon qui va sérieusement activer ou développer notre business. Il est plutôt une plate-forme qui fait que les opérateurs et professionnels se connaissent mieux entre eux et se partagent les expériences. Le MTM est pour nous un moyen redoutable pour connaître les besoins des professionnels du secteur touristique…
