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Casablanca, une destination d'affaires qu'il faut renforcer. C'est l'un des axes clés du PDRT 2012, programme de développement régional touristique de Casablanca signé entre l'Etat et les acteurs locaux en 2006. L'hôtel Val d'Anfa se met en phase avec ce fameux programme en tant qu'opérateur privé. Déjà en 2008, une somme de 128 millions de DH avait été investie en vue de renforcer le positionnement de cet hôtel 4 étoiles sur le segment du tourisme d'affaires et de congrès. Deux ans après, il récidive. « Depuis son extension et la rénovation de certaines parties, nous avons décidé de nous tourner résolument vers le marché « Hommes d'affaires », mais aussi et particulièrement sur le segment « meeting, incentive, congrès et événements », indique Lahoussaine Hida, le directeur commercial de l'établissement hôtelier.
L'extension a coûté 20 millions de DH et a porté sur la construction de quatre salles de séminaire d'une capacité de 20 à 500 personnes. Le nouveau bâtiment s'étale sur près de 1.000 mètres carrés et a nécessité 24 mois de travaux pour être opérationnel. « Ce sont des espaces naturellement lumineux et équipés d'un matériel à la pointe de la technologie », se réjouit L. Hida.
L'aménagement et l'équipement ont été " scrupuleusement " agencés de façon à optimiser les échanges et le confort des séminaristes et congressistes. Toutes les salles sont insonorisées, modulables et dotées de la dernière technologie (sonorisation, data-show, matériel audiovisuel et traduction instantanée). Elles sont dédiées à toutes sortes d'événements : séminaires, conférences, défilés de mode, cocktails, banquets, dîners de gala et réceptions. Pour joindre l'utile à l'agréable, le bâtiment met à la disposition de sa clientèle 78 chambres, toutes avec vue sur l'océan atlantique, et un espace de remise en forme (hammam, jacuzzi et sauna).
Un des points forts de l'établissement est l'accessibilité, est-il souligné. Avantage de taille dans une mégapole comme Casablanca qui compte plus de 50 millions de déplacements par jour, selon le PDU (Plan de déplacement urbain). Chose qui rend le centre ville impraticable, le trafic y étant hyper dense.
L'extension a coûté 20 millions de DH et a porté sur la construction de quatre salles de séminaire d'une capacité de 20 à 500 personnes. Le nouveau bâtiment s'étale sur près de 1.000 mètres carrés et a nécessité 24 mois de travaux pour être opérationnel. « Ce sont des espaces naturellement lumineux et équipés d'un matériel à la pointe de la technologie », se réjouit L. Hida.
L'aménagement et l'équipement ont été " scrupuleusement " agencés de façon à optimiser les échanges et le confort des séminaristes et congressistes. Toutes les salles sont insonorisées, modulables et dotées de la dernière technologie (sonorisation, data-show, matériel audiovisuel et traduction instantanée). Elles sont dédiées à toutes sortes d'événements : séminaires, conférences, défilés de mode, cocktails, banquets, dîners de gala et réceptions. Pour joindre l'utile à l'agréable, le bâtiment met à la disposition de sa clientèle 78 chambres, toutes avec vue sur l'océan atlantique, et un espace de remise en forme (hammam, jacuzzi et sauna).
Un des points forts de l'établissement est l'accessibilité, est-il souligné. Avantage de taille dans une mégapole comme Casablanca qui compte plus de 50 millions de déplacements par jour, selon le PDU (Plan de déplacement urbain). Chose qui rend le centre ville impraticable, le trafic y étant hyper dense.
