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Au Maroc, un certain nombre de portails scintille dans le firmament du Net. On pourrait en citer Babifinance.net, maroc-finance.com ou casablanca-bourse.com.
Babfinance, qui a pour vocation de rechercher et surveiller des sources d'informations utiles aux hommes d'affaires, aux décideurs et aux étudiants, soit pour le développement de leur entreprise ou pour l'élargissement de leurs connaissances managériales, offre une fenêtre bourse en live. Seulement, cette rubrique n'est qu'un lien pour se connecter sur le site de la Bourse des Valeurs de Casablanca (BVC) avec des valeurs cotées depuis un certain laps de temps. Néanmoins, depuis son lancement, fin septembre 2006, Babfinance.ma est devenu un site de référence en matière d'informations et de services à destination des entreprises, dirigeants, financiers et investisseurs, soulignent ses concepteurs.
A côté de grands sites institutionnels marocains, il a su faire sa place et prouver son originalité, ajoutent-ils. Depuis son lancement, près de 500.000 pages sont lues par des lecteurs qui leur accordent chaque mois leur confiance, concluent-ils.
Mais, c'est incontestablement, casablanca-bourse.com, le portail de la BVC qui leur dame le pion. Ce site donne les indices MASI et MADEX heure par heure, mais aussi les volumes des marchés Central et de Blocs, ainsi que l'actualité financière.
Contrairement aux grands sites internationaux qui fournissent gratuitement une information en temps réel, ce site permet de suivre les séances de cotation en temps réel, à condition d'avoir un code utilisateur et un mot de passe. Ce précieux sésame peut être obtenu après avoir rempli un formulaire d'abonnement.
A l'étranger, la finance numérique est encore plus pléthorique.
De Boursorama.com, qui s'est consolidé par la fusion de plusieurs start-up (Finatex, Self Trade, Boursorama, Finance.net, …), à 123gofinance.com (plus important portail financier au Canada), en passant par Fininfo, AGE finance, … l'utilisateur n'a que l'embarras du choix. Pour se distinguer, Google finance a dirigé la semaine dernière une attaque frontale à Yahoo Finance, en décidant d'afficher le cours du Nasdaq en temps réel. Désormais, le géant du web mettra en ligne, à la seconde près, les cotations du Nasdaq, le marché américain des valeurs technologiques. Ce sera aussi le cas pour le Dow Jones, la Bourse de New York et les places de Shanghai et de Shenzhen.
Totalement gratuit, ce site web entend détrôner d'autres portails financiers qui ne divulguaient gratuitement qu'une information légèrement différée de 10 minutes à un quart d'heure, réservant le temps réel à des privilégiés abonnés. Notons que cette entente intervient après que des accords similaires aient été signés entre le Nasdaq et les sites de la CNBC et du Wall Street Journal. Présentement porté par un programme-pilote qui dure six mois, le temps nécessaire pour que la Securities and Exchange Commission donne son feu vert pour ce type d'accord, il a de fortes chances de faire des émules. Autre cas significatif, Boursorama.com (+ de 500.000 comptes en ligne) qui venait d'acheter la banque Caixa comptant 54 agences physiques - excusez du peu- a jeté son dévolu sur Onvista.de, après plus de 10 ans de présence sur le marché allemand.
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Babfinance, qui a pour vocation de rechercher et surveiller des sources d'informations utiles aux hommes d'affaires, aux décideurs et aux étudiants, soit pour le développement de leur entreprise ou pour l'élargissement de leurs connaissances managériales, offre une fenêtre bourse en live. Seulement, cette rubrique n'est qu'un lien pour se connecter sur le site de la Bourse des Valeurs de Casablanca (BVC) avec des valeurs cotées depuis un certain laps de temps. Néanmoins, depuis son lancement, fin septembre 2006, Babfinance.ma est devenu un site de référence en matière d'informations et de services à destination des entreprises, dirigeants, financiers et investisseurs, soulignent ses concepteurs.
A côté de grands sites institutionnels marocains, il a su faire sa place et prouver son originalité, ajoutent-ils. Depuis son lancement, près de 500.000 pages sont lues par des lecteurs qui leur accordent chaque mois leur confiance, concluent-ils.
Mais, c'est incontestablement, casablanca-bourse.com, le portail de la BVC qui leur dame le pion. Ce site donne les indices MASI et MADEX heure par heure, mais aussi les volumes des marchés Central et de Blocs, ainsi que l'actualité financière.
Contrairement aux grands sites internationaux qui fournissent gratuitement une information en temps réel, ce site permet de suivre les séances de cotation en temps réel, à condition d'avoir un code utilisateur et un mot de passe. Ce précieux sésame peut être obtenu après avoir rempli un formulaire d'abonnement.
A l'étranger, la finance numérique est encore plus pléthorique.
De Boursorama.com, qui s'est consolidé par la fusion de plusieurs start-up (Finatex, Self Trade, Boursorama, Finance.net, …), à 123gofinance.com (plus important portail financier au Canada), en passant par Fininfo, AGE finance, … l'utilisateur n'a que l'embarras du choix. Pour se distinguer, Google finance a dirigé la semaine dernière une attaque frontale à Yahoo Finance, en décidant d'afficher le cours du Nasdaq en temps réel. Désormais, le géant du web mettra en ligne, à la seconde près, les cotations du Nasdaq, le marché américain des valeurs technologiques. Ce sera aussi le cas pour le Dow Jones, la Bourse de New York et les places de Shanghai et de Shenzhen.
Totalement gratuit, ce site web entend détrôner d'autres portails financiers qui ne divulguaient gratuitement qu'une information légèrement différée de 10 minutes à un quart d'heure, réservant le temps réel à des privilégiés abonnés. Notons que cette entente intervient après que des accords similaires aient été signés entre le Nasdaq et les sites de la CNBC et du Wall Street Journal. Présentement porté par un programme-pilote qui dure six mois, le temps nécessaire pour que la Securities and Exchange Commission donne son feu vert pour ce type d'accord, il a de fortes chances de faire des émules. Autre cas significatif, Boursorama.com (+ de 500.000 comptes en ligne) qui venait d'acheter la banque Caixa comptant 54 agences physiques - excusez du peu- a jeté son dévolu sur Onvista.de, après plus de 10 ans de présence sur le marché allemand.
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