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S.M. le Roi Mohammed VI a présidé, le 10 décembre à Tanger, la cérémonie de signature de six conventions relatives au projet de TGV Tanger-Casablanca. Les 20 milliards de dirhams que nécessite cet autre grand chantier sont désormais assurés.
On sait déjà que dans le cadre de ce projet, des ressources financières propres ont été mobilisées. 4,8 milliards de DH sont prévus dans le budget général de l'Etat et 1 milliard de DH est assuré par le Fonds Hassan II pour le développement économique et social.
S'y ajoutent des financements extérieurs, déjà mobilisés. Ceux-ci sont constitués d'un don du gouvernement français de 75 millions d'euros et du prêt de 140 millions de dollars US octroyé par le Fonds koweitien pour le développement économique arabe.
Du reste, le Maroc a reçu l'accord concernant deux prêts octroyés par l'Agence française de développement (AFD) pour un montant de 220 millions d'euros et le fonds Arabe pour le développement économique et social pour une enveloppe de 100 millions de dollars.
Il est prévu que les modalités de concrétisation se fassent incessamment.
Cinq des six conventions conclues à Tanger permettent, selon le ministre Karim Ghellab, la sécurisation de nouvelles ressources financières à travers des prêts concessionnels avec des taux d'intérêt avantageux entre 1,2 et 3,16% et des délais de grâce importants allant de 5 à 20 ans .
Deux de ces conventions sont relatives au financement par le trésor français de 350 millions d'euros et par des banques françaises de 275 millions d'euros. Un mémorandum d'entente a été également signé. Il concerne un prêt du Fonds saoudien pour le développement d'un montant de 200 millions de dollars US.
En outre, un accord de prêt a été conclu avec le Fonds d'Abou Dhabi pour le développement portant sur 100 millions de dollars US, la convention de garantie s'y rapportant a été signée. Pour couronner le tout, un contrat d'acquisition par l'ONCF de 14 rames à grande vitesse a été conclu avec la société française Alstom.
On sait déjà que dans le cadre de ce projet, des ressources financières propres ont été mobilisées. 4,8 milliards de DH sont prévus dans le budget général de l'Etat et 1 milliard de DH est assuré par le Fonds Hassan II pour le développement économique et social.
S'y ajoutent des financements extérieurs, déjà mobilisés. Ceux-ci sont constitués d'un don du gouvernement français de 75 millions d'euros et du prêt de 140 millions de dollars US octroyé par le Fonds koweitien pour le développement économique arabe.
Du reste, le Maroc a reçu l'accord concernant deux prêts octroyés par l'Agence française de développement (AFD) pour un montant de 220 millions d'euros et le fonds Arabe pour le développement économique et social pour une enveloppe de 100 millions de dollars.
Il est prévu que les modalités de concrétisation se fassent incessamment.
Cinq des six conventions conclues à Tanger permettent, selon le ministre Karim Ghellab, la sécurisation de nouvelles ressources financières à travers des prêts concessionnels avec des taux d'intérêt avantageux entre 1,2 et 3,16% et des délais de grâce importants allant de 5 à 20 ans .
Deux de ces conventions sont relatives au financement par le trésor français de 350 millions d'euros et par des banques françaises de 275 millions d'euros. Un mémorandum d'entente a été également signé. Il concerne un prêt du Fonds saoudien pour le développement d'un montant de 200 millions de dollars US.
En outre, un accord de prêt a été conclu avec le Fonds d'Abou Dhabi pour le développement portant sur 100 millions de dollars US, la convention de garantie s'y rapportant a été signée. Pour couronner le tout, un contrat d'acquisition par l'ONCF de 14 rames à grande vitesse a été conclu avec la société française Alstom.
