Epinglée pour dopage au cours du championnat du Monde d'athlétisme de Berlin, la jeune athlète a été écartée de la piste au lendemain de la finale. Les médias, contactés par le journal «Le Matin-Sports-Sports », ont été presque unanimes : l'athlète spécialisée dans le demi-fond aura été pour eux comme la grosse déception de l'année.
Compréhensible. A Berlin, le Maroc n'a pas brillé et n'a pas fait mieux qu'à Pékin. Plus grave, il n'a glané aucun titre, aucune médaille, et la plupart des athlètes attendus n'ont pas été au rendez-vous. Les athlètes marocains, une vingtaine d'éléments, tombaient l'un après l'autre. A un certain moment, seulement deux d'entres eux, Amine Laâlou et Meriem Alaoui Selsouli nourrissaient des espoirs de médailles. Sur le 800 m, Amine Laâlou a souvent déçu en raison de son manque de concentration. D'où le scepticisme de certains observateurs. Tous les regards furent donc figés sur Meriem Alaoui Selsouli qui représentait l'avenir du demi-fond.
Et surprise générale : la jeune athlète a été écartée par la Fédération internationale (IAAF) de la finale du 1500m dames suite à un contrôle positif ; une première dans l'histoire de la participation marocaine aux Mondiaux d'athlétisme tout comme Jamal Chetbi qui devait disputer la finale du 3000 steeple. Mariem Alaoui Selsouli, forfait pour la finale du 1500 m des Mondiaux d'athlétisme de Berlin, avait subi un contrôle antidopage positif. Elle aurait subi un test inopiné à Rabat avant les Championnats du monde et a été prévenue avant la course qu'elle était suspendue. L'information a eu l'effet d'un séisme dont l'onde de choc avait secoué l'athlétisme national mais également le sport marocain en général. Même si elle se dit n'avoir pas pris de produits dopants, Meriem Alaoui Selsouli a visiblement déçu la plupart des journalistes interrogés par «Le Matin-Sports».
Compréhensible. A Berlin, le Maroc n'a pas brillé et n'a pas fait mieux qu'à Pékin. Plus grave, il n'a glané aucun titre, aucune médaille, et la plupart des athlètes attendus n'ont pas été au rendez-vous. Les athlètes marocains, une vingtaine d'éléments, tombaient l'un après l'autre. A un certain moment, seulement deux d'entres eux, Amine Laâlou et Meriem Alaoui Selsouli nourrissaient des espoirs de médailles. Sur le 800 m, Amine Laâlou a souvent déçu en raison de son manque de concentration. D'où le scepticisme de certains observateurs. Tous les regards furent donc figés sur Meriem Alaoui Selsouli qui représentait l'avenir du demi-fond.
Et surprise générale : la jeune athlète a été écartée par la Fédération internationale (IAAF) de la finale du 1500m dames suite à un contrôle positif ; une première dans l'histoire de la participation marocaine aux Mondiaux d'athlétisme tout comme Jamal Chetbi qui devait disputer la finale du 3000 steeple. Mariem Alaoui Selsouli, forfait pour la finale du 1500 m des Mondiaux d'athlétisme de Berlin, avait subi un contrôle antidopage positif. Elle aurait subi un test inopiné à Rabat avant les Championnats du monde et a été prévenue avant la course qu'elle était suspendue. L'information a eu l'effet d'un séisme dont l'onde de choc avait secoué l'athlétisme national mais également le sport marocain en général. Même si elle se dit n'avoir pas pris de produits dopants, Meriem Alaoui Selsouli a visiblement déçu la plupart des journalistes interrogés par «Le Matin-Sports».
