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Bouskoura, simple zone rurale il y a quelques années, est en train de se métamorphoser pour devenir une référence de luxe de la métropole économique. Depuis que des promoteurs immobiliers, notamment Addoha, Palmeraie Développement et CGI ont misé sur cette région, en y lançant des projets immobiliers, touristiques et résidentiels, son attrait ne se dément pas, surtout que le luxe se met au vert. La réalisation des résidences et logements repose, en effet, sur des valeurs telles que le bien être et le respect de l'environnement. Des notions de plus en plus valorisées par les promoteurs dans leurs campagnes de communication pour attiser les ardeurs d'une clientèle huppée, en quête d'une vie bercée par la nature et d'un site plus sain, moins stressant et non loin du centre palpitant de la capitale économique. Pour ne citer que Palmeraie Développement, qui y a implanté son projet California Golf Resort, il a adopté l'environnement comme leitmotiv, «Les grands projets réussissent lorsqu'ils préservent leur environnement».
Cette valeur a été, d'ailleurs, mise en oeuvre au départ des premières études sur les critères d'éligibilité du site de Bouskoura : une étude d'impact, réalisée par un bureau d'études spécialisé, devait démontrer si le site était considéré comme patrimoine classé : présence ou non d'espèces rares, de nappes phréatiques…Sur la base d'un cahier des charges, ce promoteur a créé, en partenariat avec Addoha et CGI et en accord avec les autorités locales, un groupement d'intérêt économique qui traite tous les aspects liés au site pour veiller à la sauvegarde de la zone, notamment la forêt de Bouskoura. Il semblerait que les rivalités entre opérateurs sont reléguées au second plan. L'ambition ultime est de mutualiser les ressources et compétences afin de satisfaire les besoins identifiés des secteurs du tourisme et de l'immobilier de luxe.
En témoigne la qualité de l'offre des différents promoteurs. California Golf Resort, qui s'étend sur 130 ha, consacre plus de 70% de sa superficie aux espaces verts, aux loisirs et au golf. Après avoir réalisé la première tranche du projet, le groupe immobilier s'attaque à la deuxième. Les prix des villas seront fixés à partir de 4,5 millions de dirhams et des appartements à partir de 1,8 million de dirhams.
S'agissant du projet intégré d'Addoha, Bouskoura Golf City, qui s'étend sur un total de 220 ha, il comprend, entre autres composantes immobilières de luxe (1050 villas et 1200 appartements), un golf, ainsi que tous les services nécessaires à la vie quotidienne (crèche, services de proximité, centre sportif).
L'investissement global dépasse les 6 milliards de dirhams. Plus de 800 biens (entre appartements et villas) ont d'ores et déjà été vendus pour des prix allant de 1,5 million de dirhams à 3,5 millions de dirhams pour les appartements et se situant entre 3,8 millions de dirhams et 11 millions de dirhams pour les villas.
Ce projet jouxte Casa Green Town, qui est le programme immobilier de la CGI, filiale de la CDG. Etendu sur une superficie de 357 ha, il devra compter, à son tour, des résidences collectives et individuelles, un centre ville et des services, un hôtel, un spa, un golf 18 trous, un club house ainsi qu'un campus universitaire.
En somme, ces projets immobiliers ne font que renforcer l'attraction de la zone de Bouskoura, au point que certains promoteurs immobiliers de luxe n'hésitent pas à capitaliser sur la proximité avec les golfs de Bouskoura pour commercialiser leurs projets.
C'est le cas notamment de Home Invest qui y a lancé California Eden, résidence de 72 villas, qui a nécessité un investissement de 300 millions de dirhams. Après le succès de la première tranche, Home Invest, promoteur immobilier de luxe, démarre la commercialisation de la seconde tranche de son programme de villas de maître implantées sur un terrain de 6,5 hectares.
Le prix des villas commence à partir de 6,7 millions de dirhams, la plus chère coûte 8,6 millions de dirhams. Casadiaa est un autre complexe résidentiel haut standing unique de villas de plain-pied, qui s'implante à Bouskoura.
Il est réparti selon quatre types de villas aux lignes résolument modernes et avec des équipements et matériaux de luxe. Il sera livré en décembre 2011. En dépit du ralentissement du segment de l'immobilier de luxe, la fougue de la plupart des promoteurs immobiliers ne s'éteint pas.
