La société Capgemini vient d'inaugurer son nouveau siège social et compte ouvrir une autre représentation à Technopolis (Rabat). Actuellement, cette entreprise emploie 260 collaborateurs au Maroc et envisage d'atteindre à 320 employés d'ici la fin 2010. Certes, c'est une bonne décision de renforcer sa présence au Royaume, mais cela reste insuffisant en comparaison avec l'Inde où le groupe compte plus de 20.000 employés.
Les zones dédiées à l'offshoring ne cessent d'accueillir de nouveaux locataires voulant profitant des avantages fiscaux et des facilités offertes aux investisseurs désireux de s'y installer sans oublier la disponibilité d'un vivier de compétences de qualité. Et ce n'est pas fini, de nouveaux arrivants s'implantent de plus en plus dans ces zones sans oublier le renforcement de l'offre Maroc. D'ailleurs, la journée du mercredi 30 juin a été marquée par le lancement par Sa Majesté le Roi des travaux d'aménagement de la plateforme industrielle intégrée TétouanShore, qui nécessitera un investissement total de près d'un milliard de dirhams, et qui viendra renforcer l'offre offshoring Maroc. Dans la même journée, la société française spécialisée en conseil, services informatiques et infogérance, Capgemini, a inauguré son nouveau siège au centre Casanearshore à Casablanca. Un site qui dispose de capacités d'accueil et d'infrastructures de qualité sur 250.000 m2 dédiés aux activités tertiaires. «En s'implantant à Casanearshore, Capgemini répond à la stratégie d'industrialisation des grands groupes français qui recherchent des partenaires capables de les accompagner sur l'ensemble de leurs projets informatiques», souligne le top-management. Déjà, la société dispose sur place d'une activité d'intégration de systèmes d'information en plus d'une offre SAP qui va s'enrichir au second semestre. Par ailleurs, Capgemini compte diversifier ses services en lançant prochainement une nouvelle offre de gestion des infrastructures, en collaboration avec Sogeti, filiale du groupe français.
Lors de la cérémonie d'inauguration de cet événement, Alain Donzeaud, secrétaire général de Capgemini, a assuré que le Maroc est au cœur de la stratégie d'industrialisation du groupe, soulignant par la même occasion que la proximité du Maroc et sa position géographique sont aussi autant d'atouts qui séduisent les investisseurs étrangers. Il a également déclaré que son groupe compte ouvrir dans un futur proche une autre filiale à Technopolis (Rabat).
Et pour profiter davantage des compétences marocaines, de nouveaux partenariats ont été conclus avec des écoles publiques nationales. Il s'agit en fait de trois accords-cadres signés, à l'occasion de l'inauguration, avec l'Université Hassan 1er pour la Faculté des sciences technqiues (FST) de Settat, l'Université Mohammed V pour l'Ecole nationale supérieure d'informatique et d'analyse des systèmes (ENSIAS) et l'Ecole marocaine des sciences de l'ingénieur (EMSI). Ces conventions portent sur la formation continue et la réalisation de projets de recherches. Notons à cet égard que les universités sont appelées de plus en plus à accompagner les grandes stratégies sectorielles lancées par le Maroc pour les doter de nouvelles compétences capables de relever le défi. Taieb Chkili, président de l'Université Mohammed V de Rabat a estimé que «ces accords montrent toute la détermination des universités à accompagner les grandes stratégies du Maroc».
Et d'ajouter que ces établissements ont d'ailleurs été sollicités pour déposer leurs dossiers pour les nouvelles accréditations prévues pour les nouvelles filières programmées dès la rentrée 2010. Il a également tenu à rappeler que la plupart des étudiants issus des universités intègrent le monde du travail facilement et parfois juste après leurs stages où ils arrivent à briller par leurs compétences avant même l'obtention de leurs diplômes. Ceci contribuera, certes, à redorer le blason des universités marocaines.
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Les zones dédiées à l'offshoring ne cessent d'accueillir de nouveaux locataires voulant profitant des avantages fiscaux et des facilités offertes aux investisseurs désireux de s'y installer sans oublier la disponibilité d'un vivier de compétences de qualité. Et ce n'est pas fini, de nouveaux arrivants s'implantent de plus en plus dans ces zones sans oublier le renforcement de l'offre Maroc. D'ailleurs, la journée du mercredi 30 juin a été marquée par le lancement par Sa Majesté le Roi des travaux d'aménagement de la plateforme industrielle intégrée TétouanShore, qui nécessitera un investissement total de près d'un milliard de dirhams, et qui viendra renforcer l'offre offshoring Maroc. Dans la même journée, la société française spécialisée en conseil, services informatiques et infogérance, Capgemini, a inauguré son nouveau siège au centre Casanearshore à Casablanca. Un site qui dispose de capacités d'accueil et d'infrastructures de qualité sur 250.000 m2 dédiés aux activités tertiaires. «En s'implantant à Casanearshore, Capgemini répond à la stratégie d'industrialisation des grands groupes français qui recherchent des partenaires capables de les accompagner sur l'ensemble de leurs projets informatiques», souligne le top-management. Déjà, la société dispose sur place d'une activité d'intégration de systèmes d'information en plus d'une offre SAP qui va s'enrichir au second semestre. Par ailleurs, Capgemini compte diversifier ses services en lançant prochainement une nouvelle offre de gestion des infrastructures, en collaboration avec Sogeti, filiale du groupe français.
Lors de la cérémonie d'inauguration de cet événement, Alain Donzeaud, secrétaire général de Capgemini, a assuré que le Maroc est au cœur de la stratégie d'industrialisation du groupe, soulignant par la même occasion que la proximité du Maroc et sa position géographique sont aussi autant d'atouts qui séduisent les investisseurs étrangers. Il a également déclaré que son groupe compte ouvrir dans un futur proche une autre filiale à Technopolis (Rabat).
Et pour profiter davantage des compétences marocaines, de nouveaux partenariats ont été conclus avec des écoles publiques nationales. Il s'agit en fait de trois accords-cadres signés, à l'occasion de l'inauguration, avec l'Université Hassan 1er pour la Faculté des sciences technqiues (FST) de Settat, l'Université Mohammed V pour l'Ecole nationale supérieure d'informatique et d'analyse des systèmes (ENSIAS) et l'Ecole marocaine des sciences de l'ingénieur (EMSI). Ces conventions portent sur la formation continue et la réalisation de projets de recherches. Notons à cet égard que les universités sont appelées de plus en plus à accompagner les grandes stratégies sectorielles lancées par le Maroc pour les doter de nouvelles compétences capables de relever le défi. Taieb Chkili, président de l'Université Mohammed V de Rabat a estimé que «ces accords montrent toute la détermination des universités à accompagner les grandes stratégies du Maroc».
Et d'ajouter que ces établissements ont d'ailleurs été sollicités pour déposer leurs dossiers pour les nouvelles accréditations prévues pour les nouvelles filières programmées dès la rentrée 2010. Il a également tenu à rappeler que la plupart des étudiants issus des universités intègrent le monde du travail facilement et parfois juste après leurs stages où ils arrivent à briller par leurs compétences avant même l'obtention de leurs diplômes. Ceci contribuera, certes, à redorer le blason des universités marocaines.
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