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La participation des entrepreneurs marocains à cet événement est une opportunité de faire part de leurs expertises, chacun dans son domaine d'activité et de procéder à un benchmark avec leurs homologues américains et ceux des autres pays participants, tout en faisant la promotion des opportunités d'investissement au Maroc.
Huit entrepreneurs marocains, faisant partie d'un panel de 250 chefs d'entreprises issus de 50 pays, seront attendues les 26 et 27 avril prochain au siège de Ronald Reagan Building, à Washington, DC pour prendre part au sommet présidentiel sur l'entrepreneuriat. Cet événement auquel a appelé le président américain Barack Obama lors de son discours, au Caire, le 4 juin 2009, sera l'occasion de mettre en exergue l'importance de l'entrepreneuriat, de la création d'emploi et du développement communautaire. D'ailleurs, ce sont ces trois facteurs qui ont déterminé le choix des huit entrepreneurs-ambassadeurs marocains qui représenteront le Royaume. Ces derniers ne sont autres que Miloud Chaabi, président-fondateur de YNNA Holding, Omar Chaabi, vice-président du même holding, Moulay Ahmed Essakalli, président fondateur de Zid Zid Kids, Mohamed Benamour, directeur général et fondateur de Benson Shoes, Mohamed Horani, PDG et fondateur de Hightech Payment Systems, Hakima El Haité, directrice générale d'Eau Globe, Wafa Zerrouki, présidente et fondatrice de l'association pour l'artisanat traditionnel des femmes et Wafaa Chafi Fathi, secrétaire générale de la Fondation BMCE Bank. Une occasion, pour eux, de faire part de leurs expertises, chacun dans son domaine d'activité et de procéder à un benchmark avec leurs homologues américains et ceux des autres pays participants, tout en faisant la promotion des opportunités d'investissement au Maroc. « Le fait de participer à ce sommet est une bonne occasion pour présenter l'entrepreneuriat social pour un développement humain durable favorisant la croissance économique. Cela permettrait aussi de revenir avec des idées qu'il faudrait concrétiser sur le terrain.
Les ONG ont aussi besoin de se professionnaliser, grâce à cet événement, on saurait s'améliorer », a lancé Wafaa Chafi Fathi. Wafa Zerrouki, elle, a mis l'accent sur l'importance de tisser des liens avec les entreprises américaines tout en les convaincant d'investir au Maroc. Un objectif qui semblerait difficile à faire aboutir en sachant que les PME américaines ne sont pas très internationalisées. Dans ce contexte, «il va falloir les encourager à percer le marché marocain qui regorge de potentialités», a relevé Hakima El Haité.
Aujourd'hui, une simple lecture des statistiques des échanges commerciaux entre les Etats-Unis et le Maroc révèle que ce dernier ne profite pas pleinement de l'accord de libre échange avec les USA. Une réalité que reconnaît Samuel Kaplan, Ambassadeur des Etats-Unis au Maroc. « Les résultats en termes de chiffres sont plus en faveur des USA que du Maroc. Il s'avère ainsi plus important de renforcer la position des entreprises marocaines, notamment avec le développement de partenariats avec les entités américaines. C'est l'un des objectifs de la réunion des créateurs d'entreprises qui se tiendra à Washington», a-t-il tenu à préciser. Certes ce sommet vient souligner les grands objectifs du Président Obama qui soutiennent l'entrepreneuriat, l'innovation, les opportunités économiques locales et internationales, il n'en demeure pas moins que de grands efforts sont à déployer pour la réforme de la justice au Maroc. D'ailleurs, Samuel Kaplan, a insisté, mercredi dernier, à Casablanca, lors d'une table ronde sous le thème «Sommet présidentiel sur l'Entrepreneuriat,» sur l'importance de cette réforme à laquelle a appelé Sa Majesté le Roi lors de son discours en août dernier.
«Cela rendrait le Maroc un pays plus attractif pour les investisseurs américains qui sont nombreux à vouloir profiter des opportunités d'affaires que recèlent le Royaume», a-t-il souligné. La célérité des processus de jugements des tribunaux et l'utilisation des moyens technologiques les plus développés devraient être les qualités premières de la justice marocaine.
