Son acheminement à destination devait durer un mois !
Pour s'attribuer les services de cette plateforme pétrolière, la société
congolaise devait débourser 23,5 millions de dollars, soit le montant du contrat de construction et d'assemblage. A cette occasion, DLM a ouvert son site de Jorf Lasfar aux médias nationaux pour leur faire découvrir cette imposante construction, qui pèse pas moins de 4.000 tonnes et dont la réalisation
aura nécessité plus de 260.000 heures de travail, avec 11 mois de préfabrication des pièces en ateliers et 9 mois de montage sur le port de Jorf Lasfar. Il est à noter que DLM n'est pas la seule société qui a travaillé sur cette réalisation.
En plus de la firme marocaine qui en est constructrice, «Emeraude Pilote Vapeur» est également l'oeuvre de la société française Perenco, comme maître d'oeuvre, de Overdick et Doris Engeneering sociétés d'ingénierie para-pétrolière
«Emeraude» est fabriquée en sous-ensemble dans les ateliers DLM d'Aïn Sebâa (siège) et assemblée au Yard sur le Port de Jorf Lasfar, pour ensuite être tractée sur barge semi-submersible jusqu'au lieu d'installation en République du Congo. Elle sera raccordée au champ pétrolier «Emeraude», situé sur la côte Atlantique
de ce pays africain. L'opération de chargement sur la barge durera 10 jours, le transport du Maroc au Congo 30 jours et l'installation sur son site de destination 15 jours. Elle serait donc prête à entrer en activité le 15 février 2009. Toutefois, sa mise en service ne devra pas arriver avant août 2009, selon les responsables de la société Perenco.
Par ailleurs, il est à expliquer qu'«Emeraude Pilote Vapeur» est une plateforme de production à injection de vapeur de type «Self installation – Jack up» prêt-à- utiliser et qui ne nécessite pas de gros travaux une fois livrée. Dotée de qualité autoélévatrice et destinée à une utilisation en eau peu profonde,
«Emeraude» est une plateforme qui repose sur le fond marin à 64 mètres de profondeur, ancrée au sol par 4 Piles à sussions. 200 personnes, ingénieurs, techniciens et ouvriers ont été mobilisés pour ce projet. Trois sociétés partenaires de renom ont participé à cet ouvrage à savoir DGM, Sochpev et Eurogrues. Les travaux de conception et d'assemblage ont été supervisés par le Bureau Veritas. La plateforme est finalisée le 30 octobre 2008. Il est à noter que pour décrocher ce marché, l'entreprise marocaine a dû entrer en compétition
avec des opérateurs de renom dans le domaine de la construction de plateformes pétrolières.
Ce que Eric Cecconello, directeur général de DLM, n'a pas manqué de rappeler aux journalistes. «Emeraude est la résultante d'un contrat remporté devant des compétiteurs français, singapouriens et hollandais», souligne-t-il, en estimant que cela prouve la compétitivité des entreprises africaines. Après cette opération, la société envisage son avenir dans de nouveaux domaines avec de grandes ambitions. «Grâce à la réussite de ce projet, nous pouvons prétendre disposer d'une référence excellente en matière d'offshore pétrolier. Ce qui nous met en position favorable pour décrocher d'autres projets analogues dans l'avenir», estime le même responsable. D'ailleurs, DLM est d'ores et déjà sur d'autres marchés. Il en est ainsi de l'Angola, avec un contrat signé, du Gabon, de la Mer du Nord et de la Tunisie, en plus d'autres commandes du Congo et du Sénégal sur des matériels d'offshore pétrolier.
Pour s'attribuer les services de cette plateforme pétrolière, la société
congolaise devait débourser 23,5 millions de dollars, soit le montant du contrat de construction et d'assemblage. A cette occasion, DLM a ouvert son site de Jorf Lasfar aux médias nationaux pour leur faire découvrir cette imposante construction, qui pèse pas moins de 4.000 tonnes et dont la réalisation
aura nécessité plus de 260.000 heures de travail, avec 11 mois de préfabrication des pièces en ateliers et 9 mois de montage sur le port de Jorf Lasfar. Il est à noter que DLM n'est pas la seule société qui a travaillé sur cette réalisation.
En plus de la firme marocaine qui en est constructrice, «Emeraude Pilote Vapeur» est également l'oeuvre de la société française Perenco, comme maître d'oeuvre, de Overdick et Doris Engeneering sociétés d'ingénierie para-pétrolière
«Emeraude» est fabriquée en sous-ensemble dans les ateliers DLM d'Aïn Sebâa (siège) et assemblée au Yard sur le Port de Jorf Lasfar, pour ensuite être tractée sur barge semi-submersible jusqu'au lieu d'installation en République du Congo. Elle sera raccordée au champ pétrolier «Emeraude», situé sur la côte Atlantique
de ce pays africain. L'opération de chargement sur la barge durera 10 jours, le transport du Maroc au Congo 30 jours et l'installation sur son site de destination 15 jours. Elle serait donc prête à entrer en activité le 15 février 2009. Toutefois, sa mise en service ne devra pas arriver avant août 2009, selon les responsables de la société Perenco.
Par ailleurs, il est à expliquer qu'«Emeraude Pilote Vapeur» est une plateforme de production à injection de vapeur de type «Self installation – Jack up» prêt-à- utiliser et qui ne nécessite pas de gros travaux une fois livrée. Dotée de qualité autoélévatrice et destinée à une utilisation en eau peu profonde,
«Emeraude» est une plateforme qui repose sur le fond marin à 64 mètres de profondeur, ancrée au sol par 4 Piles à sussions. 200 personnes, ingénieurs, techniciens et ouvriers ont été mobilisés pour ce projet. Trois sociétés partenaires de renom ont participé à cet ouvrage à savoir DGM, Sochpev et Eurogrues. Les travaux de conception et d'assemblage ont été supervisés par le Bureau Veritas. La plateforme est finalisée le 30 octobre 2008. Il est à noter que pour décrocher ce marché, l'entreprise marocaine a dû entrer en compétition
avec des opérateurs de renom dans le domaine de la construction de plateformes pétrolières.
Ce que Eric Cecconello, directeur général de DLM, n'a pas manqué de rappeler aux journalistes. «Emeraude est la résultante d'un contrat remporté devant des compétiteurs français, singapouriens et hollandais», souligne-t-il, en estimant que cela prouve la compétitivité des entreprises africaines. Après cette opération, la société envisage son avenir dans de nouveaux domaines avec de grandes ambitions. «Grâce à la réussite de ce projet, nous pouvons prétendre disposer d'une référence excellente en matière d'offshore pétrolier. Ce qui nous met en position favorable pour décrocher d'autres projets analogues dans l'avenir», estime le même responsable. D'ailleurs, DLM est d'ores et déjà sur d'autres marchés. Il en est ainsi de l'Angola, avec un contrat signé, du Gabon, de la Mer du Nord et de la Tunisie, en plus d'autres commandes du Congo et du Sénégal sur des matériels d'offshore pétrolier.
