C'est sous la célèbre Team Chakuriki très réputée aux Pays-Bas et dirigée par Tom Harinck qu'il lancera vraiment sa carrière.
Du haut de ses 1m 98 (120 kg), le jeune Badr Hari ne cesse de répéter qu'en dépit de sa naissance sur les terres des Pays-Bas, il est fier de sa marocanité. Son géniteur est arrivé en Europe avec la première génération des émigrés. Il a, donc, une préférence pour la Hollande et s'y est installé en compagne de sa famille constituée de 4 enfants (2 filles et 2 garçons !).
Badr El Houari (c'est son vrai nom) est un mot très difficile à prononcer pour les Hollandais. «Hari » et plus simple. D'où ce nom étrange pour un Arabe.
Le petit Badr avait alors 7 ans lorsque son père lui intima l'ordre d'aller s'entraîner dans une salle de boxe. Voulait-il par ce conseil l'armer contre les imprévus de la rue ? Peut-être ! Il s'exécuta, malgré lui, car Badr avait une véritable passion pour … l'équitation et le tennis !!
Badr ne pensa jamais à aller pratiquer ce que les jeunes de son âge aiment le plus, le football !! En grandissant, il commença à réaliser que son père (qu'il considère comme un ami, un confident ou un conseiller) avait raison de l'aiguiller sur ce sport.
Peu à peu, il commença à découvrir la discipline du K1 (prononcez Key One). En 2006, il en devient une des figures de proue. Mieux encore ! Il voit son astre prendre des dimensions considérables. Juste après, il se fit casser les deux mâchoires dans un combat contre un adversaire de plus grande envergure. Badr était démoralisé !
Mais la rencontre de son coach allait changer le cours de sa vie. «Il m'a encouragé, remonté le moral et appris que les vrais champions apparaissent dans les défaites. Cela m'a renfloué ». Confie-t-il.
Et aujourd'hui, Badr est challenger très favori d'une finale du Championnat du monde qui se jouera en décembre au Japon. A propos du pays du soleil levant, Badr raconte : « Au Japon à cause de ma popularité, les Japonais ont appris
à dire « Salamou Alikom! J'ai mes photos sur de jouets, des tee-shirts, des produits commerciaux de tous genres..»
Nous sommes tous derrière Badr Hari le «Marocain de souche et de cœur» dans une ascension dont le sport marocain a besoin. Dans une époque où la joie est devenue rare, sinon inexistante, voilà un Marocain prêt à nous redonner le sourire. Il brandit le drapeau national dans des enceintes qui dépassent les 25.000 spectateurs.
Du haut de ses 1m 98 (120 kg), le jeune Badr Hari ne cesse de répéter qu'en dépit de sa naissance sur les terres des Pays-Bas, il est fier de sa marocanité. Son géniteur est arrivé en Europe avec la première génération des émigrés. Il a, donc, une préférence pour la Hollande et s'y est installé en compagne de sa famille constituée de 4 enfants (2 filles et 2 garçons !).
Badr El Houari (c'est son vrai nom) est un mot très difficile à prononcer pour les Hollandais. «Hari » et plus simple. D'où ce nom étrange pour un Arabe.
Le petit Badr avait alors 7 ans lorsque son père lui intima l'ordre d'aller s'entraîner dans une salle de boxe. Voulait-il par ce conseil l'armer contre les imprévus de la rue ? Peut-être ! Il s'exécuta, malgré lui, car Badr avait une véritable passion pour … l'équitation et le tennis !!
Badr ne pensa jamais à aller pratiquer ce que les jeunes de son âge aiment le plus, le football !! En grandissant, il commença à réaliser que son père (qu'il considère comme un ami, un confident ou un conseiller) avait raison de l'aiguiller sur ce sport.
Peu à peu, il commença à découvrir la discipline du K1 (prononcez Key One). En 2006, il en devient une des figures de proue. Mieux encore ! Il voit son astre prendre des dimensions considérables. Juste après, il se fit casser les deux mâchoires dans un combat contre un adversaire de plus grande envergure. Badr était démoralisé !
Mais la rencontre de son coach allait changer le cours de sa vie. «Il m'a encouragé, remonté le moral et appris que les vrais champions apparaissent dans les défaites. Cela m'a renfloué ». Confie-t-il.
Et aujourd'hui, Badr est challenger très favori d'une finale du Championnat du monde qui se jouera en décembre au Japon. A propos du pays du soleil levant, Badr raconte : « Au Japon à cause de ma popularité, les Japonais ont appris
à dire « Salamou Alikom! J'ai mes photos sur de jouets, des tee-shirts, des produits commerciaux de tous genres..»
Nous sommes tous derrière Badr Hari le «Marocain de souche et de cœur» dans une ascension dont le sport marocain a besoin. Dans une époque où la joie est devenue rare, sinon inexistante, voilà un Marocain prêt à nous redonner le sourire. Il brandit le drapeau national dans des enceintes qui dépassent les 25.000 spectateurs.