Huit entrepreneurs marocains, faisant partie d'un panel de 250 chefs d'entreprises issus de 50 pays, seront attendues les 26 et 27 avril prochain au siège de Ronald Reagan Building, à Washington, DC pour prendre part au sommet présidentiel sur l'entrepreneuriat. Cet événement auquel a appelé le président américain Barack Obama lors de son discours, au Caire, le 4 juin 2009, sera l'occasion de mettre en exergue l'importance de l'entrepreneuriat, de la création d'emploi et du développement communautaire. D'ailleurs, ce sont ces trois facteurs qui ont déterminé le choix des huit entrepreneurs-ambassadeurs marocains qui représenteront le Royaume. Ces derniers ne sont autres que Miloud Chaabi, président-fondateur de YNNA Holding, Omar Chaabi, vice-président du même holding, Moulay Ahmed Essakalli, président fondateur de Zid Zid Kids, Mohamed Benamour, directeur général et fondateur de Benson Shoes, Mohamed Horani, PDG et fondateur de Hightech Payment Systems, Hakima El Haité, directrice générale d'Eau Globe, Wafa Zerrouki, présidente et fondatrice de l'association pour l'artisanat traditionnel des femmes et Wafaa Chafi Fathi, secrétaire générale de la Fondation BMCE Bank. Une occasion, pour eux, de faire part de leurs expertises, chacun dans son domaine d'activité et de procéder à un benchmark avec leurs homologues américains et ceux des autres pays participants, tout en faisant la promotion des opportunités d'investissement au Maroc. « Le fait de participer à ce sommet est une bonne occasion pour présenter l'entrepreneuriat social pour un développement humain durable favorisant la croissance économique. Cela permettrait aussi de revenir avec des idées qu'il faudrait concrétiser sur le terrain.
Les ONG ont aussi besoin de se professionnaliser, grâce à cet événement, on saurait s'améliorer », a lancé Wafaa Chafi Fathi. Wafa Zerrouki, elle, a mis l'accent sur l'importance de tisser des liens avec les entreprises américaines tout en les convaincant d'investir au Maroc. Un objectif qui semblerait difficile à faire aboutir en sachant que les PME américaines ne sont pas très internationalisées. Dans ce contexte, «il va falloir les encourager à percer le marché marocain qui regorge de potentialités», a relevé Hakima El Haité.
Aujourd'hui, une simple lecture des statistiques des échanges commerciaux entre les Etats-Unis et le Maroc révèle que ce dernier ne profite pas pleinement de l'accord de libre échange avec les USA. Une réalité que reconnaît Samuel Kaplan, Ambassadeur des Etats-Unis au Maroc. « Les résultats en termes de chiffres sont plus en faveur des USA que du Maroc. Il s'avère ainsi plus important de renforcer la position des entreprises marocaines, notamment avec le développement de partenariats avec les entités américaines. C'est l'un des objectifs de la réunion des créateurs d'entreprises qui se tiendra à Washington», a-t-il tenu à préciser. Certes ce sommet vient souligner les grands objectifs du Président Obama qui soutiennent l'entrepreneuriat, l'innovation, les opportunités économiques locales et internationales, il n'en demeure pas moins que de grands efforts sont à déployer pour la réforme de la justice au Maroc. D'ailleurs, Samuel Kaplan, a insisté, mercredi dernier, à Casablanca, lors d'une table ronde sous le thème «Sommet présidentiel sur l'Entrepreneuriat,» sur l'importance de cette réforme à laquelle a appelé Sa Majesté le Roi lors de son discours en août dernier.
«Cela rendrait le Maroc un pays plus attractif pour les investisseurs américains qui sont nombreux à vouloir profiter des opportunités d'affaires que recèlent le Royaume», a-t-il souligné. La célérité des processus de jugements des tribunaux et l'utilisation des moyens technologiques les plus développés devraient être les qualités premières de la justice marocaine.