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Une double proximité qui facilitera aussi bien les opportunités de tourisme d'affaires que celle du tourisme résidentiel à forte demande golfique.
Cette distinction géographique, encore une fois unique, est complétée par une offre immobilière qui porte le sceau d'une originalité jamais encore vue dans les différents projets de la métropole.
Cette valeur a été, d'ailleurs, mise en oeuvre au départ des premières études sur les critères d'éligibilité du site de Bouskoura : une étude d'impact, réalisée par un bureau d'études spécialisé, devait démontrer si le site était considéré comme patrimoine classé : présence ou non d'espèces rares, de nappes phréatiques…Sur la base d'un cahier des charges, ce promoteur a créé, en partenariat avec Addoha et CGI et en accord avec les autorités locales, un groupement d'intérêt économique qui traite tous les aspects liés au site pour veiller à la sauvegarde de la zone, notamment la forêt de Bouskoura. Il semblerait que les rivalités entre opérateurs sont reléguées au second plan. L'ambition ultime est de mutualiser les ressources et compétences afin de satisfaire les besoins identifiés des secteurs du tourisme et de l'immobilier de luxe.
En témoigne la qualité de l'offre des différents promoteurs. California Golf Resort, qui s'étend sur 130 ha, consacre plus de 70% de sa superficie aux espaces verts, aux loisirs et au golf. Après avoir réalisé la première tranche du projet, le groupe immobilier s'attaque à la deuxième. Les prix des villas seront fixés à partir de 4,5 millions de dirhams et des appartements à partir de 1,8 million de dirhams.
S'agissant du projet intégré d'Addoha, Bouskoura Golf City, qui s'étend sur un total de 220 ha, il comprend, entre autres composantes immobilières de luxe (1050 villas et 1200 appartements), un golf, ainsi que tous les services nécessaires à la vie quotidienne (crèche, services de proximité, centre sportif).
L'investissement global dépasse les 6 milliards de dirhams. Plus de 800 biens (entre appartements et villas) ont d'ores et déjà été vendus pour des prix allant de 1,5 million de dirhams à 3,5 millions de dirhams pour les appartements et se situant entre 3,8 millions de dirhams et 11 millions de dirhams pour les villas.
Ce projet jouxte Casa Green Town, qui est le programme immobilier de la CGI, filiale de la CDG. Etendu sur une superficie de 357 ha, il devra compter, à son tour, des résidences collectives et individuelles, un centre ville et des services, un hôtel, un spa, un golf 18 trous, un club house ainsi qu'un campus universitaire.
En somme, ces projets immobiliers ne font que renforcer l'attraction de la zone de Bouskoura, au point que certains promoteurs immobiliers de luxe n'hésitent pas à capitaliser sur la proximité avec les golfs de Bouskoura pour commercialiser leurs projets.
C'est le cas notamment de Home Invest qui y a lancé California Eden, résidence de 72 villas, qui a nécessité un investissement de 300 millions de dirhams. Après le succès de la première tranche, Home Invest, promoteur immobilier de luxe, démarre la commercialisation de la seconde tranche de son programme de villas de maître implantées sur un terrain de 6,5 hectares.
Le prix des villas commence à partir de 6,7 millions de dirhams, la plus chère coûte 8,6 millions de dirhams. Casadiaa est un autre complexe résidentiel haut standing unique de villas de plain-pied, qui s'implante à Bouskoura.
Il est réparti selon quatre types de villas aux lignes résolument modernes et avec des équipements et matériaux de luxe. Il sera livré en décembre 2011. En dépit du ralentissement du segment de l'immobilier de luxe, la fougue de la plupart des promoteurs immobiliers ne s'éteint pas.
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Ecosystème
Le choix, par les promoteurs immobiliers de Bouskoura, n'est pas fortuit. Le site est d'abord défini comme une zone à écosystème propre. L'attraction économique, bien étudiée, est sans égale : couvert par la forêt de Bouskoura, les projets, reste quasi-limitrophe de Casablanca, et du premier aéroport commercial du Royaume.Une double proximité qui facilitera aussi bien les opportunités de tourisme d'affaires que celle du tourisme résidentiel à forte demande golfique.
Cette distinction géographique, encore une fois unique, est complétée par une offre immobilière qui porte le sceau d'une originalité jamais encore vue dans les différents projets de la métropole.
