Il fut un temps où le public marocain trouvait un immense plaisir à suivre le Cinq national. Sans oublier un non moins grand plaisir à se déplacer sur les gradins pour goûter au jeu des équipes tels le WAC, le Raja, les FAR ou encore le FUS. Les terrains étaient archicombles et l'ambiance toujours électrique. Ça vibrait, tout simplement. Et cela faisait vibrer les foules. Même aujourd'hui, certains teams continuent de drainer un grand public. En revanche, l'équipe nationale de basket-ball ne fait pratiquement plus rêver. Il est vrai qu'à l'échelon africain et arabe, l'on se retrouve souvent dans le carré. Sans plus. A croire qu'il est écrit que l'on ne peut se mesurer aux grands gabarits, notamment africains. Pourtant, rien n'empêche de s'inscrire dans une perspective qui nous permettrait de figurer en haut des tableaux.
Ne serait-ce que pour revenir au niveau qui remonte aux Jeux méditerranéens qui se sont déroulés sous le ciel marocain. Un temps qui semble lointain, tellement nos performances ressemblaient à une évolution en dents de scie. Car c'est au gré des moments qu'évolue notre Cinq national. Un tableau qui vacille entre le clair et l'obscur, en somme. les équipes, qui sont censées irriguer les veines du team national, donnent l'impression d'avoir perdu cette fibre, cette hargne qui permet de donner un spectacle de bonne facture. Mis à part des occasions, disons occasionnelles, telle la finale de la Coupe du Trône, pour le championnat, c'est selon, l'équipe manque de régularité. Le problème, le vrai n'étant autre que cette incapacité à assurer une certaine pérennité. En fait, c'est là que le bât blesse. Bien entendu, ce n'est pas seulement l'apanage du basket-ball, mais il va falloir s'attaquer aux maux de cette discipline, qui pourrait, avec le football et l'athlétisme, constituer la locomotive du sport national dans son ensemble.
D'autant plus que, valeur aujourd'hui, on sait pour sûr que la multitude des diagnostics opérés a mis le doigt, voire les doigts, sur les lacunes à combler. Or, il est plus que temps d'agir pour redorer le blason de cette discipline. Au top management du basket-ball, on reconnaît l'impératif de disposer d'une feuille de route qui dépasse le constat pour aller vers les solutions. Se tracer des objectifs, c'est bien. Mieux encore serait la mise en branle d'une politique basée sur la détection des jeunes et leur encadrement permanent, pour pouvoir prétendre à la place que d'aucuns ont le droit d'espérer pour la balle au panier.
Ne serait-ce que pour revenir au niveau qui remonte aux Jeux méditerranéens qui se sont déroulés sous le ciel marocain. Un temps qui semble lointain, tellement nos performances ressemblaient à une évolution en dents de scie. Car c'est au gré des moments qu'évolue notre Cinq national. Un tableau qui vacille entre le clair et l'obscur, en somme. les équipes, qui sont censées irriguer les veines du team national, donnent l'impression d'avoir perdu cette fibre, cette hargne qui permet de donner un spectacle de bonne facture. Mis à part des occasions, disons occasionnelles, telle la finale de la Coupe du Trône, pour le championnat, c'est selon, l'équipe manque de régularité. Le problème, le vrai n'étant autre que cette incapacité à assurer une certaine pérennité. En fait, c'est là que le bât blesse. Bien entendu, ce n'est pas seulement l'apanage du basket-ball, mais il va falloir s'attaquer aux maux de cette discipline, qui pourrait, avec le football et l'athlétisme, constituer la locomotive du sport national dans son ensemble.
D'autant plus que, valeur aujourd'hui, on sait pour sûr que la multitude des diagnostics opérés a mis le doigt, voire les doigts, sur les lacunes à combler. Or, il est plus que temps d'agir pour redorer le blason de cette discipline. Au top management du basket-ball, on reconnaît l'impératif de disposer d'une feuille de route qui dépasse le constat pour aller vers les solutions. Se tracer des objectifs, c'est bien. Mieux encore serait la mise en branle d'une politique basée sur la détection des jeunes et leur encadrement permanent, pour pouvoir prétendre à la place que d'aucuns ont le droit d'espérer pour la balle au panier.
