Connexion
LE MATIN-SPORTS : Quelles ont été vos priorités au niveau de la Commission des jeunes?
Hamid Tassili :Notre souci a été d'assainir la situation qui prévalait au sein de l'école et des catégories des jeunes. Nous avons mis en place un système d'encadrement qui bénéficie en même temps à ces jeunes et à l'école. Nous avons considéré que certains entraîneurs étaient payés pour des séances de 1 ou 2 heures trois fois par semaine, ce qui était une perte d'argent pour le club. Il nous fallait des encadreurs à plein-temps qui travaillent de 8h à 12h et de 14h à 18h. Et cela aussi bien pour les jeunes que pour l'école. Lorsque nous aurons jugé que le nombre des enfants inscrits est considérable, nous procéderons à des recrutements. Ensuite, nous avons engagé deux équipes par catégories avec des préparateurs physiques, Zaki Zahouani pour les juniors et Rachid Nouach pour les autres. Nous accordons une grande importance à la formation.
Quel est le nombre des enfants inscrits au niveau de l'école?
Comme vous le savez, nous n'avons jamais un nombre inférieur à 1.800, voire 2.000 enfants. Depuis 2006, ces enfants sont répartis entre le Complexe Mohamed Benjelloun et Larbi Benbarek pour ceux issus de l'ancienne médina. Le montant des inscriptions s'ajoute au budget et tourne autour de 2 millions de dirhams. Nous accordons donc une grande importance à nos écoles qui seront supervisées cette année par deux techniciens, à savoir Shaïta et Nacer.
Revenons aux jeunes, comment marche votre école des gardiens ? Nous n'avons pas une école spécifique pour les gardiens. Il y a des entraîneurs qui s'occupent d'eux, en l'occurrence Youssef Gataya et deux autres collaborateurs. En fait, c'était Yachine, l'ancien gardien international du club, qui s'en occupait auparavant. Nous comptons améliorer cette formation des gardiens de but car le WAC a toujours été une grande école des gardiens et tout le monde se rappelle que les équipes nationales ont de tout temps eu un gardien wydadi comme Zaki, Azmi, Fouhami, etc.
Comment se présente l'équipe des juniors qui évolue en lever de rideau ?
Nous avons une bonne pépinière dont la plupart jouent pour la première fois en lever de rideau. Je pense que c'est une excellente programmation qui va permettre aux techniciens de voir plus souvent les juniors. Ainsi, leur intégration se fera plus rapidement. Nous avons des joueurs qui frappent déjà aux portes de l'équipe des seniors à l'image de Barakat, Kouiss, Ajouadi qui sont nés en 1988. Sans oublier Rafik Maatouf et Tourabi qui ont été appelés en équipe nationale. Nous avons instauré également un système de primes pour encourager ces jeunes et les motiver tout au long de leur parcours. Certes, les résultats se font toujours attendre mais nous restons optimistes quant à leur avenir. Tous ces jeunes sont supervisés par le directeur technique Raphaêl Hamidi.
Hamid Tassili :Notre souci a été d'assainir la situation qui prévalait au sein de l'école et des catégories des jeunes. Nous avons mis en place un système d'encadrement qui bénéficie en même temps à ces jeunes et à l'école. Nous avons considéré que certains entraîneurs étaient payés pour des séances de 1 ou 2 heures trois fois par semaine, ce qui était une perte d'argent pour le club. Il nous fallait des encadreurs à plein-temps qui travaillent de 8h à 12h et de 14h à 18h. Et cela aussi bien pour les jeunes que pour l'école. Lorsque nous aurons jugé que le nombre des enfants inscrits est considérable, nous procéderons à des recrutements. Ensuite, nous avons engagé deux équipes par catégories avec des préparateurs physiques, Zaki Zahouani pour les juniors et Rachid Nouach pour les autres. Nous accordons une grande importance à la formation.
Quel est le nombre des enfants inscrits au niveau de l'école?
Comme vous le savez, nous n'avons jamais un nombre inférieur à 1.800, voire 2.000 enfants. Depuis 2006, ces enfants sont répartis entre le Complexe Mohamed Benjelloun et Larbi Benbarek pour ceux issus de l'ancienne médina. Le montant des inscriptions s'ajoute au budget et tourne autour de 2 millions de dirhams. Nous accordons donc une grande importance à nos écoles qui seront supervisées cette année par deux techniciens, à savoir Shaïta et Nacer.
Revenons aux jeunes, comment marche votre école des gardiens ? Nous n'avons pas une école spécifique pour les gardiens. Il y a des entraîneurs qui s'occupent d'eux, en l'occurrence Youssef Gataya et deux autres collaborateurs. En fait, c'était Yachine, l'ancien gardien international du club, qui s'en occupait auparavant. Nous comptons améliorer cette formation des gardiens de but car le WAC a toujours été une grande école des gardiens et tout le monde se rappelle que les équipes nationales ont de tout temps eu un gardien wydadi comme Zaki, Azmi, Fouhami, etc.
Comment se présente l'équipe des juniors qui évolue en lever de rideau ?
Nous avons une bonne pépinière dont la plupart jouent pour la première fois en lever de rideau. Je pense que c'est une excellente programmation qui va permettre aux techniciens de voir plus souvent les juniors. Ainsi, leur intégration se fera plus rapidement. Nous avons des joueurs qui frappent déjà aux portes de l'équipe des seniors à l'image de Barakat, Kouiss, Ajouadi qui sont nés en 1988. Sans oublier Rafik Maatouf et Tourabi qui ont été appelés en équipe nationale. Nous avons instauré également un système de primes pour encourager ces jeunes et les motiver tout au long de leur parcours. Certes, les résultats se font toujours attendre mais nous restons optimistes quant à leur avenir. Tous ces jeunes sont supervisés par le directeur technique Raphaêl Hamidi.
