La Fédération nationale de l'électricité et de l'électronique (FENELEC) a tenu une assemblé générale extraordinaire le 30 juin 2010 dans les locaux du siège de la CGEM. La réunion s'est soldée par l'approbation de l'intégration de l'Association marocaine des industries du solaire et de l'éolienne (AMISOLE) à cette fédération.
De saines synergies sont désormais mises en place par l'AMISOLE et la FENELEC qui viennent de sceller leur alliance. Cette union s'inscrit dans le cadre de la réalisation du plan solaire marocain combien ambitieux. Un projet qui vise à porter la part des énergies renouvelables à 42% concernant la satisfaction de la demande électrique nationale. L'initiative a été saluée par les membres de la fédération et de l'association, qui pour la plupart, l'ont trouvée bénéfique pour le développement des énergies renouvelables et l'efficacité énergétique du Royaume. Par ailleurs, pour faire pencher la balance vers un vote favorable, Ahmed Squalli, président de l'AMISOLE, a jouer la carte de la transparence en déclarant que « la FENELEC a des moyens qu'on n'a pas et comme on dit: l'union fait la force ». L'association se verra donc s'offrir un plus grand champ de travail et de développement dans un tissu économique fondé de plus en plus sur les groupements stratégiques. Elle se présentera désormais comme la cinquième association adhérente à la FENELEC. De plus, outre cet avantage en crédibilité, ce mariage assurera une plus vaste ouverture commerciale pour les entreprises affiliées à l'AMISOLE. D'autre part, rappelons que dans le domaine de l'énergie solaire, le Maroc est considéré comme le moins bon élève du contour méditerranéen avec seulement 280.000 m² d'installation sur tout le territoire. Cette position peu confortable a poussé le gouvernement et à sa tête le Roi Mohammed VI à s'engager dans une politique de développement national visant à atteindre le seuil de 2000 MW de production en énergie solaire en réalisant des installations qui occuperont jusqu'à 200.000 m² de surface par an.
Sur un tout autre registre, cette adhésion ne pourra que renforcer la compétitivité des membres de la fédération pour faire face à la concurrence vorace qui se profile à l'horizon 2012. En effet, cette année représente une date butoir pour la levée des barrières douanières et l'ouverture complète du marché marocain à la concurrence internationale. Ceci risquerait de ''sonner l'hallali'' du secteur si les professionnels et l'Etat ne réagissent pas à temps.
De saines synergies sont désormais mises en place par l'AMISOLE et la FENELEC qui viennent de sceller leur alliance. Cette union s'inscrit dans le cadre de la réalisation du plan solaire marocain combien ambitieux. Un projet qui vise à porter la part des énergies renouvelables à 42% concernant la satisfaction de la demande électrique nationale. L'initiative a été saluée par les membres de la fédération et de l'association, qui pour la plupart, l'ont trouvée bénéfique pour le développement des énergies renouvelables et l'efficacité énergétique du Royaume. Par ailleurs, pour faire pencher la balance vers un vote favorable, Ahmed Squalli, président de l'AMISOLE, a jouer la carte de la transparence en déclarant que « la FENELEC a des moyens qu'on n'a pas et comme on dit: l'union fait la force ». L'association se verra donc s'offrir un plus grand champ de travail et de développement dans un tissu économique fondé de plus en plus sur les groupements stratégiques. Elle se présentera désormais comme la cinquième association adhérente à la FENELEC. De plus, outre cet avantage en crédibilité, ce mariage assurera une plus vaste ouverture commerciale pour les entreprises affiliées à l'AMISOLE. D'autre part, rappelons que dans le domaine de l'énergie solaire, le Maroc est considéré comme le moins bon élève du contour méditerranéen avec seulement 280.000 m² d'installation sur tout le territoire. Cette position peu confortable a poussé le gouvernement et à sa tête le Roi Mohammed VI à s'engager dans une politique de développement national visant à atteindre le seuil de 2000 MW de production en énergie solaire en réalisant des installations qui occuperont jusqu'à 200.000 m² de surface par an.
Sur un tout autre registre, cette adhésion ne pourra que renforcer la compétitivité des membres de la fédération pour faire face à la concurrence vorace qui se profile à l'horizon 2012. En effet, cette année représente une date butoir pour la levée des barrières douanières et l'ouverture complète du marché marocain à la concurrence internationale. Ceci risquerait de ''sonner l'hallali'' du secteur si les professionnels et l'Etat ne réagissent pas à temps.
