La société compte raffermir ses indicateurs d'activité en poursuivant sa stratégie de développement visant le recrutement de nouveaux clients et partenaires ainsi que la fidélisation de la clientèle acquise.
Traduisant les efforts consentis pour l'extension de son réseau, Eqdom a affiché de bonnes réalisations en 2008 comme en atteste l'accroissement de ses principaux agrégats. Ainsi, l'encours brut de crédit se hisse de 7,5% à 8 211,3 MDH. Dans ce sillage, le PNB a enregistré une hausse de 4,8% à 615,8 MDH, profitant notamment de la progression des produits d'exploitation combinée à la maîtrise du coût de refinancement. Parallèlement, et en dépit de l'importance des charges liées à l'élargissement de son réseau de distribution (ouverture de trois nouvelles agences en 2008) et au renforcement des effectifs, les charges générales d'exploitation limitent leur hausse à 3,8%, s'établissant à 222,8 MDH. En conséquence, le coefficient d'exploitation s'améliore de 0,3 point à 36,2%. Côté risque, les dotations aux provisions nettes des reprises se sont alourdies de 28,8% à 34,9 MDH, déterminant une charge de risque, qui reste toutefois faible, de 0,53%. Pour sa part, le taux de couverture des créances en souffrance se stabilise à 89%.
Eu égard à ces évolutions, et intégrant une baisse du taux de l'IS de 2,6 points à 37%, le résultat net de l'exercice 2008 est ressorti à 230,2 MDH, en expansion de 12,2% comparativement à une année auparavant. La société de financement prévoit la distribution d'un dividende unitaire de 100 DH dont 40 DH d'exceptionnel. Sur la base d'un cours boursier de 1 435 DH au 16 mars, le rendement de dividende s'élève à 7,0%. Dans un contexte économique difficile, Eqdom semble poursuivre sa stratégie de développement axée essentiellement sur le maillage de son réseau de distribution direct et indirect ainsi que sur la maîtrise de ses charges d'exploitation et de risque. A noter que bien que confronté au risque de ralentissement de la croissance économique en raison de la récession économique mondiale, le secteur du crédit à la consommation devrait poursuivre son développement. En effet, et capitalisant sur les mouvements de réforme antérieurs, les sociétés de financement devraient tirer profit du dynamisme intrinsèque de l'économie marocaine, de l'évolution des habitudes de consommation, et du faible taux d'équipement des ménages en crédits (18% au Maroc contre 69% en France) laissant présager un potentiel de croissance important.
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Traduisant les efforts consentis pour l'extension de son réseau, Eqdom a affiché de bonnes réalisations en 2008 comme en atteste l'accroissement de ses principaux agrégats. Ainsi, l'encours brut de crédit se hisse de 7,5% à 8 211,3 MDH. Dans ce sillage, le PNB a enregistré une hausse de 4,8% à 615,8 MDH, profitant notamment de la progression des produits d'exploitation combinée à la maîtrise du coût de refinancement. Parallèlement, et en dépit de l'importance des charges liées à l'élargissement de son réseau de distribution (ouverture de trois nouvelles agences en 2008) et au renforcement des effectifs, les charges générales d'exploitation limitent leur hausse à 3,8%, s'établissant à 222,8 MDH. En conséquence, le coefficient d'exploitation s'améliore de 0,3 point à 36,2%. Côté risque, les dotations aux provisions nettes des reprises se sont alourdies de 28,8% à 34,9 MDH, déterminant une charge de risque, qui reste toutefois faible, de 0,53%. Pour sa part, le taux de couverture des créances en souffrance se stabilise à 89%.
Eu égard à ces évolutions, et intégrant une baisse du taux de l'IS de 2,6 points à 37%, le résultat net de l'exercice 2008 est ressorti à 230,2 MDH, en expansion de 12,2% comparativement à une année auparavant. La société de financement prévoit la distribution d'un dividende unitaire de 100 DH dont 40 DH d'exceptionnel. Sur la base d'un cours boursier de 1 435 DH au 16 mars, le rendement de dividende s'élève à 7,0%. Dans un contexte économique difficile, Eqdom semble poursuivre sa stratégie de développement axée essentiellement sur le maillage de son réseau de distribution direct et indirect ainsi que sur la maîtrise de ses charges d'exploitation et de risque. A noter que bien que confronté au risque de ralentissement de la croissance économique en raison de la récession économique mondiale, le secteur du crédit à la consommation devrait poursuivre son développement. En effet, et capitalisant sur les mouvements de réforme antérieurs, les sociétés de financement devraient tirer profit du dynamisme intrinsèque de l'économie marocaine, de l'évolution des habitudes de consommation, et du faible taux d'équipement des ménages en crédits (18% au Maroc contre 69% en France) laissant présager un potentiel de croissance important.
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