Au nombre de 2 999, les internautes, qui se sont bousculés sur notre portail, ont finalement jeté leur dévolu sur le patron de Ynna Holding, en le plébiscitant de 986 voix, soit 33,9%. Dépassant à plusieurs longueurs d'avance bien de grosses pointures, Miloud Châabi aura remporté haut la main le vote du Manager de l'année. Loin derrière, arrive en deuxième position Othman Benjelloun, avec 248 voix, représentant 8,5% des suffrages. Taoufik Ibrahimi, qui est arrivé juste après, totalisant 7% des votes (227 voix), complète le podium.
Il faut noter que cette triplette qui coiffe au poteau bien des managers qui ont réalisé d'importantes réalisations au cours de l'année écoulée, n'a pas constamment occupé ces positions tout au long du sondage. S'il est vrai que, dès les tout premiers jours, Miloud Chaabi s'est emparé de la pole position, il a dû la céder à Othman Benjelloun pendant quelques jours. Revenu à la charge, il l'a par la suite reconquise pour ne plus la quitter jusqu'à la fin du vote des
internautes.
Rappelons que les critères de sélection, empreints d'objectivité, ont tourné autour des principales réalisations, et par conséquent, apparitions sur notre organe, en Une ou en page Economie. Il ressort des résultats de ce vote, fait intégralement par Internet, que les 7 premiers managers, avec dans l'ordre, Miloud Chaabi, Othman Benjelloun, Taoufik Ibrahimi, Abdeslam Ahizoune (223 voix, 7,7%), Mustapha Bakkoury (140 voix, 4,8%), Salwa Akhannouch (122 voix, 4,2%) et Driss Benhima (115 voix, 4%), ont glané, à eux seuls, 70,84% du total des voix, soit 2 061 votants. Après le Manager de l'année, les six ont formé le groupe de poursuivants, mais dans un groupe assez compact. Derrière, le peloton s'est étiré avec des groupuscules d'une dizaine de managers, régulièrement
espacés.
Totalement impartial dans ce vote, le Groupe Maroc Soir, qui édite et publie le Matin du Sahara, restitue tels quels ces résultats sans apporter un quelconque jugement. Toutefois, au vu des suffrages, en termes de participation, on peut sans se tromper avancer que le syndrome du bulletin de vote s'étend même jusque sur les claviers. Les appréhensions portant sur le ranking, expliquent-ils cette non affluence sur ce scrutin d'un autre genre ? On peut le croire. Dans tous les cas, il n'y avait ni campagne, ni tambours battants, ce sont les accomplissements des uns et des autres qui ont surtout milité pour eux.
L'abstention justifierait donc ces scores faibles à très faibles de quelque 54 managers, et non des moindres. On pourrait verser tout cela dans les reluctances d'une première. Gageons que dès le prochain sondage, cette distinction par les internautes aura acquis plus de notoriété, et que les lecteurs prendront quelques secondes de leur temps pour porter une voix sur le Manager, qui les aura marqués au cours de l'année écoulée.
Il faut noter que cette triplette qui coiffe au poteau bien des managers qui ont réalisé d'importantes réalisations au cours de l'année écoulée, n'a pas constamment occupé ces positions tout au long du sondage. S'il est vrai que, dès les tout premiers jours, Miloud Chaabi s'est emparé de la pole position, il a dû la céder à Othman Benjelloun pendant quelques jours. Revenu à la charge, il l'a par la suite reconquise pour ne plus la quitter jusqu'à la fin du vote des
internautes.
Rappelons que les critères de sélection, empreints d'objectivité, ont tourné autour des principales réalisations, et par conséquent, apparitions sur notre organe, en Une ou en page Economie. Il ressort des résultats de ce vote, fait intégralement par Internet, que les 7 premiers managers, avec dans l'ordre, Miloud Chaabi, Othman Benjelloun, Taoufik Ibrahimi, Abdeslam Ahizoune (223 voix, 7,7%), Mustapha Bakkoury (140 voix, 4,8%), Salwa Akhannouch (122 voix, 4,2%) et Driss Benhima (115 voix, 4%), ont glané, à eux seuls, 70,84% du total des voix, soit 2 061 votants. Après le Manager de l'année, les six ont formé le groupe de poursuivants, mais dans un groupe assez compact. Derrière, le peloton s'est étiré avec des groupuscules d'une dizaine de managers, régulièrement
espacés.
Totalement impartial dans ce vote, le Groupe Maroc Soir, qui édite et publie le Matin du Sahara, restitue tels quels ces résultats sans apporter un quelconque jugement. Toutefois, au vu des suffrages, en termes de participation, on peut sans se tromper avancer que le syndrome du bulletin de vote s'étend même jusque sur les claviers. Les appréhensions portant sur le ranking, expliquent-ils cette non affluence sur ce scrutin d'un autre genre ? On peut le croire. Dans tous les cas, il n'y avait ni campagne, ni tambours battants, ce sont les accomplissements des uns et des autres qui ont surtout milité pour eux.
L'abstention justifierait donc ces scores faibles à très faibles de quelque 54 managers, et non des moindres. On pourrait verser tout cela dans les reluctances d'une première. Gageons que dès le prochain sondage, cette distinction par les internautes aura acquis plus de notoriété, et que les lecteurs prendront quelques secondes de leur temps pour porter une voix sur le Manager, qui les aura marqués au cours de l'année écoulée.
